• hollande.PNG François Hollande est en train de se prendre la vague Mélenchon sous son pédalo, ce qui ne rassure guère certains hiérarques du PS tel Fabius qui préconise d’endiguer la montée du Front de Gauche.

    Les autres cherchent à se rassurer comme ils peuvent. « C’est un ami ! », disent-ils. « Il votera pour nous au second tour ! » Ce n’est pas faux. Mais il faut parfois se méfier de ses amis. Car Mélenchon ressemble beaucoup à l’ours « à demi léché » de la fable qui veut par gentillesse vous débarrasser d’une mouche sur le nez et pour ce faire vous lance « avec roideur » un pavé sur la tête.

    Conclusion de La Fontaine : « Rien n’est si dangereux qu’un ignorant ami ; Mieux vaudrait un sage ennemi. » mélanchon

    Bruno Testa
    for lunion.presse.fr
    Altermonde-sans-frontières


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  • Le point tournant de l'évolution personnelle se trouve alors que l'on découvre la force qui se trouve en nous et qui survit à toutes les blessures.
    Max Lerner

    oeil.jpg


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  • indien.PNG

    J'ai beaucoup plus de respect pour un Guerrier qui protège la Vie - pour nous, pour nos enfants, nos petits enfants et pour les générations futures - que pour une civilisation superficielle et ses intérêts personnels!
     Pendant que les magazines et les chaînes de télévision parlent de la vie des célébrités, .... le Chef de la Tribu des Kayapo a reçu la pire nouvelle de sa vie : Dilma, la présidente du Brésil, a donné son approbation pour la construction d'une énorme centrale hydroélectrique (la 3ème plus grandes au monde).
    C'est la sentence de mort pour tous les peuples vivant prêt du fleuve, car le barrage inondera environ 400 000 hectares de forêt. Plus de 40 000 Indiens devront trouver de nouveaux endroits où vivre. La destruction de l'habitat naturel, la déforestation et la disparition de plusieurs espèces sont des faits!!!
    Ce qui me retourne l'estomac, me fait honte de faire partie de cette culture occidentale, est la réaction du Chef de Tribu des Kayapo lorsqu'il apprend la décision - son geste d'impuissance devant l'avance du progrès du capitalisme, une civilisation moderne qui n'a aucun respect pour les cultures différentes de la leur...
    Mais nous savons qu'une image vaut mille mots, et montre le véritable prix à payer pour la "qualité de vie" de nos bourgeois
    Lien du site officiel Raoni se bat: http://raoni.fr/signature-petition-1.php  
    Habituellement, lorsqu'il se passe des monstruosités dans le monde, Avaaz m'envoie une demande de signature pour une pétition. 
    Mais là, rien. Vous me direz qu'il ne s'agit que de 40 000 indiens. Evidemment, à côté de millions de personnes, ce n'est rien. Et pourtant ! Ces indiens sont les derniers de civilisations anciennes, leur mode de vie diffère profondèment des nôtres et sont ancrés dans des valeurs que nous méprisons parfois, nous qui sommes si fiers de produire, fiers d'avoir de l'argent, fiers de progrès dont on se demande si nous avons vraiment raison d'en tirer un orgueil quelconque. Eux vivent encore simplement, ne connaissent pas les smart phones ou autre gadget indispensable mais leur vie est harmonieuse, dans une nature jusque là préservée. Et au nom de quoi va t-on leur enlever cela, les obligeant à partir, changer radicalement de mode de vie. Est-ce à dire qu'il n'y a plus dans notre monde de place pour ceux qui vivent différemment, que tout doit être aplani, que chacun, au nom de la mondialisation, doit perdre son identité, sa façon de vivre. 
    Je vous en prie, si cela vous indigne, copiez le texte ci-dessus et faites-le parvenir à tous ceux que vous connaissez ou cliquer sur le lien.
     


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  • corps.jpg

    Frotte ton corps contre le mien,
    Il sera bouche brûlante.
    Mon fascinant, mon turion,
    Tu m'habites de ta chaude présence,
    Le nid s'éveille effervescence...

    Alors, je me lève ouragan,
    La tête enfouie dans l'arc des jambes,
    Pour apaiser une bête furieuse.
    Tu fais en moi crier la sève.
    La jaillissante, vivant sans trêve...

    Ton odeur m'habite comme un fauve,
    Mon nid rêve de meurtrissures.
    Mes hanches éveillent d'étranges lueurs,
    Mes cuisses s'illuminent à ta joie !

    Je suis la soif du lœss sur les doux rivages.
    Le tonnerre bridé espérant son orage.
    L'attente fascinée du bourgeon sous la sève.
    Un corps amoureux, ta bête, la joie de tes mains.


    ©
    Brigitte Egger




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  • Pour mettre en lumière son engagement en faveur de l’environnement, le centre commercial d’Eaton à Montréal a fait appel à l’artiste ‘Roadsworth’ spécialiste du street marketing et de l’art urbain, et à son acolyte Brian Armstrong, pour habiller de matériaux de récup'les halls de l’espace commercial.

    installation-recup-fragile-roadsworth-1-528x227.png


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  • Marcelo Marches



     


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    Teuku Jody Zulkarnaen 
    L'Indonésie vue par un merveilleux photographe qui vit à Sumatra.
    Il capture des paysages à la fois simples et fantastiques, avec une lumière magique.
    Sa ruralité devient un rêve.

     

     

     

     

     

     



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  • rwanda.jpg

    A demi-allongé dans un siège de bois, terminé par une planche sur laquelle est fixée un boîtier métallique, Martin Uwayezu, 25 ans, pédale avec vigueur pour recharger des petites lampes à LED (diode électroluminescente).

    Ce générateur à pédales de conception simple et artisanale a changé la vie de milliers d'habitants des campagnes rwandaises, vivant dans des zones sans électricité, en leur apportant de la lumière bon marché et pour certains une nouvelle source de revenus.
    Pêcheur, Daniel Ntibaziyandemye pose ses pièges peu avant le crépuscule, parmi des broussailles denses dans la rivière Akanyary, chassant de la main les moustiques, l'oreille aux aguets pour détecter l'éventuelle présence de crocodiles qui infestent l'endroit.
    En pleine nuit, il revient s'aventurer dans cette eau dangereuse pour collecter sa pêche, une petite lampe à LED sur le front.
    "Auparavant nous utilisions des torches électriques pour retrouver nos pièges la nuit", explique Daniel.
    "Mais les piles étaient tellement chères que nos profits étaient maigres. Désormais avec ces nouvelles lampes, on peut pêcher pendant une semaine pour moins cher que ce que ça nous coûtait auparavant".
    Quand elle est déchargée, Daniel porte sa lampe au commerçant qui la lui a vendue et, qui comme Martin, va la recharger à coups de pédales.
    Le générateur est un petit boîtier d'environ 30 centimètres de haut, doté de pédales de chaque côté. Il faut pédaler à peine 20 minutes pour recharger cinq lampes et leur donner jusqu'à 25 heures d'autonomie, soit environ une semaine d'utilisation pour la plupart des gens.
    La compagnie vend à crédit les générateurs et les lampes à des petits commerçants locaux. Ceux-ci revendent les lampes, puis les rechargent chaque semaine pour un prix modique.
    A l'assaut des marchés en Afrique de l'Est et en Inde
    En plus des lampes à LED, Nuru Energy envisage d'étendre l'utilisation de ses générateurs au rechargement des téléphones mobiles et d'autres appareils dans les zones rurales sans réseau électrique.
    Après avoir lancé ses premiers générateurs à pédales au Rwanda, Nuru Energy développe des projets pilotes dans d'autres pays, tels que l'Inde.
    L'entreprise revendique désormais 10.000 clients au Rwanda et cherche à s'implanter dans d'autres pays d'Afrique de l'Est,  d'ici la fin de l'année.

     


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  • Présentation de la version 2.0

    Annoncé comme "le cyclomoteur électrique le plus vendu en France ces douze derniers mois" par Jean-Pierre Bansard, dirigeant du groupe Cible, actuel propriétaire de la marque Solex, le e-Solex se présente comme une réponse originale et pertinente aux problèmes de circulation urbaine et de pollution.
    Originale, car ressusciter un mythe comme le Solex (lire encadré ci-contre) avec son look suranné pour en faire le véhicule urbain du XXIème siècle pouvait a priori relever de la gageure. Pertinent cependant, car il délaisse son antique motorisation thermique entraînant la roue avant via des galets pour une propulsion électrique très en vue.

    Le e-Solex 2.0

    Pour lui apporter une touche de modernité tout en respectant les codes esthétiques de ce best-seller écoulé à plus de huit millions (!) d'exemplaires dans le monde, le designer Pininfarina fut mis à contribution et dès 2005, un prototype du e-Solex est dévoilé à Paris.
    Le dernier modèle, assemblé en Chine pêche un peu par cette chinoiserie !!!


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  • Un subtil parfum d'orange flotte à deux pas de l'École de cavalerie et tutoie les hautes tours du château de Saumur, à deux encablures. Bienvenue chez Combier ! La plus vieille distillerie des Pays de la Loire (depuis 1834 !) fait ronronner ses tuyaux cuivrés où s'élabore comme par le passé son fameux triple sec, parce que distillé trois fois.
    Combier, c'est un artisanat toujours dans son jus. « On n'a jamais bougé ! », confirme-t-on à la boutique qui reçoit plus d'un visiteur du Cadre noir. Pierres en tuffeau, cheminée frappée des initiales de Jean-Baptiste, le confiseur mâconnais devenu créateur de liqueurs pour fourrer ses bonbons : les douceurs Combier naissent toujours dans le pâté de maisons où elles ont vu le jour.
    Ce patrimoine du Saumurois décline la richesse des fruits et fleurs du jardin de la France : une matière première ramassée dans un rayon de 30 km, déclinée en cent variétés et plus. Le triple sec, donc, mais aussi l'un des plus vieux guignolet qui soit, des crèmes de fruits qu'on ne peut imaginer, des liqueurs, des sirops, même une absinthe dont on fête le retour en grâce.
    80% à l'exportation
    La boutique est pleine de mignonnettes, de flacons, de bouteilles variées ressemblant parfois à des parfums. Cent variétés, presque autant de couleurs. Et, quand on goûte modérément, comme un fruit liquide coule dans votre gorge, taisant son cachet d'alcool.
    Le maître des lieux s'appelle Franck Choisne. À la tête d'une douzaine de salariés, il a repris Combier en 2001, quand la distillerie vivotait. « Si je n'avais pas été liquoriste, j'aurais été viticulteur », assure cet Angevin. Exact : il aurait mis la même passion pour les choses de la terre. « Cet après-midi, je tombe le costume et je vais planter des cerisiers : des vieilles souches à guignolet récupérées en famille ! »
    Avec lui, Combier a relevé la tête et vend désormais 600 000 bouteilles l'an, dont 80 % hors de France, au Japon, en Angleterre... aux États-Unis, où il déniche, « dans les bars à cocktails de New York à San Francisco, des idées de parfum, de produit. C'est une mode à deviner ! »
    À trois quarts d'heure de route, changement d'ambiance chez Giffard ? Pas vraiment ! Le flacon du deuxième liquoriste angevin, un poil plus gros que Combier (une cinquantaine de salariés), révèle lui aussi ses ingrédients : artisanat de qualité, goût pour la matière première et sens du patrimoine.
    Sens du patrimoine
    Ici, la différence réside dans l'absence de rupture. La saga familiale se poursuit depuis 1885, avec l'invention par le pharmacien Émile Giffard de la célèbre menthe-pastille. Édith et son frère Bruno représentent la quatrième génération à la barre du navire, qui a quitté le centre d'Angers en 1972 pour les commodités d'Avrillé.
    Là aussi, on parle exportation, goûts, cocktails. On travaille, comme sur un piano de senteurs, à l'élaboration de nouveaux produits qui feront le bonheur des barmen. On jongle avec les tendances. « Il y a dix ans, c'étaient les épices. Puis, il y a cinq ans, les agrumes. Aujourd'hui, c'est le vintage. Le plus branché des barmen va chercher le truc le plus vieux du monde ! Pour nous, ça tombe bien... »
    Et à quoi reconnaît-on un bon nouveau produit, Mme Giffard ? « Long en bouche, très aromatique, avec un bon équilibre acide et sucre... » Vous voulez en savoir plus ? Profitez, samedi, du Printemps des liqueurs ! Modérément mais intensément. DL;

    Laurent GAUCHOT. DL;

    Bon, j'ai dit une petite lichouille ça veut dire gaffe ... modération

    Loi 91-32 du 10 janvier 1991 relative à la lutte contre le tabagisme et l'alcoolisme


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