Une averse ce soir, journée tranquille !
Nous verrons demain ...
"Peut-être que la chose la plus importante que nous apportons à une autre personne, c'est le silence en nous, pas le genre de silence qui est rempli avec la critique implicite, mais le genre de silence qui est un lieu de refuge, de repos, de l'acceptation de l'autre comme il est. Nous sommes tous affamés pour cet autre silence. Il est difficile à trouver. En sa présence, nous pouvons nous souvenir de quelque chose au-delà de l'instant, une force sur laquelle construire une vie. Le silence est un lieu de grande puissance et de guérison. "
Rachel Naomi Remen

Tahr de l'Himalaya (Hemitragus jemlahicus)
Ce grand ongulé est originaire des parois rocheuses et escarpées des montagnes de l'Himalaya.
Leurs manteaux poussent très épais et sombres pendant l'hiver et les mâles ont longues crinières hirsutes. Comme le temps se réchauffe, leurs manteaux s'éclaircissent et ils deviennent beaucoup plus fauves. Les deux sexes ont des cornes, bien que celes des mâles soient beaucoup plus grandes.
Leurs pieds sont adaptés pour s'accrocher aux  roches rugueuses et lisses, leur permettant d'être agiles et confiants au cours de leurs cheminements sur les côtés escarpés des montagnes. Ils se nourrissent principalement le matin et en fin d'après-midi, avec des herbes et des feuilles.
Il sont considérés comme une espèce envahissante en Afrique, en Amérique du Sud et en Nouvelle-Zélande.
Ils ont été introduits en 1904 en Nouvelle-Zélande qui trouve qu'ils se sont trop reproduits. Il y a eu plusieurs actions pour tenter de contrôler leur population comme la chasse et l'empoisonnement. L'introduction d'un nouvel herbivore met toujours beaucoup de stress dans l'écosystème. Même dans leur habitat naturel, les prédateurs sont en baisse, ce qui permet à leur nombre d'être à la hausse.

Pour la plupart des gens, ce point de vue (photo ci-dessous) est la plus associée à  Machu Picchu, la grande importance de la masse montagneuse parsemée de bâtiments anciens, pics acérés qui les surplombent. Il est peu étonnant que ce lieu soit le symbole le plus reconnaissable de la civilisation Inca pour beaucoup.
Pourtant, un examen plus attentif permet une plus grande perspicacité sur la façon dont les gens vivaient là-bas, ses épais murs de pierre faisant écho aux sons de la vie quotidienne. Jetez un oeil à Machu Picchu à partir de différentes perspectives.

Le plus grand parc national islandais. Skaftafell englobe le Vatnajökull, le plus grand glacier d’Europe, ainsi que quelques merveilles de la nature islandaise, notamment les chutes de Svartifoss.
Description
Situé au sud de l’île, le glacier du Vatnajökull est le plus grand d’Europe : 8400 km² (la taille de la Crète), près d’un kilomètre d’épaisseur par endroit. Ses langues de glace dominent la route n°1, et encadrent des îlots de verdure.
Les volcans
Le parc naturel de Skaftafell, fondé en 1967, est également émaillé de nombreux volcans qui sommeillent. Parfois, ils reviennent à la vie. Le Grimsvötn est le volcan le plus actif s’Islande. Il serait entré en éruption plus de 40 fois, la dernière en 1998.
Les éruptions de volcans enfouis sous la glace sont les plus impressionnantes, et les plus dangereuses également. La chaleur de la lave fait fondre la calotte glaciaire. De la vapeur d’eau remonte à la surface, chargée de cendres. Mais parfois, le magma entre directement en contact avec la glace. Des coulées d’eau soufrée dévalent alors le glacier et dévastent tout sur leur passage. C’est le Jökulhlaup.
Les fermes de Skaftafell
Les terres de Skaftafell faisaient partie d’un immense domaine sur la plaine. Les fondations des maisons sont encore visibles. Mais la nature a rapidement repris ses droits. Les alluvions ont progressivement recouvert les terres fertiles de la ferme. Trois fermes sont alors déplacées plus haut, isolées du monde : Bólti, Hæðir et Sel. Deux sont encore habitées, la troisième est abandonnée depuis 1946. 

Quand j'étais enfant, l'école nous y allions à pied, je suppose qu'un adulte veillait sur un groupe, 4 voyages par jour.
Avec mon mari, il nous est arrivé, pour dépanner, d'aller chercher nos petits enfants, les abords des écoles sont infréquentables, on a l'impression que plus un enfant ne marche à pied ...
Bon, dans les grandes villes, ou les villes de banlieue comme la mienne, il faudrait trouver autre chose, mais une petite commune, Louviers, a trouvé sa solution ... l'asinobus.
Deux ânes font du ramassage scolaire, un devant, un derrière, acompagnés d'aides, les deux ânes suivent un chemin pré-établi. Les enfants les attendent sur le bord de ce chemin. Les ânes sont équipés pour pouvoir porter les cartables et tout le monde s'en va à la queue leu leu ... Le village est heureux, les gens s'arrêtent pour saluer ...
Les ânes sont aussi utlisés pour le ramassage des ordures ...
Dans d'autres villages, c'est une calèche attelée à un cheval qui fait le ramassage scolaire ...
Une vie presque parfaite ?
Ca s'appelle l'asinobus ... relancer l'élevage et l'utilisation respectueuse de ces chers ânes ...

Dans la matinée, le gel
avant que le soleil ne se lève, bas.
Etirements des jambes
chaque pouce de gagné
sous les couvertures ;
et de longs baisers lents
dans l'obscurité avant le jour,
car nous sommes des amoureux du matin
quand il y a du gel avant le soleil.
Peregrine

Premiers jours de  Novembre
Vents violents et averses
Feuilles humides et glissantes
Les arbres sont presque nus
Pétales dorées à terre.

Un silence solitaire
Quand le vent cesse de hurler
Et que la pluie revient
Tapant sur les vitres
L'anxiété augmente

C'est la moitié de l'automne
L'année tourne plus vite
Je me réjouis de l'hiver
Avec son froid têtu
Y survivrais-je ?
JBZ

André Deymonaz est né en 1946.
Il passe la plus grande partie de son enfance entre les archipels du Pacifique Sud et le pays de Pagnol où il se découvre un amour de la nature, de la vie, et des hommes.
Sa peinture met en scène des personnages souvent chaleureux sous la lumière du Midi.
Il nous fait voyager a travers différents lieux; marchés, places de village, champs de vignes, ports de pêche ou encore plage et nature. L’huile travaillée au couteau fourmille d’impressions, de bruissements, de turbulences où la lumière joue à loisir de modulations et de contrastes.
S’il expose dans de nombreux pays, André Deymonaz reste fasciné par la Polynésie où il aime croquer les différentes scènes de la vie.
 

Ce désir dans lequel
Je me sens  ne pourra
s'éteindre
qu'à votre contact ..
vos baisers ...
votre corps ...
pressé contre le mien.
Je ne m'inquiète
ni du lieu ni
du comment ...
Je sais ce qui se passera
Si vous ne le faites pas
si vous ne me collez pas
contre le mur le plus proche
et que vous m'embrassiez
de manière insensée,
Je vais sortir
de mon corps ...

Pour plusieurs amateurs d'ésotérisme et de phénomènes paranormaux, La Barbade est le lieu « où les cercueils dansent ». Cette histoire des plus insolites prend ses racines sur la côte sud de l'île, là où se trouve le cimetière Christ Church. Ce cimetière contient le mystérieux tombeau de la famille Chase. Si, depuis près de 200 ans aucun humain n'y a été enterré, c'est pour une bien étrange raison. Entre 1811 et 1820, des phénomènes inexplicables ont laissé la population de cette île stupéfaite. Cette histoire provient d'une crypte très mystérieuse qui a marqué de façon définitive le folklore de La Barbade à tout jamais.
Cette fameuse crypte mesure un peu plus de 12 pieds sur 6 (3,60 m x 1,80 m environ). La seule et unique entrée de la crypte était une énorme pierre de marbre bleu qui pesait environ 450 kg. Une fois fermée, la tombe était pratiquement impénétrable. L'histoire commence au XVIIIe siècle lorsqu'une riche famille de planteurs, les Walronds, font tailler dans le roc corallien du cimetière un caveau pour leur famille. Une dame du nom de Thomasina Goddard, morte en 1807, y fut enterrée.