• J'essaie de garder mes mains sur vous. Je le fais. Je tente. Mais je ne peux pas toujours. Je sais qu'il y a des momentsj'ai besoin de me retenir. Il y a des endroits et des événements où je dois me retenir. J'ai du mal avec cela. Constamment. Je vous veux à mes côtés. Je vous veux avec moi. Je vous veux si près que je puisse sentir votre peau quand je me penche pour vous chuchoter ce que je pense.

    Tout ce que je veux, c'est poser mes mains sur vous. N'importe où. Juste pour que vous les sentiez. Pour que vous puissiez être en mesure de me sentir. Votre cou, votre hanche, votre avant-bras. Tout morceau de peau où je peux faire courir mes doigts. Putain, quelle lutte c'est. Chaque jour !

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  • Qu'êtes vous censé faire de tout l'amour que vous avez pour quelqu'un si cette personne n'est plus là ?
    Qu'advient-il de tout cet amour qui reste ?
    Allez-vous
    le supprimer ?
    Allez-vous l'ignorer ?
    Êtes-vous censé le donner à quelqu'un d'autre ?

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  • «Rares sont ceux qui peuvent faire une telle expérience. » Le cheveu blond tiré en queue-de-cheval, le regard clair : Olivier Gibon, 25 ans, est fier d'avoir embarqué sur l'Hermione, à Rochefort. Ce charpentier de marine, formé à Cherbourg, intervient sur le bas du mât de misaine. Une pièce en pin d'Oregon de 25 m. Le reste du navire est en chêne. « Pour faire les pièces maîtresses, qui doivent être rectilignes ou courbes, on a besoin de chênes de 200 à 300 ans choisis sur pied », explique Jacques Haie, le chef d'équipe de l'entreprise Asselin, des Deux-Sèvres.

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  • Je vous le résume vite fait : le code électoral (article L52-2) annonce des sanctions (3 500 à 75 000 euros) à l’encontre de celui ou ceux qui divulgueront les résultats des élections présidentielles avant 20 h (heure de Paris) même s’ils sont partiels.

    Donc il y a des gens qui savent et d’autres qui ne savent pas. Et ceux qui savent doivent maintenir les autres dans l’ignorance. Sur quelle justification s’appuie cette dichotomie ? Sur l’idée que si ceux qui ne savent pas savaient avant d’aller voter, ils pourraient être influencés.
    Voui... ce n’est pas comme si tout le monde n’avait pas été abreuvé de sondages et d’estimations plus ou moins sérieuses ces dernières semaines. Ce n’est pas non plus comme si l’ensemble des médias avait été un modèle d’impartialité ces dernières semaines. Ce n’est vraiment pas comme si le personnel politique avait été lui-même impliqué dans un débat citoyen de bonne foi et de vérité pour que les électeurs puissent décider en leur âme et conscience sans jamais avoir été pris pour des buses ou des dindons... voire un gros banc de poissons rouges.
    Ce n’est donc pas comme si on n’avait pas été pris collectivement pour un gros ramassis d’hydrocéphales mous du bulbe rachidien pendant toute cette campagne dont tout le monde s’accorde à dire qu’elle a été un sommet de gesticulations vaines et sans intérêt ! Ce n’est pas comme si l’art démocratique de l’élection ne consistait pas à nous flatter le vote avec des promesses vaines et jamais tenues pour obtenir un assentiment que jamais nous ne donnerions si nous connaissions à l’avance la composition de la sauce avec laquelle ils comptent nous manger une fois la mascarade électorale passée !
    Et voilà que soudain, il devient important, que dis-je, primordial de ne pas effaroucher ce pauvre petit électeur à l’heure où il s’approche timidement de l’isoloir ?

    L’idée que l’on nous fait passer pour totalement normale et logique, quand même, c’est qu’il est important de censurer une information existante pour ne pas nuire à l’exercice de la démocratie.

    Rien que de l’écrire, ça me met mal à l’aise, cette idée. Une information, donc, à laquelle ont accès certaines catégories de personnes comme les journalistes ou le personnel politique, mais pas le servum pecus. Parce que les catégories autorisées, elles, ne se laissent pas influencer comme cela. D’ailleurs, la preuve : ce sont eux les influenceurs ! Ce qui revient à dire que devant l’accès à l’information, certains sont plus égaux que d’autres.

    Mais bon, puisqu’on vous dit que c’est pour le bien de la démocratie !

    monolecte.fr
    Agnès Maillard


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  • Dans un sketch consacré à la lessive, Coluche brocardait les publicistes : « Moi, blanc, je sais ce que c’est… C’est blanc... Mais plus blanc que blanc, qu’est-ce que c’est comme couleur ? ».

    On imagine quel beau sketch il aurait pu écrire sur « le vrai travail » que Nicolas Sarkozy veut promouvoir ce 1er mai. C’est quoi un vrai travail ? Le contraire des emplois fictifs ? Alain Juppé et Jacques Chirac ayant été condamnés pour ça, je doute que cela soit un bon sujet de campagne. Un travail qui ne serait ni un temps partiel ni un CDD, mais un vrai CDI ?

    Les travailleurs ne demanderaient pas mieux que Nicolas Sarkozy leur présente enfin cette denrée rare plutôt que « le vrai chômage » qui a fortement augmenté sous son quinquennat.

    Bruno Testa
    for lunion.presse.fr
    Altermonde-sans-frontières


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  • Certains jours, j'ai rêvé d'une gomme à effacer l'immondice humaine.
    Louis Aragon

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  • Voilà donc un sujet de controverse en moins : le point G existe bel et bien, un point c'est tout. La fameuse zone érogène vaginale à hautes tensions a désormais une réalité anatomique d'après des médecins américains qui publient les résultats de leur recherche dans le Journal of Sexual Medicine ce mercredi. Après dissection d'un cadavre féminin, le docteur Adam Ostrzenski, de l'Institut de gynécologie de St Petersbourg en Floride, a cerné cette zone pointilleuse : une petite cavité bien délimitée, située sur l'arrière de la membrane périnéale. Pour la précision, le point G crée ainsi un angle de 35 degrés avec la partie latérale de l'urètre. Le point G ou point Gräfenberg, du nom de ce médecin allemand qui fut le premier en 1950 à mentionner l'existence de cette zone érogène, a fait couler beaucoup d'encre. Médecins et chercheurs se sont divisés, depuis, sur sa localisation, voire même sur son existence.
    Cette nouvelle découverte anatomique met donc un terme à ce mystère. Et d'après le Dr Ostrzenski, elle  « pourrait conduire à une meilleure compréhension et à une amélioration de la fonction sexuelle des femmes ». Autrement dit, le résultat de cette étude est susceptible de faire en sorte que les femmes trouvent enfin le chemin de l'épanouissement sexuel. Recherches qui demeuraient jusqu'alors au point mort.
    Point G ou poing G

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  • L’artiste allemande, Cornelia Konrads, crée des installations hallucinantes in situ dans les espaces publics, parcs et jardins privés à travers le monde. Son travail est souvent ponctué par l’illusion d’apesanteur, où les objets empilés (branche, buche, pierre) semblent être suspendus dans les airs, renforçant le caractère temporaire de l’installation.

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  • soutien-gorge-Curvy-Kate.jpgUne fois n'est pas coutume, les big cup ou SG poitrines généreuses deviennent terriblement glamours, loin des modèles mémés et ringards d'antan.
    Et pour le plus grand plaisir des voluptueuses et des amateurs, cette lingerie girly et colorée Curvy Kate propose des modèles jusqu'au bonnet H !
    Désormais maintien et élégance sont les mamelles des décolletés planteureux, qu'on se le dise !
    Il en faut peu pour être heureux, vraiment trop peu pour être heureux, il faut se satisfaire du nécessaire...


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    Petar Pismestrovic
    Mais il n'y a qu'un seul perchoir !!! Donc un seul coq ...

    Sergei Tunin

     


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