Par Anne Roumanoff

Téléréalité politique

Ce sont des "vrais" Français qui ont posé des questions au Président. "Les gens veulent de la nouveauté et de la vérité", a expliqué le conseiller en com’. Le Président a accepté, ça tombe bien, il aime les vrais gens. "J’ai passé trente ans dans les bistrots", il a raconté fièrement pendant l’émission. Pour être proche des Français, l’ENA ne suffit plus, maintenant il faut faire l’ENB, École nationale des bistrots. Les Français de l’émission étaient "représentatifs" mais photogéniques. On a commencé par une jolie senior au chômage, un peu populaire mais pas trop, un peu désabusée mais pas trop. Une femme de 60 ans avec de longs cheveux roux, qui a refait sa couleur pour passer à la télé. "On a le même âge", a remarqué le Président.

Ensuite, une superbe chef d’entreprise blonde et préoccupée. "Il manquerait plus qu’il retombe amoureux", a commenté ma belle-sœur. "C’est sûr qu’elle est plus sexy que Gattaz", a remarqué son mari. Le Président propose de la revoir. "Qu’est-ce que je te disais !", commente ma belle-sœur. Puis un jeune de Marseille, issu de la diversité avec un beau costume et des phrases un peu alambiquées. On a somnolé devant la 4ème invitée, une ronde pétulante façon L’amour est dans le pré. Le Président a opiné du chef, elle aussi, il la comprenait très bien. Président conseiller Pôle Emploi, président assistante sociale, président empathique, gentil voisin de palier qui vous écoute égrener vos problèmes en hochant la tête d’un air compatissant… On bâille. "Pour ma part, c’était passionnant", a conclu le Président.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article27201

J'explique !
Hier un temps magnifiquement ensoleillé, le ciel était de toute beauté à la nuit.
Il a dû pleuvoir beaucoup cette nuit ...
Ce matin soleil, fraîcheur bien sûr, mais soleil ...
Allez, bonne journée !
On peut tout te prendre; tes biens, tes plus belles années,
l’ensemble de tes joies, et l’ensemble de tes mérites, jusqu’à ta dernière chemise,
il te restera toujours tes rêves pour réinventer le monde que l’on t’a confisqué.
Yasmina Khadra

Soleil à gogo,
Ce soir le ciel était comme du velours !
Bonne soirée et à demain !
On est mal à l’aise quand on doit choisir entre le bonheur dans la servitude qui nous sécurise
et le plaisir du cheminement personnel qui nous isole.
Boris Cyrulnik

Les pierres trouées, également connues sous le nom de pierres des sorcières, sont des pierres qui ont un trou naturel et se trouvent généralement près des océans et autres étendues d'eau. Elles sont censées êtrede  puissants talismans de protection, et lorsqu'elle est portée ou transportée,  elles protègent le porteur de malédictions,  des esprits négatifs et des dommages. Elles ont également été utilisées pour empêcher les cauchemars, étant enfilées sur une colonne de lit ou placé au-dessous des oreillers. On croit aussi que si vous regardez à travers le trou de la pierre vous pouvez voir les entités d'un autre monde. Si on la casse, elle est pensée pour utiliser son pouvoir pour protéger une vie.
http://www.le-sidh.org/site/article_559.html

Il y avait une fois, un riche fermier local, Herman-Josef Scheidtweiler qui voulait remercier le ciel de sa réussite (il a longtemps dirigé l'association des agriculteurs chrétiens) et construire sur ses champs une chapelle à la gloire de "Bruder Klaus", alias Nikolaus von der Flüe (1417-1487), un mystique suisse, fermier, qui, à 45 ans, abandonna son épouse et ses 12 enfants (avec leur consentement dit la légende), pour devenir ermite et vivre uniquement d'hosties. Il joua un rôle de conseiller dans l'élaboration de la Suisse et des liens entre les cantons. Ce "Bruder Klaus" est le "saint patron" du fermier.
http://www.lalibre.be/culture/arts/la-chapelle-du-fermier-51b89b8be4b0de6db9b29105

"Je songeais que quand on a laissé passé le bon moment, quand on a trop refusé quelque chose, ou que quelque chose vous a trop longtemps été refusé, cela vient trop tard, même lorsqu’on l’affronte avec force et qu’on le reçoit avec joie. A moins que le ”trop tard” n’existe pas ? qu’il n’y ait que “le tard” , et que “ce tard “soit toujours mieux que “jamais” ? Je ne sais pas. “
BERNHARD Schlink
A part à l'instant de sa mort, est-il jamais trop tard ? Tout dépend des désirs que l'on a.
Si ce sont des désirs de grandeur alors qu'on n'a jamais rien fait de sa vie et qu'on est dans un âge avancé, c'est vrai qu'il est sans doute trop tard, mais si c'est pour vivre tout ce qu'on entend par les joies de la vie, des simples, mais qu'on n'a jamais eu l'occasion d'expérimenter, pourquoi pas ? Quand on reste dans l'émerveillement, dans une forme d'attente tranquille, il n'est jamais trop tard pour rien.

Je m'étais réveillé avant l'aube
Assis sur le rebord de la fenêtre
Fixant les ombres
Regardant le ciel se colorer
Et la pluie couler à la fenêtre.

Murmure de la pluie
Qui perturbe le silence du matin
Perdu dans un rêve éveillé
Je peux sentir la douceur de l'eau
Des gouttes d'eau sur la vitre.

Des taches de nuages gris
Apparaissent en dehors de la fenêtre
Je me sens sourire
Je m'entends dire : "je vais faire du café .."
C'était il y a près de vingt ans.
JBZ

Les cochons d'Inde, qui n'en a pas eus ?
Je ne savais même pas qu'il y en avait autant de sortes ...
http://www.cobayesethamsters.com/racescobayestypes.html
Et il y a le cochon d'inde à poils longs et quand je dis longs, c'est longs !

"Apprendre à voir les détails les plus simples :
Le menu détail qui exprime l’essentiel.
Le petit geste qui explique le mouvement.
Le fléchissement du doigt qui suggère l’état d’âme.
L’expression de l’individu qui parle de la foule.
L’infiniment petit qui raconte le grand.
Le regard de l’autre qui dit son angoisse ou sa joie.”
Sabine WEISS

Je connaissais le ikebana japonais (L’Ikebana (生け花?) également connu sous le nom de kadō (華道/花道?), la Voie des fleurs ou l'art de faire vivre les fleurs est un art traditionnel japonais basé sur la composition florale.), ces bouquets artistiques souvent minimalistes.
Là, c'est plus que minimaliste mais quelle beauté ...
http://www.etvonweb.be/71354-photographie-postures-by-carl-kleiner