Née à la Nouvelle-Orléans, la petite-fille du fondateur de Delta Airlines, Gina Higgins a été élevée dans les collines de Hollywood à Los Angeles. Acceptée à l'Université de Californie du Sud , Ecole des Beaux-Arts à 17 ans, elle a également reçu une formation formelle de la peinture figurative à Paris et Florence, avant de revenir pour terminer son baccalauréat.
Sa peinture est très "roman noir" !
http://www.tuttartpitturasculturapoesiamusica.com/2014/03/Gina-Higgins.html

Quand j'étais enfant et adolescente, en fait jusqu'à ce que nous construisions notre maison dans la vigne de mes grands-parents, j'ai toujours connu un cheval venir "dépater", un terme de patois vendéen, la vigne, c'est à dire aérer la terre entre les rangs de vignes et arrachant les mauvaises herbes. . Il n'y avait plus qu'un paysan avec un cheval, il était donc très demandé et j'avoue que le spectacle de ce bel animal entrant dans un rang de vigne c'était impressionnant ... En plus, le bonhomme était un peu fêlé et il parlait sans arrêt de Jésus ...
Mais après un rejet total de tout ce qui était traction animale ... on y revient ...
http://www.humanosphere.info/2012/04/le-cheval-de-trait-revient-en-force-pour-nous-aider-dans-notre-lutte-pour-le-climat/

Par Philippe Bilger

La rue montre les limites de la politique. Après la déroute des élections municipales pour la gauche, pendant les tractations et calculs liés à la composition du nouveau gouvernement - il vient d’être annoncé -, une fois passée la victoire d’Anne Hidalgo contre celle que j’appelais de mes voeux, flamboyante mais pas assez prosaïque, on en revient à une quotidienneté de plus en plus présente, à la fois terrifiante et parfois ridicule. Les scènes de la pauvreté parisienne.

 Elle augmente, elle déborde de partout, elle est installée dans les couloirs des immeubles, à l’entrée des parkings, sur les trottoirs, devant les commerces, près des distributeurs automatiques, elle circule et s’exprime dans le métro, elle apparaît dans notre paysage comme une familiarité devant laquelle on passe, en tout cas moi, parce qu’on n’y peut rien, parce que la ville de Paris, parce que les services sociaux, parce que la solidarité, parce que l’État... Dans le métro, il n’est quasiment plus une rame où un clochard, un sans domicile fixe, un misérable au sens hugolien ne vienne pas proférer les mêmes propos réclamant "une petite pièce ou un ticket restaurant" avec des tremblements ou de l’énergie dans la voix rendue souvent inaudible par le bruit et les soubresauts du déplacement, ce qui crée un climat surréaliste : la pauvreté parlant dans le vide et doublement victime parce qu’on ne lui donne rien et qu’on ne l’entend pas.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article25565

Par Yves Paccalet

Je suis consterné, choqué, abasourdi, baba, incrédule, furieux, révolté… Vous n’y comprenez rien ? Moi non plus. Même en y réfléchissant une semaine de suite, ni vous, ni moi ne réussirons à trouver le sens de ce gâchis, de ce ratage, de cette erreur, de cette « connerie », comme dit Daniel Cohn-Bendit. François de Rugy et les autres parlementaires écolos sont verts de rage – même s’ils retiennent leur langue en n’évoquant qu’une « décision regrettable ». Je n’ai aucune obligation de réserve. Je poserai donc à mon gré les questions qui font mal.

 Pourquoi les écologistes claquent-ils la porte au nez du Président de la République ? Pourquoi refusent-ils d’entrer au gouvernement ? Pour quelles raisons (ou déraisons), une fois de plus, conduisent-ils cette politique de gribouille, ce n’importe quoi stratégique et tactique qu’on leur reproche depuis des lustres, et dont ils font chaque jour davantage leur marque distinctive ? Pour quels motifs déclinent-ils l’offre, alors que, dans les mêmes conditions, durant deux ans, Cécile Duflot et Pascal Canfin n’ont cessé de justifier leur présence aux affaires en expliquant que « certes, c’est difficile, mais utile et même indispensable » ? Ce qui valait hier ne compte plus aujourd’hui. Vérité au ministère du Logement, erreur au grand ministère de l’Écologie, des Transports et de l’Énergie ! Et les écologistes de se lamenter que personne ne veuille jamais voir en eux des gens sérieux… Certains militants verts justifient l’« acte de courage » (disent-ils ; on pourrait traduire : la dérobade) de leurs chefs en faisant de Manuel Valls une espèce de fasciste infréquentable, pire encore que Nicolas Sarkozy. Pas plus que Cécile Duflot, je n’ai aimé ni admis les propos que le nouveau Premier ministre a tenus naguère sur les Roms. De là à en faire un clone de Goebbels, il y a la distance qui sépare la juste réprobation de la fatwa.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article25568

On dirait que la nature dit merci,
elle verdit de délice et les fleurs s'ouvrent en soupirant !!!
Suivez le chemin de l'insécurité, pensez indépendance.
Exposez vos idées, n'ayez pas peur de la controverse.
Parlez,  votre esprit doit moins craindre de l'étiquette de «cinglé»
que la stigmatisation du politiquement correct.
Et sur ​​les questions qui vous semblent importantes
levez-vous et dites ce que vous avez à dire.

Nantes a eu tous les temps ...
gris, soleil, lourdeur, petit vent du midi ...
Bon, allez une belle journée d'avril !
Qu'est-ce que la vie?
Une petite flamme à l'extrémité de la bougie, exposé à un vent fort.
Julio Ramón Ribeyro

Pendant la saison de reproduction, les limules migrent vers les eaux côtières peu profondes. Un mâle choisit une femelle et s'accroche à son dos. La femelle creuse un trou dans le sable et pond ses œufs tandis que le mâle les féconde. La femelle peut pondre entre 60 000 et 120 000 œufs par lots de quelques milliers à la fois. Les oiseaux de rivage mangent la plupart des œufs avant qu'ils n'éclosent. Les œufs prennent environ deux semaines pour éclore. Les larves muent six fois au cours de la première année.
Augmenter les limules en captivité s'est avérée difficile. Certains éléments indiquent que l'accouplement a lieu en présence du sable ou de la boue dans lequel les oeufs du crabe fer à cheval devront éclore. Il semblerait que la limule ait une idée très précise de la qualité de ce sable ou de cette boue !!!
http://fr.wikipedia.org/wiki/Limulidae
 

Je ne peux pas dormir. Je ne peux pas lâcher prise.
C'est quelque chose que le printemps provoque,
quelque chose en retour du ciel
ou de la terre.
Quelque chose de profondément humide
et incroyablement érotique
que me rend l'odeur d'une nuit avec vous.
L'odeur de la nuit
Entre vous et moi, inachevée,
vous et moi ... en cours.
Et je ne peux pas dormir. Je ne peux pas
abandonner mes sens
votre goût quand je suis avec vous
toute la nuit.
Toutes ces sacrément longues nuits,
Où je ne peux pas vous lâcher.
Peregrine

Une autre extrémité effilochée
S'empêtrer dans des noeuds
Les dénouer par le web ?
C'est les compliquer plus encore.

Rechercher pour un peu de paix
Au milieu d'une tempête
Je continue à trouver chaud ou froid
Quand je cherche sec et chaud.

Suivant les indices
J'ai trouvé une clé cachée
Un monde plein de portes
Une seule est bonne pour moi.

La recherche se poursuit
Bien que je sois à court de temps
Trouver le bonheur
Est la montagne que je dois gravir.
JBZ

Je suis d'une génération où on vous apprenait la couture et la broderie à l'école, quand, en plus vous avions une maman couturière et que des femmes autour de vous qui avaient toutes brodé, c'est un peu comme si vous naissiez avec une aiguille au bout des doigts.
J'ai beaucoup brodé, touts sortes de points, enfant, puis canevas puis point compté et patchwork ....
Des envies, une imagination un peu coincée, j'ai quand même réalisé des choses fines et jolies.
Mais là, alors là ... j'avais vu à Nantes des brodeurs d'art, comme les broderies de Quimper, mais là, cette artiste ruse crée la vie ... c'est d'une beauté, d'une finesse ...
Je vous présente le travail de Marine Zherdeva
http://www.pinterest.com/pin/541698661400824671/