• Assim vai o mundo...

     

    Rainer Hachfeld, Neues Deutschland, Ge
     Bien protégée pourtant Ângela Merkel prend l'eau.

    Emad Hajjaj, Jordan
    Les poches sont vides...

    On ne peut plus rouler

     

     

     

     

     

     

     


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  • TmJ
    un homme secret qui fait des photos magiques ?


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  • Nom Kinnear King

    Originaire d'un village du Norfolk, Nom Kinnear King a étudié à l'école de Norwich of Art, puis a vécu en Australie, à  Londres et maintenant dans le  Sussex. La création de ses portraits féminins imaginaires,  huiles sur bois et  toile. Les sujets sont des filles qui errent de ville en ville dans un patchwork Nouveau Monde démodé, où accordéons et clarinettes traînent leurs pas, leur joie et le comportement curieux ombragé par une douce mélancolie. 

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    Collective)

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  • Sandhi schimmel Gold
    «Mon travail reflète l'obsession de notre société avec la beauté grâce à la publicité - et les images sans fin qui nous bombardent tous les jours Il est un mélange  délibéré des images provenant de la publicité et des milliers de pièces incongrues -. Images et  texte - de la publicité qui arrive dans ma boîte aux lettres assemblée. comme une mosaïque, les carreaux de courrier indésirable de papier  créent une image entièrement nouvelle - un portrait éclectique et tactile retravaillé dans mon imagination, en utilisant des matériaux qui, autrement, seraient jetés ".

     

     

     

     


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  • Fan est le diminutif de "enfant". On utilise ce mot dans un moulon d'expressions colorées et souvent exclamatives dont le sens est rarement à prendre au premier degré. Ces expressions marquent toujours l'étonnement, la surprise mais aussi la tristesse ou l'admiration.
    Fan de pute !
    Fan de garce !
    Fan de pétan !
    Fan des pieds !
    Pute et garce, tout le monde comprend ? Bon ... Pétan, c'est pareil ! Le mot est la déformation du provençal "putan". Quant à pieds, il semble que ce soit une allusion aux pieds des prostituées qui arpentent les trottoirs ; les pieds sont donc devenus synonyme de pute.
    Fan de chichourle !
    La chichourle, c'est la jujube, le tout petit fruit du jujubier. L'expression siginfierait donc qu'on parle d'une toute petite fille. De là à ce qu'elle finisse pute ...
    Bref, tout le monde a compris qu'au final, toutes ces expressiosns à base de Fan ! ont trait au plus vieux métier du monde.

    pute


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  • Comment réduire le poids de ses poubelles ? Comment payer ses œufs moins chers ?
    Les élus de Pincé ont trouvé la solution. À partir du mois de septembre, ils proposeront à chaque foyer qui en fera la demande d’adopter gratuitement deux poules pondeuses.
    Les gallinacées auront deux missions : manger les déchets organiques pour réduire la quantité de déchets à déposer à la poubelle et produire des œufs.
    Une solution originale et inédite pour faire des économies !

    poules.jpg


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  • Le gombo (Abelmoschus esculentus) est une plante annuelle cultivée pour ses fruits utilisés comme légumes. Originaire d'Egypte (vallée du Nil), on le consomme dans toute l'Afrique mais aussi en Afrique du Nord (appelé "gnaouia" dans le Maghreb), en Turquie, en Grèce et en Espagne. Les cultures réalisées sur le littoral méditerranéen français sont généralement intéressantes pour l'amateur.gombo fleur
    Le gombo se sème en poquets de 3 à 4 graines qui ont préalablement trempées dans de l'eau tiède pendant plusieurs heures. Le semis s'effectue dans une terre à 20° minimum (en godet à l'intérieur, par exemple). Le repiquage se fait à 3 feuilles après avoir éliminé les plants faibles de chaque poquet.
    Le gombo demande un terrain léger mais constamment humidifié.gombo plante
    La floraison jaune pâle n'est pas très spectaculaire mais ressemble à celle des hibiscus (même famille botanique). La plante atteint 2,50 mètres de haut et se révèle assez productive.
    Les gombos se récoltent jeunes, lorsqu'ils sont encore vert foncé et mesurent moins de 10 centimètres. Leur goût très fin rappelle celui de l'artichaut, la consistance est mucilagineuse et participe à des sauces et des ragoûts délicieux. Ce légume est en outre excellent pour la santé.gombos fruits


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  • «Je voulais une cuillère qui serait mince et ronde, aussi simple et aussi agréable que de manger un risotto." Dit Sempé, "Compte tenu de ce que j'aime le risotto, je l'ai conçue par une réflexion sur les couverts et les ustensiles que j'ai aimés : une cuillère à café danoise avec un bol très rond que j'ai utilisés et que j'ai perdus et des cuillères à café utilisées pour manger de la crème glacée, ma nourriture préférée, avec leurs bols plats. "
    IS01 était le projet gagnant dans "Design d'une cuillère", un concours promu par Domus pour célébrer l'anniversaire de Cucchiaio d'Argento (Silver Spoon), un livre de recettes historique qui, avec ses 3 millions d'exemplaires vendus en Italie et dans le monde et ses 12.000 recettes, a été un pilier dans les cuisines depuis 50 ans.

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  • Printemps 2010 : 10 joyeux Carnettistes tribulants se préparent à partir en Chine, invités par des mécènes chinois - un peintre et deux chefs d’entreprise - à dessiner ce pays mystérieux.

    Gratte-ciel et soupe de nouilles

    Couverture-Gratte-Ciel1.gif


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  • 28 mars 1942. Opération Chariot. C'est le nom de code d'une mission commando de l'armée britannique, dramatique mais victorieuse, dont Saint-Nazaire célèbre aujourd'hui le 70e anniversaire. Corran Purdon, 20 ans à l'époque, y sera.

    Comme un jeune homme, il monte en cadence l'interminable escalier de fer qui grimpe jusqu'au toit d'un des bâtiments de la base de sous-marins construite par l'armée allemande à Saint-Nazaire. Le vent d'est peut bien fouetter la peau rosée d'un visage ami des tempêtes irlandaises. Corran Purdon, 90 ans, domine l'estuaire de la Loire, qui « a beaucoup changé ». Juste en bas, il y a la forme Joubert, qui, elle, était déjà là le 28 mars 1942. 
    Cette cale sèche géante conçue dans les années 1920 lors de la construction du paquebot Normandie, le lieutenant Corran Purdon l'a découverte à 20 ans, de nuit, sous les tirs de l'artillerie adverse.
    Il est embarqué sur le Cambeltown, un destroyer de la Grande Guerre cédé par la marine américaine aux Britanniques, bricolé, renforcé et maquillé en torpilleur allemand. Un cheval de Troie piégé par quatre tonnes d'explosifs qu'il faut lancer sur la porte monumentale de la forme Joubert. L'état-major britannique a une obsession : mettre hors d'usage l'installation du port de Saint-Nazaire, la seule pouvant accueillir l'effrayant cuirassé Tirpitz que la marine allemande voudrait engager dans l'Atlantique.
    La mission est périlleuse, mais les volontaires ne manquent pas. 611 hommes, marins de la Royal Navy et combattants d'élite anglais, canadiens et écossais, embarquent sur le Cambeltown appuyé par une canonnière, un lance-torpille et seize vedettes devant rapatrier les soldats. L'opération Chariot est une armada de gars culottés qui se veulent invincibles.
    « Nous n'avions pas peur »
    «
     Nous n'avions pas peur. Nous étions trop occupés pour cela », assure Corran Purdon. Irlandais du Sud, il est entré dans les commandos britannique - « pour se battre » - sur les traces de son père, officier et médecin. Celui-ci était aussi passé par les bords de la Loire mais en juin 1940, pour embarquer des blessés britanniques sur le Lancastria. Le souvenir de ce paquebot bombardé, abandonnant près de 6 000 corps à la mer, a fini de motiver le garçon de Cork, têtu et revanchard.
    Oui, il fallait être sacrément gonflé, alors, pour glisser dans le chenal de Saint-Nazaire, pavillon de la Wehrmarcht hissé, envoyer des messages en allemand, jusqu'au moment où l'ennemi découvre la feinte et déclenche le feu. « On a tout de même eu le temps de mettre notre pavillon avant de s'encastrer dans la porte. »
    Le lieutenant du 12e commando a senti un choc « lourd et lent ». Il lui faut désormais sortir avec quatre soldats et deux caporaux. Sauter sur la porte, dérouler un pont de roseau, descendre au fond de la cale sèche, « courir, courir », jusqu'au bout, à 350 mètres. « Mon équipe devait détruire la station qui commande le mécanisme de la deuxième porte. Nous avions eu un long entraînement en Écosse, puis dans le dock de Southampton, identique à celui de Saint-Nazaire. On avait juste oublié un détail : la porte de la station était fermée et je n'avais pas de clé ! » Pas le temps de rire ou de pleurer. Il tire sur la serrure. « La balle a ricoché, frôlant un de mes hommes. Il m'a dit : "Je suis prêt à être tué par Adolf Hitler, mais pas par vous." »
    Le sabotage a réussi. Pas le retour au pays. « Nous étions coincés, sans possibilité de rejoindre les vedettes. » La bataille a duré toute la nuit dans les rues, effrayante pour les habitants du quartier du port. Ce débarquement avant l'heure fut meurtrier. 169 soldats tués. Seulement cinq bateaux et 214 hommes ont pu regagner l'Angleterre.
    Comme près de deux cents autres, Corran Purdon, blessé, a été fait prisonnier au matin. Ce même matin où la bombe à retardement cachée dans le Cambeltown a explosé, causant la mort de 360 soldats et officiers allemands montés à bord par curiosité.
    La forme Joubert n'a plus jamais servi à l'occupant. La bataille de l'Atlantique a basculé à Saint-Nazaire, le 28 mars 1942. Ce matin, soixante-dix ans plus tard, Corran Purdon célébrera ce « Jour J », face à la mer brillante. Il aura à ses côtés cinq compagnons et le canon du Cambeltown. « Il en sera ainsi jusqu'à ma mort. »

    Frédéric SALLE.


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