• 30 meubles à fabriquer soi-même, comme un pro !!!

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  • Barcos.jpg

    Sur ses rives
    Où méditait
    L'Autre Moi
    Certains soirs
    Comme aujourd'hui
    Quand passent
    Les petites barques
    Qui sentent le vieil Océan
    Et le Grand Large
    Du Desassossego...


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  • A peine sorti de l’enfance, à cet âge où les jeunes gens, devenus maîtres d’eux-mêmes, font déjà voir s’ils suivront, pendant leur vie, le chemin de la vertu ou celui du vice, Hercule s’assit dans un lieu solitaire, ne sachant laquelle choisir des deux routes qui s’offraient à lui. Soudain il voit s’avancer deux femmes d’une taille majestueuse. L’une, joignant la noblesse à la beauté, n’avait d’ornements que ceux de la nature, dans ses yeux régnait la pudeur, dans tout son air la modestie, elle était vêtue de blanc. L’autre avait cet embonpoint qui accompagne la mollesse, et, sur son visage apprêté, la céruse et le fard altéraient les couleurs naturelles, la démarche altière et superbe, les regards effrontés, parée de manière à laisser entrevoir tous ses charmes, elle se considérait sans cesse elle-même, et ses yeux cherchaient des admirateurs, que dis-je, elle se plaisait à regarder son ombre. Lorsqu’elles furent toutes deux plus près d’Hercule, la première vint à lui sans hâter le pas, mais l’autre, voulant la prévenir accourut vers lui.
    hercule
    « Hercule, lui dit-elle, je vois que tu ne sais quel chemin tu dois prendre. Si tu me fais ton amie, je te conduirai par la route la plus douce et la plus facile, aucun plaisir ne te sera refusé, aucune peine n’affligera ta vie. D’abord tu n’auras à redouter ni la guerre, ni les vains soucis: ta seule occupation sera de trouver les boissons et les mets qui pourront te plaire, ce qui flattera le mieux, à ton avis, les yeux et les oreilles, l’odorat et le toucher, les amours avec toute leur ivresse, le sommeil avec toute sa douceur, et tu ne songeras qu’au moyen le plus court d’être heureux. Et, si tu crains de manquer jamais des trésors qui achètent les Plaisirs, rassure-toi, je t’en comblerai, sans prescrire jamais à ton corps ni à ton esprit des travaux pénibles: tu jouiras des travaux des autres, tout, pour t’enrichir, te sera légitime je donne à ceux qui me suivent le droit de tout sacrifier au bonheur.
    — Et vous que je viens d’entendre, répondit Hercule, quel est votre nom?
    — Mes amis, dit-elle, me nomment la Félicité , mes ennemis, mes calomniateurs, m’ont appelée la Volupté. »

    Cependant l’autre femme s’était avancée. Elle parle en ces mots: « Et moi aussi, Hercule, je parais devant toi, c’est que je n’ignore pas de qui tu tiens le jour, c’est que ton éducation m’a révélé ton caractère. J’espère donc, si tu choisis ma route que tu vas briller entre les grands hommes par tes exploits et tes vertus, et donner ainsi un nouvel éclat à mon nom, un nouveau prix à mes bienfaits. Je ne t’abuserai pas en te promettant les plaisirs, j’ose t’apprendre avec franchise les décrets des dieux sur les hommes. Ce n’est qu’au prix des soins et des travaux qu’ils répandent le bonheur et l’éclat sur votre vie. Si lu désires que les dieux te soient propices, rends hommage aux dieux, si tu prétends être chéri de tes amis, que ton amitié soit généreuse, si tu ambitionnes les honneurs dans un état, sois utile aux citoyens, s’il te paraît beau de voir tous les Grecs applaudir à ta vertu, cherche à servir la Grèce entière, veux-tu que la terre te produise des fruits abondants? tu dois la cultiver, que tes troupeaux t’enrichissent? Veille sur tes troupeaux, aspires-tu à dominer par la  guerre, à rendre tes amis libres et tes ennemis esclaves? apprends des guerriers habiles l’art des combats et que l’expérience t’enseigne à le pratiquer, veux-tu enfin que ton corps devienne robuste et vigoureux? souviens-toi de t’accoutumer à l’empire de l’âme, et de l’exercer au milieu des fatigues et des sueurs. »

    Sa rivale l’interrompit : « Ne vois-tu pas, Hercule, les obstacles et la longueur de cette route qui mène, dit-on, au bonheur? Moi je t’y conduirai par un chemin court et fleuri. »

    « Malheureuse, reprends la Vertu, de quel bonheur viens-tu parler? Quels plaisirs connais-tu, toi qui ne veux rien faire pour en mériter, toi qui préviens tous les besoins qu’il est doux de satisfaire et jouis sans avoir désiré, toi qui manges avant la faim, qui bois avant la soif, qui, pour assaisonner les mets délicats, emploies les mains les plus savantes, qui pour boire avec plus de charme, amasses des vins somptueux et court çà et là chercher de la neige en été, qui pour dormir plus doucement, imagines de fins tissus, de riches tapis étendus sous des lits superbes? Tu cherches le sommeil, non par besoin du repos mais par oisiveté. Dans l’amour, tu préviens et tu outrages la nature et tes amis, instruits par tes leçons, passent la nuit en plaisirs coupables, et la plus utile partie du jour dans une lâche inaction. Quel homme voudrait te croire quand tu lui parles, te secourir quand tu l’implores? Quel homme sensé oserait se mêler à tes vils adorateurs? Jeunes, ils traînent un corps languissant, plus âgés leur raison s’égare, aux brillants plaisirs d’une jeunesse oisive, succèdent les ennuis d’une laborieuse vieillesse, honteux de ce qu’ils ont fait, accablés de ce qu’ils font, ils ont couru, dans leur premier âge, de délices en délices, et réservé tous les maux pour leur déclin. Moi, je suis la compagne des dieux, la compagne des mortels irréprochables, sans moi, rien de sublime parmi les dieux ni sur la terre. Je reçois les plus grands honneurs, et des puissances divines, et de ceux d’entre ceux d’entre les hommes qui ont le droit de m’honorer. L’artisan n’a personne qui le soulage plus que moi dans ses peines, le chef de famille n’a pas d’économe plus fidèle, l’esclave, d’asile plus assuré, les travaux pacifiques, d’encouragement plus efficace, les exploits militaires, de meilleur garant de triomphe, l’amitié, de nœud plus sacré. Ceux qui me chérissent trouvent dans le boire et le manger un plaisir qu’ils n’achètent pas, ils attendent seulement que le besoin leur ait commandé. Le sommeil leur est plus agréable qu’aux riches indolents, mais ils se réveillent sans chagrin, et jamais l’heure du repos n’a pris sur celle du devoir. Jeunes, ils ont le plaisir d’entendre les éloges des vieillards, vieux, ils aiment à recueillir les respects de la jeunesse. C’est avec soin qu’ils se rappellent leurs actions passées, ils font avec joie ce qui leur reste à faire, et c’est moi qui leur concilie la faveur des Dieux, l’affection de leurs amis, les hommages de leurs concitoyens. Quand le terme fatal arrive, l’oubli du tombeau ne les ensevelit pas tout entiers, mais leur mémoire, toujours florissante, vit dans un long avenir. Imite leur grande âme, ô jeune héros ! sois digne du sang généreux qui t’a fait naître je te promets le bonheur et la gloire. »


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  • Allez, on se cale bien les coucougnettes, on se sparadrape la monichette et ...
    ON Y VA
    ... 

    En plein écran, c'est encore PIRE !!!


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  • Contrepèteries :

    1- Et ça intéresse qui, la fiction des éléments ?
    2- A Châteauroux, le rugby permet de sonner quelques Berrichons.
    3- Elle adore l'écusson de la Suisse.
    4- Sur le port d'Ajaccio, on voit des Corses en pleine fouille.
    5- Sacrée Mamie, il n'y a que les voies de dieu pour explorer le fond de la Creuse.
    6- Ce ne sont pas les canicules qui nous emballent !
    7- A Windsor, la Queen veut s'occuper des gueux.
    8- Camarades fileuses, évitez de nous planter vos quenouilles dans les côtes !
    9- Les religieuses se lèvent au couchant et se passent aisément de pain jusqu'aux mâtines.
    10- Sherlock, ce vieux limier qui n'arrêtait pas de fumer, basculait souvent sur le terrain de l'enquête.


    Traductions :

    1- Et ça intéresse qui, la miction des éléphants ?
    2- A Châteauroux, le rugby permet de serrer quelques beaux nichons.
    3- Elle adore les suçons de la cuisse.
    4- Sur le port d'Ajaccio, on voit des couilles en pleine force.
    5- Sacrée Mamie il n'y a que les doigts de vieux pour explorer le con de l'affreuse.
    6- Ce ne sont pas les cannibales qui nous enculent !
    7- A Windsor, la gouine veut s'occuper des queues.
    8- Camarades fileuses, évitez de nous planter vos quenottes dans les couilles !
    9- Les religieuses se lèchent au couvent et se passent aisément de pine jusqu'au matin.
    10- Sherlock, ce vieux fumier qui n'arrêtait pas de limer, enculait souvent sur le terrain de basket.


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  • agave panaché

    L'agave est une plante succulente persistante, originaire du Mexique, très typique des climats doux de la France et des zones tropicales sèches du monde. La touffe de feuilles très épaisses et lancéolées atteint les 2 mètres à 2 mètres 50 de haut comme de large.  Chaque feuille dure peut atteindre plus de 2 mètres, elle est garnie de piquants et d'un aiguillon terminal acéré.agave-americana fleurs
    L'agave résiste au froid sec autour de -7°C mais beaucoup moins si le sol et l'air sont humides. Les feuilles sont marquées à partir de -3°C. La plante demande un sol frais ou chaud mais très bien drainé ou sableux, voire sec en hiver. Son emplacement doit être ensoleillé. Plsieurs variétés d'agaves proposent des feuilles de couleur différentes. Le type est bleu-vert mais les plus spectaculaires sont vert marginé de jaune.
    La floraison est unique. L'agave ne fleurit qu'une fois dans sa vie, juste avant de mourir. L'inflorescence jaune-crème  est portée sur une tige centrale haute de 6 à 10 mètres, elle se produit l'été et dure un peu de un à trois mois. agave-americana GPCette floraison apparaît sur des sujets âgés d'environ une quinzaine d'années. La plante émet des drageons qui assurent sa reproduction sans intervention humaine. Ces rejets peuvent être déplacés et repiqués tant qu'ils sont jeunes après séparation de la plante-mère.


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  • Il vous faudra pour 4 personnes :
    800 gr de cuisses de grenouilles congelées.
    1 l d'eau.
    1 l de lait.
    5 gousses d'ail.
    1 botte de persil.
    50 gr de farine.
    50 gr de beurre clarifié.
    50 gr de beurre.
    1 citron jaune ... sel ... poivre bien sûr.

    La recette :
    Disposer les cuisses de grenouilles 1 heure dans le mélange eau et lait.
    Eplucher et émincer l'ail.
    Laver et sêcher le persil.
    Assaisonner les cuisses de grenouilles et les fariner.
    Dans une poêle faire fondre les 50 g de beurre clarifié et cuire les cuisses. Les cuire des deux côtés jusqu'à ce qu'elles soient blondes. Retirer les cuisses et les réserver au chaud.
    Presser et récupérer le jus du citron.
    Hâcher finement l'ail et le persil. Déposer ce hachis dans la sauteuse avec les 50 g de beurre. Faire fondre et remuer doucement jusqu'à obtenir un beurre mousseux. Verser le jus du citron.
    Remettre les cuisses de grenouilles, les enrober de persillade. Assaisonner, mélanger à nouveau et servez aussitôt.

    Un petit Sauvignon ? Pouilly Fuissé ?
    Bien sûr, ça se mange à la barbare, avé les doigts !!!

    cuisses-grenouilles--.-copie-1.jpg


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  • Degas - Nus à la toilette

    Il disait vouloir observer la vie par le trou de la serrure. C'est en ouvrant les portes des maisons closes que Degas a raconté la nudité. Ces toiles sont exposées au Musée d'Orsay

    degas combing hair femme

     

     degas nue à la toilette

     

    degas femme assise sur le rebord d'une baignoire

    Femme assise sur le rebord d'une baignoire et s'épongeant le cou ,Vers 1880

    Musée d'Orsay, Paris

     

     


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  • BON ANNIVERSAIRE à ...

    Stéphane (Etienne) Mallarmé qui aurait eu ce matin 170 ans, Nikolaï Andreïevitch Rimski-Korsakov qui orchestrerait ses 168 années, Rudolf Diesel qui vrombirait de ses 154 ans.

    Aujourd'hui encore, Arlette Laguiller va fêter ses 72 ans, arlette-laguillerPatrick Chesnay jouera ses 66 années, Xavier Deluc (Lepetit) en arrosera 54, Luc Besson mettra en scène ses 53 bougies, Olivier Minne en présentera 45 et Latiatia ... Laeticia Hallyday jubilera de ses 37 printemps.

    laeticia hallyday


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  • "Brouillard en mars, gelée en mai"
    Gelée de quoi ? Framboises, pommes, coings ? Royale ? Parce que sinon, la gelée matinale dûe au froid, c'est quand même assez limité, en France, non ? Heureusement, le brouillard en mars aussi !

    "A la Saint-Narcisse les mouches, aux pêcheurs les touches."
    "A la pêche aux mouches, mouches, mouches, je n'veux plus y aller, maman", comme dit la chanson ... Les rivières sont pleines de saloperies, pesticides, nitrates etc. Bien entendu, les truites et autres poiscailles avalent ça et si j'avale les truites, j'avale les saloperies aussi. Du coup, j'en deviendrais une. Oh, faut pas déconner, quand même !
    Laissons les mouches aux petits oiseaux !

    peche-a-la-moucheFinalement, je vais peut-être changer d'avis ...


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