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"Sème tes pois à la Saint Patrice, tu en auras à ton caprice."
J'ai bien compris. Je vais donc en semer une dizaine mais je vous préviens, mon caprice sera d'en récolter 250 kilos."Quand il fait doux à la Saint-Patrice, de leur trou sortent les écrevisses."
Mon dieu, c'est épouvantable ... toutes ces bestioles auraient donc passé l'hiver dans ... Ooooh ... mais ça doit horriblement gratter !
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''L'ailleurs que Francine Van Hove nous dépeint est peuplé de jeunes femmes nues. La lumière qui les met en scène est précise et rend plausible un imperceptible décalage par rapport à la réalité.
Très naturellement ses personnages prennent des poses qui nous font ressentir le point d'équilibre fragile et sublime, séparant le quotidien d'un état plus parfait.
Ses figures et ses corps (elle peint d'après des modèles vivants) définissent certains canons de beauté. Cette aptitude est caractéristique d'un sens inné de la stylisation qui est toujours apparue nécessaire aux peintres ayant quelque prédisposition à se situer hors du temps.
La peinture de Van Hove possède la vertu essentielle de suggérer sans discourir. Elle a l'art de supprimer les intermédiaires entre les émotions et leur perception. Les sentiments les plus subtils, les allusions les plus ténues qu'elle nous adresse, nous parviennent avec une curieuse impression de netteté. Et la vibration de cette transmission est pur plaisir.''
A. Blondel,
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Les japonais ont le Fuji
Et moi j'ai les seins de Nini
Je n'ai pas besoin de geisha
Car j'ai Nini auprès de moiQuand il fait froid sa peau est chaude
Elle a un goût de reine-claude
Quand il fait chaud sa peau est fraîche
Elle est plus douce que la pêcheDans ses bras je suis nourrisson
Et je mordille ses tétons
Mais si j'étais un vrai bébé
je m'enivrerais de son laitMon sexe est un petit fripon
Il se glisse entre ses mamelles
Il y remue comme un gardon
Entre deux rayons de soleil.
Chris Wac
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comme Vierge.
La vierge hypnotisée que mon vit effarouche
Avance lentement la main pour caresser
L’objet de son désir
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" Que peut-il ? Tout. Qu'a-t-il fait ? Rien.
Avec cette pleine puissance, en huit mois un homme de génie eût changé la face de la France, de l'Europe peut-être.
Seulement voilà, il a pris la France et n'en sait rien faire. Dieu sait pourtant que le Président se démène : il fait rage, il touche à tout, il court après les projets ; ne pouvant créer, il décrète ; il cherche à donner le change sur sa nullité ; c'est le mouvement perpétuel ; mais, hélas ! cette roue tourne à vide.
L'homme qui, après sa prise du pouvoir a épousé une princesse étrangère est un carriériste avantageux.
Il aime la gloriole, les paillettes, les grands mots, ce qui sonne, ce qui brille, toutes les verroteries du pouvoir.
Il a pour lui l'argent, l'agio, la banque, la Bourse, le coffre-fort. Il a des caprices, il faut qu'il les satisfasse.
Quand on mesure l'homme et qu'on le trouve si petit et qu'ensuite on mesure le succès et qu'on le trouve énorme, il est impossible que l'esprit n'éprouve pas quelque surprise.
On y ajoutera le cynisme car, la France, il la foule aux pieds, lui rit au nez, la brave, la nie, l'insulte et la bafoue ! Triste spectacle que celui du galop, à travers l'absurde, d'un homme médiocre échappé ".
Victor HUGO, dans "Napoléon, le petit"
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Si ça continue, nous allons devoir changer de couleurs !!!
Je trouve qu'ils ont fait une tête de Bayrou à Hollande !
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En effet, il est une évidence,
Les hommes souffre de la distance,
De leur engin à l’urinoir,
Bien viser est sans espoir.
Ce ne sont pas les dames qui me nieront,
Qu’il n’est pas vrai mon fameux dicton,
Qu’un homme se sert de son ustensile,
Comme d’une pétoire et non d’un fusil !
La chose à l’air, bien illusoire,
Pourtant songez qu’elle fait histoire !
Là bas leurs merveilleux urinoirs,
Cachent un secret dans ce creux versoir.
Les pissotières ont dans leur émail,
Une mouche, une cible, en attirail,
Que ces messieurs visent dans leur labeur,
Vidant leur vessie avec plus d’ardeur !
Ainsi est réglée la cruelle question,
De l’homme qui pisse sans attention.
Cette histoire, j’espère, vous a fait sourire,
Allez voir et attestez que ce n’est pas pour rire !
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Contrepèteries :
1- Il faut la pousser fort pour rentrer sa bête dans l'écurie.
2- Le camp a été la victime d'un coup de semonce.
3- Les dames du port aiment que les vents caressent leur vitre.
4- Les cuistots adorent goûter les sauces.
5- En dînant dans le Perche, j'ai pu goûter la cervelle et la macreuse.
6- Le froid se glisse sous les docks et les jeunes ouvrières gémissent de froid.
7- Le chic de ses bottes séduisit celles qui cousaient les robes.
8- A force de mouiller ces fiches, je suis arrivé au fond de la colle.
9- L'aller et retour du Mans lui avait desséché la glotte.
10- Elle préfère ce simple Anjou au jus de la treille qu'elle met en boutique.
Traductions :
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