• Les mondes anciens ...

    Voyez-vous ce massif bloc de pierre ? Ouais, ce n'est pas celui dont nous parlons. Regardez à droite. Les archéologues allemands travaillant sur le site de Baalbek au Liban ont découvert le plus grand bloc de pierre ancien connu.
    Le bloc entièrement exposé, qui remonte aux alentours de 27 avant JC, est le très connu Hajjar al-Hibla. Il est situé dans une carrière de pierre à Baalbek, site de l'ancienne Héliopolis au Liban. De blocs de pierre similaires, mesurant jusqu'à 20 mètres (65 pieds) de longueur et un diamètre de 4 x 4 mètres (13 x 13 pieds) ont été utilisés pour le podium du Temple massif de Jupiter dans le sanctuaire romain de Baalbek.
    Il y a quelques mois, une équipe de l'Institut archéologique allemand a effectué des excavations dans la carrière et à leur grand étonnement, ils ont trouvé une plus grande pierre juste à côté. Elle mesure 19,6 mètres (64 pieds) de long, 6 mètres (19,6 pieds) de large, et est d'au moins 5,5 mètres (18 pieds) de hauteur. Son poids est estimé à un redoutables 1.650 tonnes (ce est £ 3,3 millions, ou 1.496.850 kg). Les fouilles futures confirmeront ses dimensions précises.
    Les archéologues ont conclu qu'en raison de la configuration de la pierre et du niveau de finesse, le bloc a été conçu pour être transporté sans être coupé. Ce serai donc le plus grand bloc de pierre connu depuis l'antiquité. Ils vont maintenant étudier pourquoi la pierre n'a pas été achevée et est restée dans la carrière - et par quels moyens les constructeurs romains pensaient la transporter.


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  • Palmerston est visité par un navire d'approvisionnement deux fois par an, si les personnes qui y vivent sont chanceux. Environ 60 personnes y vivent, et tous ces gens sont des descendants de ses habitants d'origine, William Marsters. Marsters s' installe sur l'île en 1863; il a quitté sa première femme et leurs deux enfants en Angleterre, il a pris trois femmes polynésiennes, et s'est installé à Palmerston. Au moment où il est mort en 1899, il avait 17 enfants et 54 petits-enfants. Maintenant, ses descendants sont des milliers, mais seulement une poignée sont restés sur l'île paradisiaque.
    Il y a deux téléphones sur l'île, et un accès Internet - pour quatre heures par jour. Il y a seulement l'électricité fournie pour quelques heures par jour, aussi. Sa position a été décrit que de façon précise sur les cartes en 1969, et aujourd'hui encore, un voyage là-bas - par bateau - peut prendre des jours en bravant les tempêtes de l'océan le long du chemin.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Palmerston

    Les bouts du monde ...


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  • Shirako et c'est Japonais.
    Si vous pouvez avoir du caviar ou des oeufs de poisson femelle, alors vous pouvez essayer les sacs de sperme d'un mâle poisson alias Shirako.
    Est-ce qu'améliorer notre alimentation peut avoir une influence sur notre vie sexuelle ?
    Chez les japonaises le Shirako serait en vogue = sacs de sperme de cabillaud

    Bon appétit ...


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  • Santiago Carbonell a commencé à peindre à l'âge de dix ans. En 1981, il réalise sa première exposition, et est considéré comme le précurseur du photoréalisme et d'une iconographie réaliste vertueuse : le plus grand représentant de ce genre en Amérique latine.
    «J'ai commencé en tant qu'artiste pauvre, solitaire, mais quand il s'agit de mon travail, la vie m'a bien traité. Je n'ai jamais été marqué par le malheur. Dans l'ensemble, ma vie a été très agréable et mes photos, je pense, reflètent mon enthousiasme pour la paix, et pour la paix d'esprit.
    Globetrotter, a vécu en Equateur, en Espagne et aux États-Unis pour s'installer au Mexique.
    https://www.pinterest.com/chriskeng/the-art-of-santiago-carbonell/

    Le monde de Santiago ...


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  • Entre le 19ème et le 20ème siècle, les européens ont pillé les ressources et les richesses de l’Afrique. Les crimes coloniaux sont nombreux : division des ethnies par des frontières artificielles, ségrégation raciale, assassinats, déportations, travaux forcés, expropriations… Les routes et autres infrastructures ont été construites dans le but de favoriser le pillage et le transport des matières premières, mais aussi de faciliter l’acheminement des forces armées. Leur construction a été faite par les africains soumis trop souvent à de véritables travaux forcés. L’esclavagisme a fait la prospérité des grandes villes comme Bordeaux, Nantes, La Rochelle, Saint-Malo, etc., et de véritables fortunes ont été bâties !

     Que sont devenus Sylvanus Olympio, Patrice Lumumba, ou Thomas Sankara ? Tous assassinés pour avoir voulu l’autonomie et la liberté de leur pays, plutôt que de le livrer à des prédateurs, en échange d’un peu d’or ! Souvenez-vous de ces soldats, enrôlés dans l’armée française, pour défendre la « Mère Patrie » pendant la seconde guerre mondiale, et qui furent massacrés, pour avoir demandé que leurs pensions de guerre soient alignées sur celles de leurs frères d’armes français. Que sont devenus ceux de Setif qui après la victoire sur l’Allemagne nazie, réclamaient eux aussi plus de liberté ! La dictature, le clientélisme et la prédation des matières premières, mises en place par la colonisation sont devenues la norme pour les protégés des multinationales telles que Bongo, Sassou, Eyadema, Hissène Habre, Compaore… ou des dictateurs comme Mobutu et Bokassa. L’Afrique est un continent riche, mais les pays occidentaux, la France en particulier, a toujours les dents plantées à l’intérieur ! L’armée française et la puissance publique y défendent des intérêts privés. Le continent noir reste un enjeu économique majeur pour des sociétés comme Bouygues, Lafarge, Areva ou Total.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article27370

    Afrique, terre de pillage ...


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  • Par Maxime Combes

     Lors de la conférence environnementale, François Hollande a indiqué qu’il espérait « laisser sa trace » dans l’histoire en obtenant un « accord historique » en 2015. Peut-être ferait-il bien de commencer par ces dix mesures urgentes. Pour passer aux actes et ne plus se payer de mots. « Assez de mots, des actes ». C’est sur ce mot d’ordre qu’une majorité d’ONG et de mouvements avaient décidé de quitter les négociations à Varsovie lors de la précédente conférence de l’ONU sur le changement climatique en novembre 2013. Alors que les négociations de l’ONU reprennent ce lundi 1er décembre à Lima, voici une série de 10 mesures que François Hollande et Manuel Valls auraient pu annoncer lors de la Conférence environnementale. Pour que la petite phrase selon laquelle « le climat sera une grande cause nationale en 2015 » soit suivie d’effets.

    1 - Supprimer les financements climaticides

    Lors de la conférence environnementale, François Hollande a annoncé vouloir stopper les crédits à l’export liés au charbon ainsi que pousser l’UE à stopper à terme toute subvention aux énergies fossiles. Ces annonces, sans calendrier de mise en œuvre, sont minimes. En effet, aussi incroyable que cela puisse paraître au regard des engagements maintes fois répétés en faveur de la lutte contre les dérèglements climatiques, la France finance le développement des énergies fossiles à travers des fonds publics. Par l’intermédiaire de la Banque européenne d’investissements (BEI), la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), la Banque Mondiale mais aussi par l’intermédiaire de l’Agence française de développement et la Coface, la France, malgré quelques avancées récentes sur la diminution des financements en faveur du charbon, continue de financer directement ou indirectement le développement d’énergies climaticides. Par ailleurs, l’État, en tant qu’actionnaire d’entreprises publiques comme EDF ou GDF Suez contribue à maintenir de hauts niveaux d’investissement dans les énergies fossiles dans les pays du Sud et en Europe de l’Est. C’est tout simplement irresponsable. À la fois pour le climat, mais aussi pour les pays où atterrissent ces financements dont la dépendance aux énergies fossiles s’accroit ou perdure alors qu’il faudrait les aider et les soutenir pour en sortir. (voir le CP des Amis de la Terre)
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article27371

    Et le climat, on s'en occupe quand ?


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  • Les manifestations d’éleveurs contre le loup de ces 25-27 novembre écoulés, organisées à l’appel de syndicats agricoles, font entendre les difficultés ressenties par la profession mais aussi une conception de l’élevage ignorant tout des enjeux actuels de protection de la biodiversité. La Fédération nationale ovine considère le loup comme un « fléau » et demande rien de moins que « l’exclusion des loups des zones d’élevage ». Face à cette vision d’un autre âge, les associations de CAP Loup tiennent à rappeler les enjeux économiques et patrimoniaux du dossier.

    Le loup n’est pas responsable des difficultés économiques

    Le loup est une cible très facile à désigner, fédératrice pour des syndicats agricoles dépassés par les difficultés profondes de la filière ovine. La très forte concurrence internationale, la baisse continue de la consommation de viande ovine en France (- 50% en 30 ans), la disparition des terres agricoles au profit de l’urbanisation (7 millions d’hectares en 50 ans), la multiplication des maladies (émergence récente du virus de Schmallenberg) : voilà les causes réelles des difficultés de l’élevage ovin.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article27374

    Arrêtons de hurler avec les loups humains ...


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  • et au vert, mes arbres étant persistants ...
    Le principal c'est le soleil en coeur ?
    Bonne journée !
    Si nous apprenons à ouvrir nos cœurs, toute personne,
    y compris les gens qui nous rendent fou, peut être notre professeur.
    Pema Chödrön

    Je crois que je vais être abonnée au gris ...

     


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  • Je ne vais quand même pas dire ... enfin ...
    Je m'en passerais bien d'hiver moi !
    Temps sinistre tantôt ... ocho ... ocho ...
    Bonne soirée et à demain !
    La chose la plus importante dans toutes les relations humaines est la conversation, mais les gens ne parlent plus, ils ne s'assoient plus pour parler et écouter.
    Ils vont au théâtre, au cinéma, regardent la télévision, écoutent la radio,
    lisent des livres, mais ils ne parlent presque jamais.
    Si nous voulons changer le monde, nous devons revenir à une époque
    où les guerriers se rassemblaient autour d'un feu et se racontaient des histoires.
    Paulo Coelho

    On dirait que l'hiver s'invite ...


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  • "On ouvre des portes, une à une.
    La distance qui sépare une porte de la suivante, on met des mois à la franchir, parfois des années.
    On est sans impatience. On va d’un pas égal, ni trop lent, ni trop pressé. La main sur la poignée tremble à peine. Dans une pièce il y a un cerisier en fleur. Dans une autre trois flocons de neige.
    Dans une autre encore une chaise de lumière.
    On reste sur le seuil, on s’efface contre la porte.
    On laisse entrer ce qui est bien plus grand que soi - on laisse aller le ciel auprès du cerisier,
    l’enfance courir jusqu’à la neige, l’ombre s’asseoir sur la petite chaise.
    Et puis on repart ouvrir d’autres portes, un peu plus loin.
    C’est une activité somnambule, faussement calme, à peine consciente.
    On appelle ça : écrire.”
    C. Bobin

    Des portes ...


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