Le Cercle de pierres Tomnaverie, près de Tarland, dans l'Aberdeenshire, en Écosse.
Il nous a fallu environ une heure de conduite pour arriver sur ce site remarquable d'Aberdeen, heureusement c'était une belle et claire journée. Le site a été complètement déserté par les touristes, libre à visiter, et d'un accès illimité  vous permettant de marcher autour et d'observer le cercle de pierre de près.
Le Cercle de pierres de Tomnaverie date de la période néolithique, vers 2500 av. Bien que les cercles de pierres soient relativement communs dans les îles britanniques, les cercles de pierres couchées, en recherchant, Tomnaverie est unique dans le nord-est de l'Ecosse. Il y a environ 100 exemples de ce type de cercles de pierres connus, et ils sont caractérisés par une grande pierre sur son côté, avec deux pierres dressées l'accompagnant (voir photo 3).
On ne sait pas vraiment par qui les cercles de pierre couchés ont été construits. Tomnaverie qui est construit sur le bord des terres cultivées, est loin des colonies de vie. Il a été suggéré que leur but pouvait être d'encadrer les caractéristiques d'un paysage sacré (par exemple, Tomnaverie offre une vue imprenable de Lochnagar), ou d'avoir été associé à la mort. Une autre ligne de pensée est étroitement liée à l'agriculture, et que ces cercles pouvaient être utilisés pour l'observation astronomique : permettre aux agriculteurs locaux de suivre les changements de saisons. Par exemple, au Tomnaverie, la Lune aurait été allignée sur la grande formation de 3-pierres au milieu de l'été.
Beaucoup plus tard, aux alentours de 1000 avant JC, le site a été réutilisé pour les enterrements de crémation. Dans l'histoire plus récente, le monument est proche  de la destruction complète : détruit par l'exploitation de carrières avant les années 1920. Heureusement, le saccage a été arrêté, et le cercle a été pris en charge par l'État, et préservé. Il se présente comme un témoignage de la communauté néolithique qui vivaient dans cette région, et nous fournit une connexion physique à la synthèse de gens que nous connaissons si peu. C'est une chose étrange d'être debout sur la colline du monument et donnant sur les montagnes environnantes, en partageant le point de vue des créateurs préhistoriques de Tomnaverie, à plus de 4000 ans d'intervalle.
Photos de l'auteur

L’étudiant street artist Arthur-Louis Ignoré s’est fait connaître à Rennes avec ses mandalas urbains réalisés sur les trottoirs et murs de la ville. Seuls la pluie ou le piétinement naturel des passants décident de mettre fin à ces tags poétiques.
http://www.thetrendygirl.net/2015/03/urban-mandalas.html

Etonnante découverte: plus de 200 squelettes disposés soigneusement dans des fosses communes ont été mis au jour sous un supermarché en plein coeur de Paris, témoignage de la présence d'un ancien cimetière hospitalier désaffecté. Sont-ils morts de la peste? Décédés à cause d'une famine? Les archéologues s'interrogent car les défunts semblent avoir succombé en masse.
Depuis début janvier, une équipe de l'Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) mène des fouilles sous le Monoprix Réaumur-Sébastopol, l'ancien immeuble Félix Potin, dans le 2e arrondissement. A cet endroit, on sait que se trouvait le cimetière de l'Hôpital de la Trinité fondé au XIIe siècle et détruit à la fin du XVIIIe siècle.
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/video-plus-de-200-squelettes-retrouves-sous-un-supermarche-a-paris_1656548.html

(…) Je suis un homme libre,
et j’ai besoin de ma liberté.
J’ai besoin d’être seul.
J’ai besoin de méditer ma honte et mon désespoir dans la retraite ;
 j’ai besoin du soleil et du pavé des rues,
sans compagnons, sans conversation,
face à face avec moi-même,
avec la musique de mon coeur pour toute compagnie…
Que voulez-vous de moi ?
Quand j’ai quelque chose à dire, je l’imprime.
Quand j’ai quelque chose à donner, je le donne.
Votre curiosité qui fourre son nez partout me fait lever le coeur.
Vos compliments m’humilient.
Votre thé m’empoisonne.
Je ne dois rien à personne.
Je veux être responsable devant Dieu seul… s’il existe !
Henry Miller

Soleil de citron pressé
    sur lèvres de groseilles sauvages
    Au balcon deux amants
    et le temps sidéré
    rêvant
    à ce dessert
    de leurs corps a déguster
    Soleil dans leurs bouches
    où la beauté brûlante du monde
    longuement
    s’abreuvait de leurs langues fraîches
    Jacques Dor

Nasu Yoichi (那須与一) (env. 1169-env. 1232) ou de son nom complet, Nasu no Suketaka Yoichi, était un samouraï de la fin de l'ère Heian qui doit sa célébrité à un incident de la guerre de Genpei relaté dans le Heike Monogatari.
Le 22 mars 1185, au cours de la bataille navale de Yashima, les Taira avaient placé un éventail au sommet du mât d'un de leurs bateaux, clamant qu'il protègerait le navire des flèches, et défié les guerriers Minamoto de le faire tomber (selon le Dr Stephen Turnbull, ils agissaient ainsi dans le but de faire gaspiller de précieuses flèches aux Minamoto). S'avançant avec son cheval parmi les vagues, et malgré le tangage qui agite le bateau, Nasu parvient à abattre l'éventail d'une seule flèche.
Après la guerre de Genpei, le nouveau shogun Minamoto no Yoritomo le récompense en le faisant daimyō du château de Tottori, mais il perd cette position après avoir été battu par Kagetoki Kajiwara dans une compétition de chasse. Il quitte alors la province d'Echigo, et, après la mort de Yoritomo, devient moine bouddhiste au sein de la secte Jōdo shin.
On suppose qu'il est mort en 1232, à l'âge de 64 ans, au cours d'une cérémonie tenue à Kōbe en l'honneur des morts de la guerre de Genpei.

Safet Zec né en 1943 (Rogatica - Yougoslavie, Bosnie)
Vit et travaille à : Venise
La peinture n’admet depuis des siècles qu’une règle : l’exception. Laquelle est intolérable aux imbéciles.
Cette exception est la seule quête de Zec. Ce que met en évidence le désordre qui est celui de son atelier. Encore que je ne sois pas certain que le mot « désordre » convienne. C’est, dans le sestiere de Castello de Venise, une vaste halle, profonde, haute. On a dû, des années, y carder des laines, y regonfler des matelas, y tapisser et retaper des canapés. Une verrière. Des fenêtres. Une mezzanine. Elle tient lieu de réserve. Des tables encombrées. Ce sont des pots. Des bottes de pinceaux. Des boîtes d’aquarelle. Des livres. Des pages arrachées. Des tubes plus ou moins écrasés, pressés. Des… etc. Rien qui n’ait pas été nécessaire. Des chevalets. Des toiles au long d’un mur. Les unes devant les autres. Certaines retournées....
http://www.artabsolument.com/fr/default/artist/detail/340//Safet-Zec.html
https://www.pinterest.com/giulianodall/safet-zec/

Par Patrick Mignard

« Sanctuarisation » terme magique qui permet de contourner la situation calamiteuse dans laquelle nous sommes aujourd’hui aussi bien sur les plans social, politique, qu’économique, culturel, idéologique, écologique… Sanctuariser "consiste à donner une dimension sacrée, importante, voire inviolable".

 La tentation est effectivement grande aujourd’hui pour celles et ceux qui détiennent – ou croient détenir – les rênes du/des pouvoirs/s de mettre « hors jeu » des parties de la société dans lesquelles s’expriment avec violence et véhémence les contradictions de cette même société. En effet, sanctuariser donne à la fois l’illusion que l’on maîtrise et que l’on protège. Mais ce n’est qu’une illusion qui fait partie de la manipulation dans laquelle excellent les politiciens.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article28016

Le soleil se fait rare ...
Mais je suis du genre à espérer !
Bonne journée !
Si vous lâchez un peu, vous aurez un peu de paix;
si vous laissez aller beaucoup, vous aurez beaucoup de paix;
si vous laissez aller complètement vous aurez la paix complète.
Ajahn Chah

Dans la véranda c'était très agréable.
Dehors, le vent était frisquet !
Bonne soirée !
Les plus belles personnes que nous connaissons sont celles qui ont connu la défaite,
la souffrance,  la lutte, la perte et ont trouvé leur chemin hors des profondeurs.
Ces personnes ont  une sensibilité et une grande compréhension de la vie
qui les remplit de compassion, de douceur et du souci d'un amour profond.
Elisabeth Kubler-Ros