Quand j'étais enfant, ce qui est devenu une banlieue de Nantes, bien ordonnée, était un lieu-dit où chacun avait un peu construit la maison de ses rêves ou simplement un toit modeste parce qu'il ne pouvait pas mieux. Il y avait donc une maison qui m'a toujours semblée magique et mystérieuse. Elle était petite, mais je ne sais pas pourquoi j'avais l'impression qu'on ne pouvait qu'y être heureux. Elle était habitée par une dame que j'ai toujours connue seule. Elle commençait toujours ses phrases par "Taise-te donc" donc tout le village l'appelait "la mère taise-te donc" Sa maison n'était pas grande, sans doute une pièce de vie et une chambre , mais elle était au milieu de jardins et, je ne sais pas comment dire, souriante. Je ne sais pas pourquoi, j'aurais voulu y vivre. Puis cette dame est morte. Elle n'avait pas d'héritier. Elle a été louée à des pauvres gens, car elle n'avait pas de confort, donc peu chère et ils l'ont laissée se dégrader très vite. Ca me faisait peine ... et puis, un promoteur est passé, elle a été rasée et à la place un petit immeuble ... Mais je pense toujours à cette petite maison ... et à l'âme de Madame Taise-te donc ...

Vous n'avez pas besoin de me lier.
Je sais déjà comment je me sens
Dès que vous me touchez
Mais que  je ne peux pas toucher votre dos.
Nous avons tous les deux été liés,
et bâillonnés et les yeux bandés.
Essayons autre chose, l'amour ...
quelque chose avec nos mains ...
quelque chose où nous pouvons nous voir
et nous parler et nous endormir.
Toucher et toucher sans cesse,
même dans le sommeil ...
Le toucher ...
Peregrine

Nos baisers s'attardent avec la lumière,
Aucun d'entre nous ne veut être le premier à s'éloigner,
Même si après il nous faudra courir.
Nos baisers s'attardent avec la lumière.
Nous parlons de ce que nous venons de commencer,
de tout ce que nous avons fait et de ce que nous n'avons pas fait ;
nous nous regardons dans les yeux,
et sentons l'obscurité qui arrive
mais nos baisers, s'attardent à la lumière.
Peregrine

Ces sculptures de girafes, sont vieilles de 8000 années, elles sont situées à Dabous, au Niger est considérées comme l'un des plus beaux pétroglyphes dans le monde. La girafe a une laisse ce qui implique que ces animaux étaient apprivoisés. Ces sculptures ont été découvertes relativement récemment sur ​​le sommet d'une colline de granit par des Touaregs locaux et dates de l'époque Kiffian de 7000 - 9000 ans.

Des expressions si humaines ...
Jetez un oeil sur cette campagne de publicité si créative imprimée par biochanine. Le slogan "aimez-le comme vous vous aimez" veut clairement envoyer un signal à toute personne de ne pas négliger son propre animal de compagnie. Ces images sont vraiment drôles et le résultat de la campagne est un succès garanti. L'auteur de cette idée est la créative agence Leg publicitaires, Paris, France. Amusez-vous !

L'autre soir, il devait être 21 h ... un bruit d'avion à réaction, mais pas d'un avion de ligne, un avion de chasse, très bas sans doute, je ne suis pas allée voir, il faisait nuit, vraiment assourdissant ... bon, ça dure quelques secondes. Il s'éloigne. Depuis le journal n'arrête pas d'en parler, les gens ont eu peur, ont passé leur temps à téléphoner pour savoir ce que c'était ... mais bon sang, ils ont quoi dans leur vie ? Un avion reste un avion ! Quand il s'écrase ça fait vraiment un autre bruit que lorsqu'il remet les gaz ...

Pendant que je vous donne des nouvelles, ma petite fille est au Panama en ce moment.
D'abord du côté atlantique, puisqu'elle venait des Antilles et là elle vient de passer côté Pacifique ... abasourdie ... les plages, la mer ce n'est que plastiques de toutes sortes flottant au mileu d'un environnement, qui sans cela, ne serait que splendeur.

Sal Vasquez est originaire du sud de la Californie.
Vasquez a suivi des cours à la California State University à Los Angeles et également à la School of Design où il a pu admirer l'affiche du film artiste Reynold Brown, et l'artiste occidental Don "putt" Putman Art Center. Grâce à son association avec ces deux artistes, Vasquez s'intéresse à la peinture des thèmes avec les icônes de l'Ouest américain. Beaucoup de ses peintures parlent des éleveurs de bétail, de cavaliers,  du désert, où il réside actuellement, et en particulier, ses tableaux montrent souvent leurs chevaux.
Mettre en mots les sentiments de beaucoup de gens, Vasquez décrit son sujet de prédilection de cette façon: «J'aime le défi des chevaux en peinture, ce sont des animaux incroyables - très forts, majestueux et Intellligents."

En guise d’étrennes 2012, Jacqueline a reçu une jolie lettre de licenciement. Au mois de juillet suivant, les bonnes nouvelles pleuvent : son toubib diagnostique un cancer. De chômeuse, elle passe en arrêt maladie. C’est désormais la Sécu qui l’indemnise.

Léger détail : un chômeur malade est deux fois moins dédommagé qu’un chômeur "actif" (50 % du salaire de base journalier). Lorsqu’elle se rend à la Caisse primaire d’assurance-maladie de son quartier pour déposer sa demande de prise en charge, Jacqueline sait donc qu’elle passera de 1 500 à 750 euros par mois. Ce qu’elle n’avait pas prévu, en revanche, ce sont les délais de traitement des dossiers. Fin septembre, toujours rien : désormais sans ressources, voilà deux mois qu’elle ne paie plus son loyer et ne survit, avec sa fille de 15 ans, que grâce à la générosité de sa famille. "Manque de personnel", lui explique-t-on à la Sécu. Contactée le 10 octobre par Le Canard, la caisse dont dépend Jacqueline a expliqué qu’elle commençait seulement à traiter les quelque 2 115 dossiers reçus au courrier du 20 août !

Heureusement, la solution a été trouvée : une chef de service est désormais "responsable des délais de traitement". Ouf !

Le Canard Enchaîné N° 4854 du 6 novembre 2013
Altermonde-sans-frontières

Par Napakatbra

Le cerveau serait un véritable "boxon génétique". Chaque neurone disposerait de son propre code génétique, différent de celui de ses voisins.

  Un article publié dans la revue Science vient de le confirmer. Des chercheurs du Salk Institute de San Diego, aux États-Unis, ont séquencé le code génétique de 150 neurones prélevés sur trois personnes décédées. C’est peu, comparé aux quelques 100 milliards de neurones que renferment nos cerveaux. Mais c’est aussi beaucoup, car le travail est long, difficile et couteux.

Résultat : environ 40 % des neurones étudiés présentaient des variations génétiques importantes et uniques, donc non héritées, réparties sur la totalité du génome. Les cellules progénitrices, celles qui donnent naissance aux neurones, ne possédaient pas ces modifications. Les mutations se sont donc réalisées tout au long de la vie du sujet. En outre, les résultats impliquent que ces variations avaient peu de chances d’être un simple effet secondaire de vieillissement. Selon les auteurs, ce phénomène pourrait aussi se produire dans d’autres organes.

Des souris sans gêne

L’année dernière, une autre équipe californienne était déjà arrivée aux mêmes conclusions... en pire. Chez les souris, plus d’un tiers des cellules corticales analysées avaient gagné ou perdu au moins un chromosome !

Dans la série "la génétique dégénère", la saga continue...

lesmotsontunsens.com

Il semblerait qu'il y ait encore du gris ...
Alternance ? ça m'irait !
Parce que gris foncé toute la journée ça lasse !
Si vous n'obtenez pas ce que vous voulez, vous souffrez, si vous obtenez ce que vous ne voulez pas, vous souffrez, même lorsque vous obtenez exactement ce que vous voulez, vous souffrez encore parce que vous ne pouvez pas le garder  pour toujours.
Votre esprit c'est Vous.
Il doit être libre pour le changement.
Sans douleur, sans les obligations de la vie et de la mort.
Mais le changement est la loi, et aucun ne peut prétendre changer cette réalité.
Socrate