Soyez doux avec vous-même !
Vous êtes un enfant
de l'univers,
pas moins que les arbres
et les étoiles.
Dans le désarroi bruyant
de la vie,
maintenez la paix et l'amour
dans votre âme !

Vous allez sur google image et vous tapez "space saver" , je suppose que c'est américain, en fait c'est pour aménager avec intelligence des petits espaces. Je suis tombée dessus par hasard, je découvre chaque jour des choses nouvelles. Imaginez, vous n'avez pas de place pour avoir un vrai salon, toute la journée, mais parfois une petite soirée à 4, c'est sympa ... Vous achetez cette tour qui, ce soir-là va devenir un petit 4 places super sympa ... ah ces américains ...

Dans la lumière du soleil qui se lève
Brille une structure de soie et de cristal,
Assemblage aussi fragile que létal
Qui relie deux hauts pieds de fève.

Les perles de rosée, comme du verre,
Décorent le câble séreux en spirale.
Son étreinte bientôt sera fatale,
A l’insecte qui survolera l’épeire.

Tapie dans son entonnoir ouateux
Celle-ci patiemment attend son heure.
Arrivera bientôt pour son bonheur
Un papillon flâneur ou un taon gâteux.

Les esclaves devaient être dans le champ de coton dès le lever du jour et on leur donnait dix à quinze minutes à midi pour avaler leur ration de bacon froid, ils n'avaient pas le droit de rester oisifs jusqu'à ce qu'il fît trop sombre pour voir et quand c'était la pleine lune, ils travaillaient souvent jusqu'au milieu de la nuit. Ils n'osaient pas s'arrêter même à l'heure du déjeuner ni retourner au village nègre aussi tard qu'il fut, jusqu'à ce que l'ordre d'arrêter le travail était donné par le contremaître.
Le travail "passage à tabac" du jour dans le champ terminé, les paniers sont "trimbalés" ou avec un autre mot, portés à la gin-house* où le coton est pesé. Épuisé et las autant qu'il puisse être ou qu'il ait une envie irrépressible de dormir et de se reposer, cela importe peu, un esclave ne s'approchait jamais de la gin-house* avec son panier de coton sans avoir peur. Si sa récolte était en dessous du poids, s'il n'avait pas accompli entièrement la tâche fixée, il savait ce qu'il devait subir. S'il l'avait dépassé de dix ou vingt livres, en toute probabilité, son maître mesurera le résultat de la tâche du jour suivant en conséquence.

Permettez-moi de venir vers vous. A la lune, ce soir !
La lune est bonne - vous ne verrez pas
que mes cheveux ont blanchi.
Je serai à nouveau blonde. Vous ne réaliserez pas.
Permettez-moi de venir vers vous. [...].

Pourrais-je m'asseoir un peu sur le mur,
le vent du printemps
me fera peut-être imaginer que je vole,
parce que j'entendrais le bruissement de ma robe
ça ressemble au battement de deux ailes puissantes,
et lorsque vous fermez ce bruit en vol
je sens la raideur de votre nuque, de vos hanches, de votre chair.
Peu importe si je vous quitte ou si je reviens
peu importe que mes cheveux soient blancs,
(Ce n'est pas ce qui me donne la douleur - la douleur que je sens
C'est mon coeur qui n'a pas "blanchi").
Permettez-moi de venir vers vous.
Yannis Ritsos

Le comble du hype ? Se pavaner en ville avec un téléphone vintage… ou plutôt avec ceux que nous avions ados ! Le fameux Nokia 3310 ou 6210, les Motorola StarTac à clapet ou pire…, les vieux Ericsson A2628. Petite séance souvenirs. A contre-courant des smarphones « Toujours plus high-tech », Lekki a osé, elle, récupérer et recycler tous ces anciens téléphones malaimés, consoles et gameboy délaissées, pour les revisiter avec des couleurs flashy. Alors pour celles qui veulent enfin dire Non à toutes ces technologies qu’ils méprisent, foncez chez  Lekki pour faire votre geste militant !

 

  Petar Pismestrovic, Kleine Zeitung, Austria

   Obama y met sa force...mais les républicains aussi !!!

 

 Hajo de Reijger, The Netherlands

  Les rois-mages 2013 sont à la peine !

 Results first in technical drawing and caricature Lebanese International competition

Yuri Pustovoy est un photographe russe. Ses photos de pêches au filet ou d'ethnies  particulières sont de toute beauté.
(Il s'agit d'une femme de la tribu Apatani (indiens). Dans cette tribu, les jeunes filles doivent inserer des rondelles de liège dans le nez)

Je suis assise en face de vous
Dans ce petit bistrot italien
Que nous aimons tous les deux
Tout à coup le désir de glisser mon pied
Hors de ma chaussure à talon
l'emporte
(Uniquement pour le glisser sous votre jambe de pantalon)
Comme je le fais
Je remarque que
Vous ralentissez votre alimentation
Vous êtes soudainement stimulé
Même la façon dont vous mettez votre fourchette dans votre bouche
est modifiée
La façon dont vous mangez
Nous faisons l'amour par fourchette interposée
Je pose mon pied sur vos genoux
Je les caresse doucement
Un sourire sur votre visage
Nous ne prendrons pas de dessert ...