• Revivre encore ...

    Depuis ma migration
    à travers tant de corps
    les siècles s’entassent
    sur mes os

    Mon ombre se cogne
    à chaque paroi

    Le monde est virtuel

    Le visible
    reste invisible

    Le courant de vie
    qui me traverse
    est sans retour

    Lorsque je plonge
    en moi-même
    je vois la terre entière
    qui tourne dans mon sang
    Anise Koltz


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