Contrepèteries :

1- Il a déniché plein de crapauds dans ces dédales.
2- Chez Peppone, le curé célèbre les messes mais n'aime pas le faire.
3- Pour la lingerie fine, il faut faire attention aux refus de vente !
4- En Ecosse, les clans arrivent à pénétrer dans les groupes.
5- Dans ce genre de cimetière, l'aveugle sent bien le vent.
6- Après s'être coupé le lobe, Van Gogh a attrapé la gaze.
7- Cécile D. a déclaré : "Il manque Hulot à cette hystérique".
8- A la morgue, j'apprécie la paix de ma cabine.
9- Chez Météo-France, les stratus sentent la neige.
10- Dujardin a un énorme trac, juste avant la chute.

Traductions :

Elle est née dans un zoo d'Allemagne. C'est une antilope d'une espèce peu connue, une sitatunga. Cette espèce vit dans les marais autour des grands fleuves d'Afrique. Elle se nourrit de plantes aquatiques. Ses sabots sont longs et palmés afin qu'elle ne s'enfonce pas dans la boue; Elle nage fort bien !

Le Cycas revoluta, aussi appelé Sagou du Japon, est un arbre originaire du Japon et de Chine qui rappelle le palmier mais qui est en fait apparenté aux fougères arborescentes. C'est une plante dioïque, c'est à dire avec des sujets mâles et des sujets femelles différenciés.

Cycas (femelle)

Cycas (mâle)

Le feuillage persistant vert foncé rappelle les palmes tout comme les frondes des fougères. Son port est plutôt dressé sur un petit tronc et il peut atteindre 4 à 5 mètres en pleine terre.
La floraison ne vient que sur les sujets âgés, mâles et femelles ne présentant pas la même inflorescence. Elle est très originale et assez spectaculaire.
La croissance des cycas est lente et nécessite du soleil dans une terre fraîche et très bien drainée. Aucune taille ni aucun entretien n'est nécessaire. La plante supporte de très courtes périodes de gel (-5°C) mais meurt rapidement si le froid perdure.

Les cycas sont très décoratifs en isolé avec une forte mise en valeur. En pot, ils restent petits et fleurissent très rarement.

La vie est infiniment plus enrichissante quand on y prête attention.
Ouvrez l'oeil et vous verrez sa beauté.

(Auteur inconnu)

BON ANNIVERSAIRE à ...

Astor Piazzola qui aurait pianoté sur ses bretelles pour ses 91 ans.

Ce matin aussi, Pascale Breugnot fêtera ses 71 années, Jean-Paul Baudecroux ne manquera pas d'NRJ pour souffler ses 66 chandelles, Laure Adler cultivera ses 62 ans et Nina Hagen nous bercera de ses 57 hurlements.

"Bon rédeux à Saint-Euloge, voit les jeunes lapins à l'auge."

Un rédeux, ça élève des lapins. Et une rédeuse, ça élève quoi, hein ? Eh oui ...

Autrement dit, quand la rédeuse a fait son boulot, que voit-on à l'auge ? Et quand elle y est, pas question de la délauger ! Un coup à se faire cracher dessus, ça ...

Elles ne sont pas franchement joyeuses.
Cette crise .... disons ce fossé ? ce mur qui s'est érigé entre deux classes de la société !
Cette main-mise par une poignée de lobbies sur toutes les richesses du monde qu'ils font fructifier pour leurs clans en exploitant la multitude ...
Cette misère qui nous explose à la tronche ...
Ce silence de la rue ...
Cette démocratie qui se réduirait à des élections bidons tous les 5 ans ...
A une gauche-droite inféodée aux lobbies du fric ..
Tous ces restos du coeur, ces enfoirés mis en place pour les plus démunis et qui en fait servent plus à maintenir le peuple dans la croyance qu'il peut encore quelque chose !
Le printemps arrive et si nous changions notre monde !!!

J'ai croisé ces deux photos aujourd'hui et je trouve qu'elles représentent bien l'Amérique d'aujourd'hui.

La première le clinquant à la Disney ... cette façade jolie et gentille, "faites ce que je vous dis et pas ce que je fais" ... ce monde usé portant un masque ... les Disney land ... un monde qui n'existe pas, qui n'existe plus ...
La seconde, le pourrissement, l'exploitation du monde par leur puissance ...
Vite l'antidote !

 Quand je m'abandonne sur les coussins, courbant mes bras au-dessus de ma tête, 
l'attirance de mes clairs regards, de mes seins solides, de mes flancs neigeux, 
de mes lourdes hanches est toute-puissante.
   C'est pour cela que tant d'hommes ont été ravis, que tant d'hommes se sont tués.
   Et celui qui m'a prise est tout entier possédé par l'attirance de mes yeux clairs 
qui reluiront en des poèmes éternels, est subjugué par l'abandon de mes seins 
solides, de mes flancs neigeux et de mes lourdes hanches. Il sent, en ces formes 
que je lui livre, le charme du beau absolu et la volonté créatrice qui fait de mon corps 
la source des plus nobles races futures. 
Charles Cros