Ca serait bien, brumiser tous les soirs ça ne sert pas à grand chose,
à part me rassurer ...
Je suis en attente de nouvelles lunettes, il est temps ...
Bonne soirée.
Vainement les épouvantails des champs ouvrent leurs bras au vent
Meryem Lahlou , Maroc

Je suis une inconditionnelle du mot espoir.
Je ne crois ni en la fatalité
ni en une histoire écrite d'avance.
Si l'on est ouvert à l'autre,
si l'on aime la vie,
elle finit toujours par vous répondre
et par se refléter en vous.
Andrée Chedid

La vie, ça use les gens qui s'aiment.
La vie, ça use le peau. Les tissus. Les jeans.
Les couleurs de la laine.
La vie, ça use les gonds. Les vis.
Les jointures. Les corps. Les dents. Les sourires.
La vie, ça use les yeux.
La tendresse des cheveux.
Les peintures. Les dessins d'enfants.
La souplesse des gestes. L'ossature.
Les jouets. Les livres.
Les questions.
La vie, ça use les muscles. Le dos.
Les rêves comme peau de chagrin.
Les flammes. Les planches bois.
La colère et le joie.
Les photos. Les projets, les souvenirs.
La vie, ça use les pierres. Les forêts. Les montagnes. Les étoiles.
La vie, ça use même les déserts.
Thomas Vinau

derrière la vitre
un petit papillon piégé par la transparence
tente en vain une entrée,
les ailes baignées de soleil matinal ;
à cet instant
la vitre se change en vitrail de couleur,
celles de ses ailes
et le silence du verre se double de celui de son vol,
comme une prière
Pierre Cressant

Avant que la planète nous cache définitivement ses secrets ...

En utilisant une technologie laser, des archéologues ont réussi à découvrir les restes d'une ancienne cité oubliée depuis 200 ans en Afrique du Sud. Nommée Kweneng, la ville aurait connu son apogée au XVe siècle et abrité quelque 10.000 habitants.

A voir ce paysage désert, uniquement recouvert par la végétation, difficile de croire qu'il y a quelques siècles, ce même paysage abritait une ville prospère peuplée de milliers d'habitants, et pourtant, c'est ce qu'affirment des scientifiques. Dans la chaîne de Suikerbosrand en Afrique du Sud, ils ont révélé les vestiges d'une cité oubliée depuis 200 ans.
https://www.geo.fr/histoire/une-cite-perdue-depuis-200-ans-refait-surface-en-afrique-du-sud-194465

Avec déjà un quart de leur territoire sous le niveau de la mer, les Pays-Bas innovent tous azimuts pour rester au sec. Enquête sur la nation qui sait comment sauver l’humanité du déluge.

Quand ils regardent le Waal, un bras du Rhin aux eaux émeraude, nombreux sont ceux parmi les 170 000 habitants du bourg de Nimègue qui se demandent s’ils ne rêvent pas : ici, dans l’est des Pays-Bas, tout a changé en seulement quatre ans. Certes, dominant la rive gauche, le centre historique a conservé sa superbe, avec sa majestueuse église Saint-Etienne et ses ruelles pavées qui grimpent jusqu’à la place du marché. Et en contrebas, le long des quais, le trafic est toujours aussi intense : des dizaines de péniches continuent de passer chaque jour. Mais pour le reste, quel chambardement ! Sur la rive droite, la plus ancienne cité du pays, fondée à l’époque romaine, à plus de 150 kilomètres des côtes de la mer du Nord, a désormais des airs de… Saint-Tropez.
https://www.geo.fr/environnement/montee-des-eaux-comment-la-hollande-se-prepare-194824

A l’heure où les vêtements écologiques fleurissent dans les grandes enseignes de prêt-à-porter, les fabricants de textiles remettent au goût du jour des fibres végétales telles que le lin, le chanvre mais aussi l’ortie. Cette plante, jadis utilisée pour fabriquer des cordages, offre une alternative intéressante au coton, dont la culture est très gourmande en eau.

Un usage ancien de l'ortie

Au Moyen Age, les fibres d'ortie étaient largement utilisées pour fabriquer des cordages, des fils et même des vêtements. Cet usage est attesté en Pologne, du XIIe siècle au XVIIe siècle, jusqu'au remplacement de l'ortie par le fil de soie.

Si le coton a supplanté la plupart des autres fibres textiles végétales dans le monde, en Himalaya, l’usage d’une ortie locale (Urtica parviflora) pour fabriquer des cordages, des tissus et du papier a perduré jusqu’à nos jours.
https://www.gralon.net/articles/materiel-et-consommables/materiels-industriels/article-l-ortie---une-fibre-textile-ecologique-4757.htm

Comme dit le proverbe, "L'adversité ne construit pas le caractère, elle le révèle." Cela n'a jamais été aussi vrai qu'en cas de catastrophe. En période de grand malheur et même de catastrophe, rares sont souvent les personnes qui ont la force et le courage d'aller au-delà pour aider les autres à survivre.

De nombreuses tragédies ont conduit à des histoires de grand sacrifice de soi alors que les gens ont fait preuve d'un immense courage pour sauver la vie des autres. Pour que leur héroïsme ne soit jamais oublié, voici les récits de 10 personnes qui ont sacrifié leur vie pour sauver les autres. (listverse)

Benjamin Clark ...

Benjamin Keefe Clark n’a pas servi comme officier de police ni pompier le 11 septembre 2001. Il travaillait comme chef cuisinier et préparait les repas pour ceux de la Fiduciary Trust Company au 96e étage de la tour sud. Lorsque l'avion a percuté le bâtiment, il n'a pas tenté d'échapper à la catastrophe lui-même. Au lieu de cela, il a pris les mesures pour guider les autres vers la sécurité.

L'ancien Marine aurait assuré que tous les membres de son département ainsi que tous les bureaux du 96ème étage évacueraient immédiatement le bâtiment. Suite à l'événement tragique, un fonctionnaire de la Fiduciaire a confié à Benjamin avoir sauvé des centaines de vies. Par exemple, une fois au 78ème étage, il aurait aidé une femme en fauteuil roulant. Malgré son indéniable héroïsme, il n’a pas survécu à cet événement tragique.

Photographe primé, Drew Doggett est un conteur. Regarder son travail stimule l’imagination et offre à son public un regard artistique sur ses sujets. Ici, l’artiste évoque sa nouvelle série (imprimée en édition limitée) intitulée Swell: Endless Blue ainsi que le court métrage, The Escape, sur la surfeuse professionnelle Alana Blanchard. Une introduction au monde du surf avec toutes ses notions de liberté, de nature, de joie et, bien sûr, de la beauté du sport lui-même.
http://www.fubiz.net/2019/06/29/through-the-lense-of-drew-dogget/

Catherine Finazzi est née à Vichy en 1953, elle s’intéresse très tôt au dessin et à la peinture grâce à son oncle, Prosper Aubertin. Elle devient ensuite élève du sculpteur André Tajana, lequel sera, en 1960, professeur de dessin de la ville de Vichy, où il réside jusqu’à son décès en 1999. En 1985, la rencontre de Catherine Finazzi avec l’artiste André Veillas influence durablement les œuvres.
http://www.catherine-finazzi.com/?page_id=52