• Ryan Shorosky (photographe américain) "et son univers crépusculaire et pastel. Débordantes de délicatesse, ses œuvres saisissent les lueurs ombragées d’une fin de journée, un ciel couleur vanille à travers un rétroviseur, une rose s’épanouissant dans la main d’un homme ou encore un visage pris à contre-jour, révélant, en arrière-plan, le dégradé d’un coucher de soleil."
    https://www.instagram.com/ryshorosky/?hl=fr

    Un photographe vibrant ...


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  • Né à Masterton, Stephen Howard a vécu à Christchurch pendant plusieurs années avant de s’installer à Auckland (Nouvelle Zélande).
    Il est connu pour ses paysages contemporains, mais ses compositions simples sont tout sauf représentatives. Ces dernières années, il a de plus en plus utilisé les arbres de manière symbolique.
    Le traitement de la lumière par le peintre est particulièrement remarquable, de même que son utilisation de couleurs intenses.
    L'art d'Howard est imprégné d'une douce spiritualité laissant une impression émotionnelle durable au spectateur.
    https://www.parnellgallery.co.nz/artists/stephen-howard/

     

    Le monde de Stéphen ...


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  • Ils ne céderont plus rien !...

    cet article qui a 13 ans est toujours d’actualité !

    Par Patrick Mignard

    Depuis plusieurs années on peut douloureusement constater que les conflits sociaux, pour aussi durs et longs qu’ils soient aboutissent de moins en moins à la satisfaction des revendications et que, de guerre lasse, les mouvements de protestation se terminent sans rien avoir obtenu... ou pas grand-chose. Cette situation est en passe de devenir le pain quotidien des luttes sociales au point que le citoyen, le salarié ne sait plus très bien « quoi faire » et risque de tomber dans le découragement et l’abandon, ballotté par les éternelles promesses des politiciens démagogues.

    Un durcissement inexorable

    Depuis le 19ème siècle, les conquêtes sociales, du moins dans les pays développés ne sont pas négligeables. Tant que les revendications sociales (salaires, protection sociale, conditions de travail...) ont coïncidé avec des conditions compatibles avec l’intérêt du système marchand, elles ont été plus ou moins satisfaites. Ces conquêtes n’ont jamais été accordées volontairement par les États comme ils essaient de nous le faire croire. Elles ont toujours été le fruit d’âpres luttes entre les salariés, les possesseurs du capital et leurs représentants officiels. Aujourd’hui cette dynamique de conquêtes sociales est en passe de s’enrayer. Pourquoi ?

    Ils ne cèderont plus rien parce qu’ils savent que face à la mondialisation marchande ils ne peuvent plus céder, mais également que le mouvement social avec sa stratégie actuelle est impuissant à leur imposer un rapport de force qui les ferait céder. Ils ne peuvent plus céder parce que la mondialisation marchande impose ses conditions par l’établissement d’un marché mondial et parce qu’il a été fait le choix politique, par les États, de s’en remettre à lui et quasi exclusivement à lui pour traiter de la condition de la production et des échanges. L’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) - entre autres - n’est que l’expression institutionnelle de cette volonté.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article39687

     

    Puisque Manu et ses sbires aiment tant parler des années 1930,
    on comprend pourquoi.
    Mais ce n'est pas le peuple, même populiste, qui veut la dictature,
    ce sont eux qui l'organisent ...

    Ils ne cèderont sur rien ...


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  • Le biocentrisme, la misanthropie ou la bienveillance universelle

    Par Gérard Charollois

    Lamartine, en termes romantiques, l’énonçait déjà : « L’homme n’a pas deux cœurs, un pour l’animal et un pour l’homme. Il en a un ou n’en a pas ». L’amour de la nature, le respect du vivant, loin d’appeler une misanthropie déprimante, exigent un haut degré de conscience réconciliant l’arbre, l’animal et l’humain. Des humains conditionnés par des siècles d’obscurantisme religieux, façonnés par des intérêts sordides, éduqués à l’esprit de concurrence, de compétition, de domination, se révèlent trop souvent exécrables, cruels, nocifs pour leurs semblables, pour la nature et pour les animaux. Pour ces tortionnaires, ces exploiteurs, eux-mêmes victimes du système, tout est bon à posséder, rentabiliser, asservir, maîtriser et ils ignorent l’empathie, le respect dû à tout être vivant.

     Ce constat pourrait conduire d’aucuns à une misanthropie amère, à un repli hargneux et à un pessimisme irréversible. Je l’observe parfois chez les gens de mieux accablés par la médiocrité humaine. Cependant, l’humain n’est pas condamné à être ce nuisible qui a pour nom chasseur, promoteur, spéculateur, exploitant ou exploiteur. Des millions d’humains n’aiment ni les fusils, ni les pièges, ni la destruction des sites, ni l’asservissement d’autrui, ni la dévastation de la planète, ni la spéculation. Notre espèce partage avec toutes les autres la tragique condition du vivant. Aussi, je n’exclus pas l’humain de l’immense compassion que m’inspire tout ce qui vit et qui se trouve, de ce seul fait, exposé à la souffrance et à la finitude. C’est la raison pour laquelle je ne dissocierai jamais les combats en faveur de l’arbre, l’animal et l’homme.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article39681

     

    L'amour de la vie et du vivant ...


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  • Avec ce que disait dame météo, rien de beau à attendre !
    Hibernons ...
    Bonne journée !
    Alerte orange
    Bonnet rouge
    Gilet jaune
    Black friday
    Foutez la paix aux couleurs
    Jacques Dor

    La couleur dominante est le gris ....


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  • Après le bruit d'hier, silence dans les rangs ...
    Le peuple est seul face à un rouleau compresseur sans âme
    et puis il faut bien préparer Noël !!!
    Bonne soirée !
    Qui parle encore cette langue oubliée
        Par laquelle nous nous étions connus
        Dont il ne reste, en partie dépecés
        Qu'un songe, qu'une illusion, qu'un rêve
        Gérard Manset

    Il a fait un temps moche qui s'est éclairci dans la soirée ...


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  • Comme un noeud dans la gorge ...


        Comme il était temps
        Les émotions graciles font des bruits de fers
        Les chaînes pourtant détachées grincent
        Ce ne sont pas mensonges mais omissions,
        Silences qui se refusent
        Esquives hostiles
        Reste une tendresse
        Sans objectif
        Sans reflet dans le miroir
        Un lien
        Vaguement décalé
        Un noeud dans la gorge
        Irréductible.
        Brigitte Dumas


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  • No futur ...


    Futur, hormis dans la grammaire, le futur n'existe pas.
    Il faut parler d'avenir,
    comme le font les parents à leurs enfants
    ou les voyantes à leurs clients.
    Le futur c'est le soleil qui s'éteint,
    la terre dévastée,
    l'homme confronté au destin des dinosaures…
    Vous, nous, les derniers survivants,
    errants affamés,
    poursuivis par des meutes féroces de rats géants,
    d'animaux mutants et anthropophages…
    Le futur est invivable.
    Et improbable.
    L'avenir, lui, promet d'être radieux.
    Genevieve Marie de Maupeou-


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  • Dormir ...


        Maintenant, il ferait bon dormir
        jusqu'à ce que les rêves
        deviennent un ciel calme
        et sans vent où quelques
        plumes d'ange virevoltent
        doucement,
        où il n'y a rien que la félicité
        de celui qui vit
        dans l'ignorance de soi.
        Jon Kalman Stefansson


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  • Si vous n'êtes pas la personne libre que vous voulez être, vous devez trouver un endroit pour dire la vérité à ce sujet. Dire comment ça se passe pour vous. La candeur est comme une pelote produite jour après jour dans le ventre, elle doit se tisser quelque part. Vous pouvez chuchoter dans un puits. Vous pouvez écrire une lettre et la garder dans un tiroir. Vous pouvez inscrire une malédiction sur un ruban de plomb et l'enfouir dans le sol pour qu'il ne soit pas lu pendant des milliers d'années. Le but n'est pas de trouver un lecteur, le but est de le raconter à soi-même. Considérons une personne seule dans une pièce. La maison est silencieuse. Elle regarde un morceau de papier. Rien d'autre n'existe. Toutes ses veines descendent dans ce papier. Elle prend son stylo et écrit dessus des marques que personne d'autre ne verra jamais, elle lui verse une sorte de surplus, elle le surmonte avec un geste aussi privé et précis que son propre nom.
    Anne Carson

    Ca nous ferait tant de bien de pouvoir dire clairement et simplement ...


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