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    Ce n’est pas l’idée de révolte qui doit nous inquiéter mais la révolte sans idée précise, sans objet moteur propice à construire un mouvement socio-politique durable. Nos sociétés ne sortiront pas de la crise écologique et sociale qui frappe plus lourdement les classes les moins favorisées sans une puissante révolte, non nécessairement violente – contre tous les « nouveaux maîtres du monde » pour reprendre la pertinente formule de Jean Ziegler. N’en déplaise aux piliers des salons parisiens, nombre de Bretons y travaillent déjà, dans les marges pour l’instant trop étroites du capitalisme destructeur de vies et de nature. C’est pour eux et leur formidable pouvoir d’imagination qu’il faut desserrer l’étau du centralisme bureaucratique français et non pour renforcer le pouvoir du patronat breton.

     

    Qu’un jour fleurissent les bonnets verts ! Unis vers un autre univers, unis contre les dominations injustifiables et les révoltes gratuites. C’est alors seulement que « vivre et travailler au pays » prendra tout son sens.

     

    Yann Fievet

     

    Le Peuple Breton – N° 593 - Décembre 2013
    Extrait (Altermonde sans frontière)

     

     

    Que souffle enfin un vent de liberté ...

     

     


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  • Une belle semaine de tranquillité devant moi !
    Petit ciel de porcelaine ? Bleu-gris-rose ?
    «Quand je me suis aimée assez, j'ai commencé par abandonner tout ce qui n'était pas sain.
    Cela signifiait personnes, emplois, mes propres croyances et habitudes - tout ce qui me limitait.
    Je fus jugée déloyale.
    Maintenant, je le vois comme l'amour de soi ".
    Kim McMillen

    Je me suis bien débrouillée ...


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  • La promenade du soir doit être de plus en plus tôt ...
    Que je n'aime pas ce temps ...
    "A propos de tout ce que vous pouvez faire dans la vie, c'est d'être qui vous êtes vraiment.
    Certaines personnes vont vous aimer pour celà.
    La plupart vont vous aimer pour ce que vous pouvez faire pour eux, et certains ne vous aimeront pas du tout"
    Rita Mae Brown

    La nuit tombe de plus en plus vite ...

     


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  • Tempête sur un champ de blé ...

    Je me souviens encore de ces congés d'été
    Dans l'irradiant azur de l'airain de juillet
    Mon esprit dérivait bercé par l'océan
    Des plaines alanguies sur la trame des champs.

    L'autan roulait les blés en longues vagues blondes
    Sur l'ocre d'un coteau à l'ardeur exposé
    Et les épis brassés par la houle profonde
    Laissaient choir les grains que des femmes glanaient.

    L'espiègle vent sifflait au ventre des chaumières
    Mêlant en tourbillons la poussière des champs
    Et les ricanements de l'horrible mégère
    Faisaient poindre des larmes à l'oeil des enfants.

    Je nous imaginais ainsi armés en guerre
    A la proue d'un vaisseau luttant sur l'océan
    Où je bravais la mer et la sombre barrière
    Que dressait l'horizon sur les flots ecumants.
    shangaan


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  • Ca fait sûrement deux fois que je fais un article sur les trognes. Ces arbres ont hanté mon enfance, souvent les arbres courants étaient traités ainsi : chaque année les paysans les taillaient au maximum, tous les bois étaient utilisés pour se chauffer ... maintenant les maisons sont chauffées autrement, même à la campagne, chaque maison a bien une cheminée, mais on utilise des bûches ... le petit bois et le fagot, ça salit une maison...
    Donc les trognes, vénérables, son abandonnées. Souvent les troncs sont énormes et fragilisés par les ans alors devoir supporter d'énormes branches avec leurs feuilles ça les tue, mais des amoureux de la vie et de la nature leur redonnent vie ... les retaillent ... les retrognent ... Un très joli reportage hier soir aux infos de la 2 !

    Il serait temps de lui rendre sa beauté !

    Trognes


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  • La graine ne peut pas savoir ce qui va se passer, la graine n'a jamais connu la fleur. Et la graine ne peut même pas croire qu'elle a le potentiel pour devenir une belle fleur. Long est le chemin, et il est toujours plus sûr de ne pas aller sur ce voyage parce inconnu est le chemin, rien n'est garanti .
    Rien ne peut être garanti. Mille et un sont les dangers du voyage, nombreux sont les écueils - et la graine est sécurisée , cachée à l'intérieur d'un noyau dur. Mais  pour l'essai de semence, elle fait un effort, elle abandonne la coque qui est sa sécurité, elle commence à se déplacer. Immédiatement le combat commence : la lutte avec le sol, les pierres, les rochers. Et la semence a été très difficile et la pousse sera très, très douce, fragile et les dangers seront nombreux.
    Il n'y avait pas de danger pour la semence, la semence pouvait avoir survécu pendant des millénaires, mais pour la pouss, nombreux sont les dangers . Mais le germe commence vers l'inconnu, vers le soleil, vers la source de lumière, ne sachant pas où, sans savoir pourquoi. Grande est la croix à porter, mais un rêve possède la semence et les semences se déplacent.
    La même chose est le chemin pour l'homme. Il est ardu . Beaucoup de courage sera nécessaire.
    Osho
    Le bonheur n'est pas au bout du chemin, c'est le chemin qui est bonheur !

    Petite graine ...

     


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  • L'autre jour, quand je suis rentrée du travail, j'ai posé une question qui est devenue presque une coutume à mon fils"Est-ce que quelque chose de bon s'est  passé aujourd'hui dans le monde ?" Cette fois, il a eu une réponse enthousiaste, comme s'il avait attendu toute la journée pour me la dire. Il m'a ensuite dit : "Allons regarder dans le jardin". Et en ce moment, je savais que bien des pommes tombent au pied de l'arbre. Nous avons marché dans le jardin ensemble et là, comme un point d'exclamation il y avait  un epiphyllum nouvellement ouvert. Il a été surpris de voir qu'il fleurissait malgré l'hiver déjà arrivé ici, et le froid qui est constamment dans l'air ici venant de la plage. Je lui ai dit que les fleurs ne viennent que quand elles sont prêtes. Mon fils m'a appris ce jour-là que nos coeurs doivent toujours contenir nos propres jardins secrets.
     

    Petit miracle de la vie ...


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  • Jour de pluie ...

    En regardant par la fenêtre
    Je viens de voir qu'il pleut.
    Gouttelettes sur les vitres
    Le paysage se brouille
    L'âme vole vers ce ciel gris.
    J'essaie d'ignorer
    La tentation de vous téléphoner
    Pour partager cette pluie :
    L'odeur de la pluie qui tombe
    Le bruit des voitures sur la route.
    J'imagine votre visage
    Excité par la foudre
    En attente du tonnerre
    Compter sur ma visite
    Mais surprise si j'arrivais.
    Regardant dans le vide
    Tout en rêvant que je pourrais être contre vous
    A écouter la pluie
    Et la guitare de Stevie Rae
    J'ai le blues du vendredi pluvieux !
    JBZ
    http://www.deezer.com/track/65164859


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  • Dans le comté de Kaiping en Chine sont dispersées des centaines de tours fortifiées de plusieurs étages appelés diaolou. Construites en pierres, en briques ou en béton, ces édifices symbolisent la fusion complexe et flamboyante des styles architecturaux chinois et occidentaux.
    Au cours de la dynastie des Qing de la fin du 19ème au début du 20ème siècles, ces bâtiments ont été utilisés comme refuge temporaire par plusieurs familles, des tours d'habitation par de riches familles,  des résidences fortifiées ou des  tours de guet. Aujourd'hui, environ 1 833 diaolous restent debout à Kaiping, et environ 500 à Taishan.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Diaolou
    http://www.amusingplanet.com/2013/11/the-towers-of-kaiping.html

    Monde étrange ...


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  • 1 mètre de haut et 25 kilos !
    L'homme de Flores, aussi appelé Homo floresiensis, était un homme préhistorique. Il vivait sur l'île de Flores, en Indonésie (Asie), il y a 100.000 ans environ. Des restes vieux de 12.000 ans ont été découverts sur cette île en 2003. Depuis les paléontologues (spécialistes des très vieux êtres vivants ... euh ... qui sont morts hein ?) ne sont pas d'accord sur son origine. L'homme de Flores est-il un homme moderne (Homo sapiens), petit et atteint d'une maladie ? Ou est-ce une nouvelle espèce d'homme, une évolution de l'Homo érectus ? Une étude récente confirme cette dernière idée.
    "C'est à Java, en Indonésie, qu'on a découvert les premiers fossiles d'Homo érectus, en 1891. Ils y vivaient il y a 1 à 2 millions d'années. Ils sont sans doute venus d'Afrique, puis sont arrivés en Europe et en Asie" suppose Florent Détroit, paléontologue "Sur l'île, il y avait peu de nourriture et pas de grands prédateurs (chasseurs d'hommes). Les animaux et les hommes ont donc rapetissé (sont devenus de plus en plus petits) au fil du temps, durant des milliers d'années, pour s'adapter. Mais les hommes de Flores n'étaient pas des nains. Ils étaient juste des hommes miniatures !"
    Ouest-France dimanche

    Là, c'est Madame de Flores

    Petit homme ...


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