• Les Irlandais sont souvent les premiers à admettre qu'ils ont une tendance à exagérer. Ainsi, quand une grange en forme de tire-bouchon a été construite sur une propriété dans le comté de Kildare près de la ville de Leixlip en 1743 les gens du coin ont rapidement appelé cette structure extraordinaire The Wonderful Barn. Pourtant, dans ce cas leur hyperbole n'était pas injustifiée. C'est en effet le plus remarquable de granges.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/The_Wonderful_Barn

    La grange la plus folle ?


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  • Train de nuit ...


    Le lit tremblait
    Le gémissement du train de marchandises de minuit
    Il secouait  les fenêtres
    Comme s'il rugissait dans la chambre à coucher
    L'ingénieur a crié "plus vite".

    Il sourit, il est obligé
    La sueur coule de son corps
    Le train de marchandises sans fin
    Secoue la chambre de toutes ses voitures
    Le soumettant à son rythme effréné.

    Il était une machine
    Lancée à pleine vitesse
    Les endorphines au maximum
    Il avala un verre d'eau
    Comme s'il descendait de la machine.
    JBZ


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  • Danse ...

    Mes hanches sous vos mains,
    Comme nous dansons,

    Mes épaules dont la courbe,
    Protège mon coeur ...

    Vous embrassez ma clavicule nue,
    Guidez mes hanches contre vous ...

    Nous dansons de cette façon toute la nuit,
    Sous la courbe de cette lune d'argent.
    Christiane Lopez


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  • Ca r'semble à ça l'amour ...

    J'ai commencé à penser être la seule personne qui voit vraiment les choses.
    Peut-être que c'est le genre de sentiment que vous avez quand vous êtes amoureux de quelqu'un.
    Que vous êtes le seul qui remarque toutes ces belles choses à son sujet.
    Vous le savez, et vous n'arrêtez pas de dire à vos amis :
    "N'est-elle pas formidable ? N'est-elle pas merveilleuse ?"
    Et ils vous répondent du genre : " Ouais, elle n'est pas mal !
    En fait,  ils ne la voient pas comme vous la voyez.
    Vous voyez, ce genre de sentiment.
    Ils n'en sont pas amoureux !!!
    Jack White


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  • Hier, j'ai eu l'occasion de goûter à la liqueur de plate-bière ... venue tout dret' de St Pierre et Miquelon ... un seul regret, manquait de fraîcheur, dans le sens froidure, là elle est au frigo, je m'en fais une petite goutte ce midi !

    La plaquebière, appelée aussi ronce des tourbières, « ronce petit-mûrier » ou « chicouté » au Québec, est une plante vivace du genre Rubus et de la famille des Rosacées, typique des pays nordiques où son fruit est utilisé pour les confitures, ce qui explique sa présence sur la pièce de 2 euros finlandaise.

    La ronce des tourbières est une plante vivace, rampante, qui atteint une hauteur d'environ 10 à 30 cm. Les feuilles sont composées palmées à cinq folioles, trois folioles pour les rameaux florifères, réniformes, ou à 3 à 7 lobes arrondis et dentés. Les fleurs blanches, de 3 cm de diamètre environ, apparaissent en été et donnent, après pollinisation, des fruits composés qui ressemblent à des framboises. Ces fruits, composés de petites drupes (ou drupéoles) agglomérées, sont d'abord orangés ou rouge pâle, devenant translucides à maturité en automne. C'est à cette saison que le feuillage change de couleur et rougit fortement.

    Liqueur d'ailleurs ... de loin surtout ...

     


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  • Garin Baker est né à New York en 1961. Élevé par des parents créatifs, son père, écrivain, metteur en scène et cinéaste Fred Baker et sa mère Barbara, un conceptrice de tricots talentueuse. Garin a fréquenté de hautes écoles d'art et de design où il a étudié avec des peintres réalistes Max Ginsburg et Irwin. Avec beaucoup d'encouragements, il a continué sa peinture à partir d'études de la vie à l'Art Students. Puis il est allé étudier au Pratt Institute où il a trouvé une forte résistance de ses professeurs d'art opposés à la figuration. Mais Garin est resté concentré et déterminé et a commencé avec d'autres étudiants  occupées de leurs propres groupes de dessin et de peinture de la vie.

     

     

     

     

     

     


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  •  

    La Convention Vie et Nature a délibérément choisi de réveiller les consciences assoupies, de mobiliser les esprits non timorés, en se revendiquant « mouvement d’écologie éthique et radicale ». Le Pouvoir n’aime pas la Radicalité. Dans une circulaire aux directeurs généraux de la police nationale l’ancien ministre de l’Intérieur, devenu Premier ministre pour cause de popularité chez les conservateurs et nonobstant un score peu flatteur à la primaire socialiste de 2012, stigmatise les mouvements écologistes radicaux, les animalistes. Il s’autorise à en faire des alliés de l’ultra-gauche, voire, de l’ultra-droite, des anarchistes et autres autonomes, bref de tout ce qui demeure réfractaire au grand conditionnement, tout ce qui est infréquentable, mauvais, marginal au regard des esprits bêlant à l’unisson des dogmes, mais tellement utile pour effrayer les pusillanimes soumis.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article25700
    Contre la Pravda, au siècle passé, les dissidents pouvaient écouter les radios étrangères et lire sous le manteau les ouvrages séditieux. Contre le conformisme de ceux qui proclament la fin de toute alternative, il nous faudra quelques années encore pour réveiller les peuples. Mais, que les chiens de garde ne s’y trompent pas : La nouvelle Résistance a compris leur mode opératoire. Nous ne tomberons pas dans leur piège grossier. Face à un totalitarisme de ruse, le combat doit revêtir une autre forme que celui naguère pratiqué face à un totalitarisme de force. Notre combat sera culturel, moral, éthique et nous ne les suivrons pas sur le chemin qu’ils nous montrent pour mieux nous neutraliser. Raison de plus de manifester dans la dignité contre la tauromachie, la chasse et toutes les agressions contre la nature, les animaux et les humains « flexibilisés et compétitifs ».

     

    Gérard Charollois

    Le totalitarisme de ruses ...


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  • Par Guillaume Malaurie

    Le dernier volume du 5ème rapport du Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC), rendu public le week-end dernier, vient confirmer les hypothèses les plus sombres sur le dérèglement climatique.

    Au rythme actuel des émissions de gaz à effet de serre, la température pourrait augmenter de 0,3 °C à 4,8 °C d’ici à 2100. sans une décélération puissante et globale avant 2050 pour maintenir la hausse du réchauffement à 2 °C, soulignent les experts, les conséquences promettent d’être calamiteuses : une sécheresse qui frapperait par exemple tout le bassin méditerranéen et l’élévation du niveau de la mer entre 26 et 98 centimètres.

     

    Pour avoir scénarisé dans les mêmes termes ce désastre annoncé en 2008 dans son film, "Le Syndrome du Titanic", Nicolas Hulot avait essuyé une avalanche de ricanements et de soupirs consternés. Extraits : « Le texte déclamé par Nicolas Hulot est confondant de naïveté » (Positif) ; « À ce stade-là, ce n’est plus du cinéma mais un tract politique » (Figaroscope) ; « Une idéologie de peur (...) qui colle au monde des images, où seule l’émotion passe et avec elle la paralysie » (Jean de Kervasdoué, auteur des "Prêcheurs de l’Apocalypse").

    Ces mêmes esprits forts estimeront sans doute aujourd’hui que le livre de science-fiction climatique qui vient de sortir, « L’Effondrement de la civilisation occidentale », est une œuvre d’atrabilaires dépressifs. Lisez-le tout de même ! L’ouvrage qui sort aux Éditions LLL est signé par deux historiens scientifiques américains : Naomi Oreskes est professeur à Harvard, l’autre, Érik M. Conway est chercheur à la Nasa.

    Le Nouvel Observateur N° 2580 du 17 avril 2014

    Quand le pire devient plausible ...


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  • Commence avec un ciel moutonneux ...
    Un lundi comme un dimanche ...
    Tout le monde veut vivre au sommet de la montagne,
    sans soupçonner que le vrai bonheur est dans la manière de gravir la pente.
    Garcia Marquez

    Cette nouvelle semaine ...


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  • Le temps, qui a permis de déjeuner dehors,
    Les convives ... la nourriture partagée ...
    Je n'ai vu que des Lotus ...
    Certains regardent la vase au fond de l'étang,
    d'autres contemplent la fleur de lotus à la surface de l'eau,
    il s'agit d'un choix.
    Dalaï Lama

    Une journée parfaite ...

     


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