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Si vous pensez que l'aventure est dangereuse ...
Essayez la routine ... elle est mortelle.
Paulo Coelho
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Je viens de regarder un bien étrange film ... "Les derniers jours du monde" tout à fait le contraire des films catastrophes américains du genre 2012, non un film français, sans effets spéciaux ... un film ... presque normal ... Un homme, une femme et des milliers de morts autour d'eux, mais de ces morts qui ne font pas de bruit, le monde pourrit sur place et comme c'est toujours de la faute du voisin, ça canarde aussi dans tous les coins ... Il m'est arrivé, ces derniers mois, de faire un tour au centre de Nantes, un beau jour d'été, partout les journaux titrent : chomage, crise, révolution, suicides ... et en ville il y a comme un bruit de liesse, les terrasses débordent et vous vous demandez où est l'erreur. Le monde danse sur un volcan. L'ambiance du film c'est ça ... le fin du monde ... en terrasse ou en orgie .... Etrange, surprenant ... Et pour finir, l'homme et la femme se retrouvent décident qu'ils peuvent se mettre à nu, comme Adam et Eve, sauf que la bombe ultime va les foudroyer et pour finir ... Léo Ferré qui chante ... "ton style c'est ton cul" ... et c'était beau !
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Laissez-nous vous montrer "la perche Eco" - rapide à installer : une maison de luxe dans un arbre créée par un architecte basé sur l'East Sussex. «Assemblé avec des matériaux naturels, la structure peut être mise en œuvre dans les 5 jours, très peu d'incidence sur le paysage avec la préparation du site adéquat à l'avance. Contenu dans un 6 mètres par 8 mètres, la cuisine combinée, salle à manger, salon et chambre à coucher peut accueillir confortablement quatre personnes. enveloppé avec une surface de toit en continu, sa géométrie ovale transversale relie visuellement avec le paysage extérieur par les fenêtres et d'une véranda avec un avant-toit formé de profondeur. L'intérieur peut être redessiné et modernisé pour servir de bureau, de studio ou de salle de classe. "
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Une duegne, affreuse compagnonne,
Dont la barbe fleurit et dont le nez trognonne
Victor HugoLa barbe réchauffe le menton,
Le cerveau bouillonne davantage chez le barbu.
Un bon critère de la qualité d'une barbe
est la stimulation psychique qu'elle fournit au porteur.
Louis Landry
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Si tu n’as pas de petit chien,
Ne t’en fais pas ça ne fait rien !
Prends en laisse un petit nuage.
Promène-le… Il sera sage !
Il ne mordra jamais les gens,
N’aboiera pas à tout moment,
Se laissera même porter
Dans un sac ou dans un panier,
Et le lait de la Voie lactée
Suffira à le rassasier.
Il n’a qu’un seul défaut pourtant :
Il peut pleurer à tout instant !
Milan FERKO
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C'est au mieux l'astre des cieux clairs
Qui fait grandir le sycomore
Vous a donné des jolis airs
De Bohémienne et de More.Vous avez pris, toujours riant,
Dans cet éternel jeu de barres,
La volupté de l'Orient
Et le goût des bijoux barbares,Et vous rapportez à Paris,
Ville de toutes les décences,
Les molles grâces des houris
Ivres de parfums et d'essences.
Théodore de Banville (extrait)
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comme queue
Tu dis que tu aimes les fleurs et tu leur coupes la queue, tu dis que tu aimes les chiens et tu leur mets une laisse, tu dis que tu aimes les oiseaux et tu les mets en cage, tu dis que tu m'aimes alors moi j'ai peur.Jean Cocteau
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combine peinture à l'huile et authentique feuilles or et d'argent pour produire ces peintures magnifiques. Il est né à Lehighton, Pennsylvanie en 1978, et détient un baccalauréat en peinture de l'Université Kutztown. Il vit et travaille à New York.
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de Bryan Nash GillTu réveilles en moi des souvenirs confus.
Je t'ai vu, n'est-ce pas? moins triste et moins modeste.
Ta tête sous l'orage avait un noble geste,
Et l'amour se cachait dans tes rameaux touffus.
D'autres, autour de toi, comme de riches fûts,
Poussaient leurs troncs noueux vers la voûte céleste.
Ils sont tombés, et rien de leur beauté ne reste;
Et toi-même, aujourd'hui, sait-on ce que tu fus?
O vieil arbre tremblant dans ton écorce grise !
Sens-tu couler encor une sève qui grise?
Les oiseaux chantent-ils sur tes rameaux gercés?
Moi, je suis un vieil arbre oublié dans la plaine,
Et, pour tromper l'ennui dont ma pauvre âme est pleine,
J'aime à me souvenir des nids que j'ai bercés.
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