Echappée en terre du silence avec Nina Keinrath
par Marine Dadoun

Sur les pistes sinueuses de l’Atlas, la photographe et vidéaste autrichienne Nina Keinrath se confronte au Maroc dans ce qu’il a de plus énigmatique. Par monts et vallées, on pénètre sur ces terres reculées, renouant avec son sol fertile et sa culture berbère. À flanc de montagnes, le temps semble suspendu, comme un tableau vivant au ralenti. Le soleil dévale les versants des vallées antiques, laissant ses rayons sculpter des paysages érodés. Partout résonnent les chants traditionnels berbères, ces marcheurs infatigables qui sillonnent inlassablement les chemins ancestraux de la région. Au carrefour des médinas animées de Marrakech, Essaouira, Ouarzazate et Taroudant, Nina Keinrath nous offre une envoûtante échappée en terre du silence.
http://www.lesothers.com/echappee-terre-silence-maroc-nina-keinrath/

Elizabeth Lazeren
connue pour ses peintures marines qui ont une mélancolie solitaire et sublime.
https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.galleryantonia.com/lazeren_e.html&prev=search

Trois mensonges lourds empoisonnent le discours du pouvoir et paralysent son action.

Premier mensonge, il est dit que la hausse de la taxe sur les carburants aurait une vocation écologique. Son objectif serait de réduire la consommation d’essence et de diesel pour lutter contre la pollution. Or cela est faux. Les français n’utilisent pas leurs véhicules pour le plaisir de polluer, mais parce qu’il s’agit, dans un grand nombre de régions de France, dans un grand nombre de villes et de villages, d’un moyen de locomotion absolument indispensable pour travailler et pour vivre.

Deuxième mensonge, il est dit que le poids gigantesque des prélèvements obligatoires auquel notre pays est soumis serait un instrument de redistribution et de justice sociale. Or cela est faux. La machine étatique à redistribuer fonctionne de plus en plus mal. D’un côté, le niveau des prélèvements ne cesse d’augmenter, d’un autre la pauvreté ne cesse de progresser et les infrastructures publiques se dégradent gravement. Les retraites, les prestations sociales sont laminées.

Troisième mensonge, il est dit que la colère des français est comprise, écoutée, entendue. Or cela est faux. Face aux protestations, les gouvernants sont barricadés physiquement derrière des rangés de forces de l’ordre et surtout, ils sont barricadés mentalement dans leurs certitudes.
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/un-peril-jaune-en-gilet-209964

Je pense que le gouvernement a peur de cette jacquerie et que les forces de l'ordre, en nombre illimité sont là pour que les casseurs cassent en se faisant passer pour des gilets jaunes ...
Si nous n'étions que la France, comme en mai 68, il y aurait des possibilités de s'en sortir mais la mondialisation du fric fausse tout. Plus aucun pays n'est libre de faire sa loi.
Joie

Par Patrick Mignard

Je ne sais pas vous, mais moi, franchement, je n’ai plus envie d’aller dans les manifs, les rassemblements, de signer des pétitions, d’accompagner des délégations… sans parler d’aller voter. L’âge diront certains !… Je ne le crois pas car mes facultés de révolte et d’indignation, non seulement sont intactes, mais se renforcent avec les ans. Alors ? Docteur, suis-je normal ?

 

DE DEUX CHOSES, L’UNE

Ou bien on a tout faux, on s’est trompé depuis le début, tous nos espoirs sont chimériques, nos idées irréalisables et la majorité n’a finalement que ce qu’elle mérite… un système pourri qui nous conduit à la catastrophe, et « on l’aura bien mérité » ! Ou bien nous agissons comme des imbéciles et avons une stratégie totalement inadaptée à la situation. Il est évident que notre attitude ne peut se maintenir ainsi. Les mobilisations fondent au fur et à mesure que les atteintes aux acquis sociaux s’accroissent… Une situation apparemment absurde, et ce ne sont pas les images illusoires de manifestations « traîne-savates », où le folklore l’emporte sur le politique, qui changent, et changeront, quelque chose à la situation.

L’atteinte aux « acquis sociaux » essentiels, retraites, protection sociale, service public, temps de travail, on a l’impression, et plus que l’impression, que la majorité s’en fout, est résignée… et elle va même jusqu’à mettre au pouvoir celles et ceux qui proclament haut et fort qu’ils vont liquider tous ces soi-disant « privilèges ». (?) Ce ne sont pas, en effet, que les riches qui votent pour les privilégiés du système en place, mais aussi, et même en nombre, les pauvres… La dernière élection présidentielle en dit long sur la décomposition politique et civique de ce que l’on appelle « le peuple ». Cette situation conforte d’ailleurs le système dans sa démagogie : « Regardez, nous dit-il, le peuple quand il s’exprime (par les élections seul moyen d’expression) nous donne raison… alors, quel sens peuvent avoir vos critiques ? »… Et on est bien emmerdé pour répondre, du moins sur ce terrain.

Pourtant une question de fond demeure : Un peuple de soumis et de résignés est-il encore un « peuple citoyen » ? La persévérance, voire l’abnégation dans des formes de luttes périmées, celles que proposent partis et syndicats, ne sauraient produire une stratégie offensive de changement… si c’était le cas, il y a longtemps que la situation aurait changé.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article2752

Et c'est bien parti pour la journée ...
Paris s'éveille avec une sacrée gueule de bois ...
Le freluquet a dit que ce n'était pas bien !
Pourtant quelqu'un lui a proposé de vivre avec 500 euros par mois ....
Ca partait d'un bon sentiment
Bonne journée
On ne tombe pas amoureux des femmes parce qu'elles sont belles.
On tombe amoureux des femmes parce qu'elles sont quelqu'un.
Julia Kerninon

Sinistre, mais calme ...
A Paris c'est tragique ...
Le gouvernement est en exil ?
Bonne soirée en province ?
Gardez-vos lampes allumées, car la liberté
- de même que l'amour ou la tendresse -
ne vient pas à ceux qui dorment.
René Depest

Je pense que les femmes sont folles de croire qu'elles sont égales à l'homme.
Elles sont de loin supérieures et le resteront toujours.
Car qu'importe ce que tu donnes à la femme,
elle en fera toujours quelque chose de mieux.

Si tu lui donnes ton sperme,
elle te fera un enfant.
Si tu lui donnes une maison,
elle te donnera un havre de paix.
Si tu lui donnes des aliments
elle te fera un repas.
Si tu lui donnes un sourire,
elle te donnera son cœur.
Elle saura toujours en mesure de bonifier ce que tu lui donneras.
William Golding

Souviens-toi de ta mère et de ton père,
et de ton premier mensonge dont l’indiscrète odeur rampe dans ta mémoire.

Souviens-toi de ta première insulte,
à ceux qui te firent : la graine de l’orgueil était semée, la cassure luisait, rompant la nuit une.

Souviens-toi des soirs de terreur
où la pensée du néant te griffait au ventre,
et revenait toujours te le ronger,
comme un vautour ;
et souviens-toi des matins de soleil dans la chambre.
René Daumal

J’ai voulu croire
que tu n’étais qu’un sparadramour
mais lorsque tu as commencé à te décoller de moi,
j’ai eu plus mal encore
que si on m’arrachait la peau
avec une fourchette à escargot.
Mathias Malzieu

Et un jour, j'ai décidé que pour moi Noël n'existait plus ...
Ce soir-là m'est réservé ... ainsi qu'à mes chiens ...
Plus de fête, plus de festin, plus de décorations, plus de cadeau, plus de famille ...
c'était il y a plus de 15 ans ... mon mari vivait encore ...
Ca a fait du bruit dans Landerneau  ...
Une amie m'a dit un jour : "comme j'aimerais faire comme toi !"
https://www.huffingtonpost.fr/lucie-tobin/et-un-jour-jai-arrete-de-feter-noel_a_21625766/

Par contre le 21, la vraie fête païenne du solstice d'hiver, de la lumière qui va revenir ...
alors là, c'est ma joie ...