• Le village de Kinderdijk est situé aux Pays-Bas. Kinderdijk est situé dans une région qui se trouve en dessous du niveau de la mer. Les Polders sont des terres gagnées sur l'eau, comme un lac ou marais.
    Pour drainer le polder, un système de 19 moulins à vent a été construit entre 1738 et 1740. Leur but était de pomper l'excès d'eau dans un réservoir jusqu'à ce que le niveau de la rivière avait suffisamment baissé pour pomper l'eau dans la rivière Lek. Ce groupe de moulins représente la plus grande concentration de vieux moulins à vent aux Pays-Bas, et est aujourd'hui un site touristique populaire.
    http://www.amusingplanet.com/2014/11/the-windmills-of-kinderdijk.html
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Kinderdijk

    Les ailes de leurs moulins ...


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  • Le sibérien est une race de chat originaire de Russie. Ce chat de grande taille est caractérisé par sa robe à poils mi-longs et sa silhouette « en tonneau ».
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Sib%C3%A9rien

    Hair ...


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  • Thomas Eakins, né le 25 juillet 1844 à Philadelphie, et mort dans la même ville le 25 juin 1916, est un peintre, sculpteur et photographe américain.
    Thomas Eakins est admis à l'École des beaux-arts de Paris dans les ateliers de Jean-Léon Gérôme, puis de Léon Bonnat de 1866 à 1868. Il séjourne quelque temps à Pont-Aven à l'instigation de Robert Wylie. Il voyage ensuite en Espagne avant de retourner aux États-unis où il commence une brillante carrière de peintre réaliste. Amoureux de la vérité optique, il s'intéresse à la photographie. En 1882, il devient professeur à l'Académie des beaux-arts de Pennsylvanie, une école d'art avant-gardiste où l'on enseigne notamment la photographie.
    http://www.pinterest.com/mucksnipe/thomas-eakins/

    Le monde de Thomas ...


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  • Par Fabrice Nicolino

    C’est le délire. Je l’avais prévu, mais j’en reste cloué sur place, et bientôt sur la porte de grange de tous les tueurs de France et de Navarre. Notre pays se rejoue une scène déjà maintes et maintes fois montée : la mort du Loup. Tel maire de la Meuse (ici) offre 2 000 euros pour la capture d’un loup. Telle FDSEA - la structure départementale du syndic(at) de faillite appelée FNSEA - propose 1 000 euros à qui butera une malbête sur le territoire historique du Gévaudan (ici). Tel Laurent Wauquiez - insupportable roitelet du Puy-en-Velay, inqualifiable freluquet - piétine le Droit européen (ici) sans s’attirer la moindre critique, osant même ces mots : « On n’acceptera pas que les bobos parisiens nous expliquent comment on doit vivre chez nous. Il y a eu des assouplissements pour l’abattage du loup mais ce n’est pas à la hauteur. Il continue de se développer. On demande une évolution de la règlementation européenne. À nos territoires de fixer les règles en la matière. »
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article27184
    Hypocrites de tout bord, arrêtez vos faux-semblants. Puisque vous refusez la présence de 300 animaux dans un pays qui regorge de chevreuils, de chamois, de cerfs, de sangliers et de marcassins, osez aller jusqu’au bout. Il faut en appeler à la mort des éléphants, qui détruisent tant de cultures précieuses pour les paysans pauvres d’Afrique. Et à celle du tigre. Et à celle de ces requins qui croquent parfois une jambe de surfeur. Et à celle des innombrables animaux qui ne demandent qu’à vivre, quand nous préférons les savoir dans la cire ou la paille, au Muséum. Ennemis du Loup, de l’Ours, du Lynx, pourquoi ne pas avouer ? Vous nous préparez un monde où les hommes seront seuls présents, seuls survivants, juste avant qu’ils ne se jettent les uns sur les autres. Ennemis du sauvage, vous incarnez notre mort à tous.

    Faut-il hurler au loup ?


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  • Par Patrick Mignard

    Il est de bon ton, aujourd’hui, d’affirmer que le « modèle social » français, n’est plus du tout adapté aux conditions des exigences de l’économie… Et de là, à le remettre en question, il n’y a qu’un pas que les politiciens et leurs « experts » hésitent de moins en moins à franchir.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article27183

    Il n’y a plus désormais d’avenir dans le mode de production qu’est le capitalisme… Ne pas le comprendre c’est courir au désastre.

    Le CAPITAL veut abattre notre modèle social ...


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  • Encore une belle rose résiste, mais pas pour longtemps ...
    La nature s'endort par manque de lumière et de chaleur !
    Belle journée !
    Si l’amour manque si cruellement sur cette terre,
    allons peindre des nuages qu’une pluie salvatrice fera retomber…

    Tout est gris et vert ...


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  • A surveiller de près quand on veut sortit !
    Bonjour les averses !
    Autrement du beau soleil !
    Bonne soirée et à demain !
    Aussi complexe que la vie puisse paraître, elle est la simplicité qui la rend digne d'être vécue.
    Si nous mettons nos attentes trop élevées, nous ne pouvons qu'être déçus.
    Donc, si nous  ralentissons, allons avec le courant, et laissons la vie venir à nous,
    nous pouvons juste prendre le temps d'en profiter.
    William Chapman

    Ce fut quand même un temps étrange ...


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  • L'expert en whisky Jim Murray vient de dévoiler sa Whisky Bible annuelle. Le titre de meilleur whisky de l'année revient au Yamazaki Single Malt Sherry Cask 2013, qui devient le premier whisky japonais à obtenir le titre suprême, en douze ans d'existence de ce guide de Murray.
    "Décrit comme un whisky 'au génie presque indescriptible', le whisky japonais a obtenu la note de 97,5 sur 100 pour 'un nez d'une vigueur exquise' et une note finale 'délicatement épicée'", rapporte le site spécialisé The Spirits Business, qui rappelle que Yamazaki est la plus ancienne distillerie japonaise. Aujourd'hui, elle produit un nombre limité de bouteilles (18 000 par an), vendues uniquement en ligne au prix de 160 dollars (127,90 euros).
    http://www.courrierinternational.com/article/2014/11/04/le-japon-detrone-l-ecosse-dans-le-monde-du-whisky

    C'est un pu comme si on nous disait que le meilleur Camembert est fabriqué à Tombouctou ...
    Ca n'est jamais qu'une copie ...

    Ca n'a plus de sens ...


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  • On ne sait si les vacanciers qui arpentent aujourd'hui les plages du Cotentin, chères à Boris Vian, sont adeptes du freesbee et d'autres objets volants. Mais il y a plus de deux mille ans, on pouvait probablement y apercevoir d'adroits Gaulois chassant les mouettes au boomerang. C'est ce que vient de montrer une découverte réalisée précisément sous l'une de ces plages, celle d'Urville-Nacqueville près de la Hague. Constamment trempé d'eau salée, le site a l'immense avantage de conserver la matière organique, et en particulier le bois, matériau de choix des Gaulois. Et c'est ainsi, dans un ancien fossé, qu'une équipe d'archéologues français a découvert le seul boomerang gaulois connu à ce jour. Il date de 120 à 80 ans av. J.-C., soit une trentaine d'années avant la conquête de la Gaule.
    Face à ce morceau de bois plat et légèrement cintré, impossible de ne pas penser à un boomerang. Un objet volant, en tout cas. Et c'est ce que vont confirmer les analyses par la suite. Appelé en renfort, un spécialiste des boomerangs, Luc Bordes, du CNRS, l'examine attentivement.
    http://archeo.blog.lemonde.fr/2014/09/17/les-gaulois-amateurs-de-boomerang/

    Le boomerang serait-il Gaulois ?


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  • Paquebots, navires cargo, porte-avions : 40 % des bateaux bons pour la casse finissent leur vie à Alang dans l’ouest de l’Inde.
    Les chiffres sont impressionnants: depuis 1983, plus de 6000 navires ont été démantelés dans le plus grand cimetière naval au monde. Un sale travail, mais très lucratif. Plusieurs dizaines de milliers d'ouvriers travaillent actuellement à Alang - dans des conditions souvent très critiquables.
    C’est un étrange panorama que découvre le visiteur en arrivant dans la petite commune d’Alang dans l’Etat fédéral indien du Gujarat, dans l’ouest du pays. Des épaves de transatlantiques et de cargo porte- conteneurs gisent les uns à côtes des autres, certains à moitié éventrés, le long de la grève. Plus de 170 chantiers navals se pressent les uns contre les autres sur une douzaine de kilomètres du littoral. L’air est empesté d’odeurs nauséabondes, de relents de pétrole, de suies et de poussières. Une épaisse couche de liquide brunâtre flotte sur l’eau de mer.
    Jusqu’à 30 000 ouvriers s’affairent sur les carcasses de navires.
    http://www.dw.de/un-sale-travail-la-casse-de-navires-en-inde/a-6549456

    Un sale travail : la casse des navires en Inde ...


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