• Le tiers gagnant des patients et soignants

    jeudi 26 mars 2015
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    Par Patrick Pelloux

    Que les économistes libéraux le sachent : l’alternative économique keynésienne est inexorablement en marche, comme un malade dépressif qui serait en train de découvrir l’intérêt de la guérison. Certes, c’est toujours difficile de guérir d’une maladie comme le néolibéralisme, le monétarisme, la nouvelle économie classique, mais, vu leurs échecs, la crise et la guerre, il est inéluctable qu’une autre économie progresse. La loi de santé que le gouvernement présente en est un exemple, en instaurant le tiers payant généralisé.

     Avant la Sécurité sociale, les médecins n’étaient pas souvent payés, beaucoup étaient religieux, d’autres faisaient vœu de pauvreté, d’autres encore étaient rémunérés avec des sous ou du troc ; ils étaient rares, ceux qui gagnaient bien leur vie. Et ne parlons même pas de l’hôpital, qui était aux mains de quelques castes religieuses. L’arrivée de la Sécurité sociale, en 1945, a tout changé et a fait progresser l’accès aux soins, mais aussi la rémunération des médecins, pour en faire des professionnels avec des revenus de cadres supérieurs. Mais, est-ce le plus important ? Non. L’essentiel est que cette Sécurité sociale, enviée par Obama, a permis le développement de l’accès aux soins, même si les progrès technologiques et sociaux y ont aussi contribué.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article28176

    Le serment d'hypocrite ...


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  • C'est drôle, c'est comme une page qui se tourne, pour moi, mais je m'aperçois que d'autres personnes sont dans le même état d'esprit, des gens qui ont milité fortement pour une vraie démocratie.
    Je suis d'une famille socialiste à la Jaurès, avec des incursions chez les communistes, j'ai toujours voté socialiste et quand ma commune a viré à gauche, ce fut une explosion de joie.
    Je me souviens de ce soir de 1981 où Mitterrand est passé, cette folie ...
    Et puis après, ils ont été aussi moches que les autres et ça s'est accentué dans les dernières années.
    Tous ces gens qui font le pseudo socialisme aujourd'hui, s'il y avait eu de la place à droite, ils seraient à droite.
    J'ai donc arrêté de voter et sans révolution si un jour il n'y avait plus que 30 % de votants ils seraient bien obligés de se bouger le cul.
    Hier, un ami m'écrivait, de ma génération, qu'il gardait ses idéaux, mais ne voulait plus entrer dans tous ces groupes inutiles.
    Et aujourd'hui, cet homme, qui connait bien la politique dit pareil ...
    J'abandonne ce monde pourri et je recrée le mien ... avec les personnes qui entreront dans ce cercle !
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article28173

    Une mise au point ...

     

     

     


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  • Un jour à pluie ...
    Quelle instabilité ...
    J'veux du vrai printemps na !
    Bonne journée !
    Essayez de garder votre âme jeune et frémissante jusqu'à la vieillesse,
    et d'imaginer jusqu'à l'article de la mort que la vie ne fait que commencer.
    Je pense que c'est la seule façon de continuer à ajouter à son talent et à son bonheur intérieur.
    George Sand

    Un jour gris ...


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  • Une journée lumineuse.
    Quelques nuages, certains menaçants.
    Une ou deux averses ?
    Mais froid quand même !
    Bonne soirée !
    Seule la montagne a vécu assez longtemps
    pour écouter objectivement le hurlement d'un loup.
    Aldo Leopold

    Un Printemps bien frais je trouve ...


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  • Wu Zetian fut la seule impératrice régnante de Chine et elle fondera même sa propre dynastie, les Zhou (周), et régna sous le nom d'« empereur Shengshen » (聖神皇帝) de 690 à 705. C’était une femme d’une beauté incroyable et au tempérament d’acier ; une anecdote bien connue raconte que l’empereur Taizong avait un cheval appelé « Lion » tant il était sauvage et que personne n’arrivait à le contrôler ; la belle Wu se proposa de dominer la bête si on lui donnait trois choses : un fouet de fer, un marteau de fer et une dague. D’abord, elle aurait fouetté le cheval, puis s’il refusait toujours d’obéir, elle se proposait de le frapper avec le marteau et s’il se montrait toujours rebelle de lui trancher la gorge. Voici comment son ennemi politique, le poète Lo-Ping Wang la décrit :
        « Des sourcils arqués comme des antennes de papillon
        Ne consentant pas à céder aux autres femmes.
        Cachée derrière sa manche, elle s’applique à calomnier.
        Son charme de renarde a le pouvoir particulier d’ensorceler le maître. »
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Wu_Zetian

    Impératrice de Chine ...


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  • New York City est une capitale mondiale dans tous les sens du mot - c'est une puissance culturelle et économique, et sans doute la ville la plus influente de la planète, et Paris, il sent le pâté ? Mais les villes suivantes on aussi dominé leur monde.

    Le royaume de Vijayanâgara, situé sur le plateau du Deccan, fut le dernier grand royaume hindou que connut l'Inde
    Son nom est celui de sa capitale Vijayanâgara ou Bijanâgara (de Vijaya, victoire et nagara, ville), située sur la rive droite du fleuve Tungabhadrâ, dans l'actuel Karnataka1, aujourd'hui un site touristique important. Elle est inscrite depuis 1986 au patrimoine culturel de l'Unesco.
    À son extension la plus importante, le royaume s'étendait dans le Dekkan de la mer d'Arabie au golfe du Bengale, de Masulipatam à Goa tous les princes hindous du sud se reconnaissaient ses vassaux.
    Le royaume a duré de 1336 à 1565, formant pendant toute cette période un rempart contre l'invasion musulmane du nord du sous-continent indien. Une grande partie de son histoire est encore mal connue, mais sa puissance et sa richesse sont certifiées tant par les récits de nombreux voyageurs européens que par l'importance des bâtiments qu'il nous a légués.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Royaume_de_Vijayanagara

    Les grandes métropoles d'autrefois ...


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  • Voici quelques personnes qui non seulement ont fait l'histoire, mais ont pu aussi la raconter.

    Eliza Moore : Dernière Americaine vivante étant née dans l'esclavage.
    Il est difficile d'être sûr de cela car peu de dossiers personnels sur les esclaves étaient tenus. Mais quand elle est morte en 1948, à 105 ans, les gens croyaient qu'Eliza Moore était la dernière personne à être née dans l'esclavage aux États-Unis.  Elle a épousé un autre esclave et a probablement été la propriété d'un Dr Taylor en Alabama. Après la guerre, elle et son mari sont devenus métayers et ont peut-être eu deux enfants.

    Les survivants ...

     

     


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  • Le Bas Moyen Âge (1108-1453)
    Les enluminures et la statuaire constituent des sources intéressantes pour se représenter la variété et l'évolution des coiffures féminines.
    Au XIIe siècle on retrouve, selon la mode byzantine, les longues tresses (tresses à trois brins, rouleaux de cheveux entourés d'un ruban, tresses à 2 brins plus un ruban)… des exemples sont visibles sur les statues du portail royal de la Cathédrale de Chartres, d'Angers, le portail sud de la Cathédrale du Mans, et la célèbre statue dite Notre-Dame de Corbeil au Louvres, reprise par Violet Leduc dans ses illustrations du costume médiéval. Les femmes portent aussi des voiles longs, des cerclets en métal, des assemblages de ces différents éléments.
    Au XIIIe siècle la mode devient plus austère, il est rare, à part les jeunes femmes, de voir des femmes aux cheveux libres dans les enluminures… elles portent plutôt des voiles ronds ou semi-circulaires (gisant d'Aliénor D'Aquitaine), fixés sur une barbette, une guimpe pour les femmes plus âgées (on peut inférer l'âge des personnages sur les scènes illustrant des bibles). Un élément typique de la coiffure du XIIIe siècle est le touret, sorte de cylindre qui entoure la tête (comme on le voit sur l'illustration issu du Codex Manesse ci-dessus… cette coiffure est encore en vigueur au XIVe). Parfois le dessus est fermé, c'est le mortier. Le touret est généralement porté sur un voile, qu'il permet de maintenir… les reines portent une couronne qui remplit cet office (Blanche de Castille). Les personnages féminins du portail nord de la Cathédrale de Chartres constituent un bon témoignage de ces différentes coiffures. Les femmes du peuple ou au travail portent des coiffes de travail faites d'un voile/linge diversement replié sur les cheveux. Dans la bible de Maciojewski une coiffure de travail particulière revient à plusieurs reprises, la coiffe est maintenue par plusieurs tours d'un galon (?) clair évoquant des pratiques antérieures, la reine Bathilde (Mérovingienne) disposait dans les vêtements avec lesquels elle fut enterrée (Trésor des Saints de Chelles) de plusieurs mètres d'un galon destiné à maintenir son voile.
    Il existe des discussions sur le fait que les femmes aux cheveux libres seraient des prostituées… mais deux scènes présentant des courtisanes au XIIIe siècle dans la bible de Maciojewski et sur les vitraux de la cathédrale de Chartres vont à l'encontre de cette opinion. Les femmes représentées ont différentes coiffures, et il y a dans les deux cas une femme portant un touret. Plus tard en effet la coiffure, ou la couleur du vêtement, sont des signes distinctifs de cette condition.
    XIVe siècle Il y a différentes coiffures féminines extravagantes :
        cheveux relevés sur les tempes en deux chignons dits « truffeaux » qui sont surmontés par le balzo (ou balso est un bourrelet de brocart ou de velours).
        cheveux nattés en deux tresses enveloppées sur les oreilles dans une résille dites « crépines ».
    Le balzo est répandu à la fin du XIVe siècle, il est fixé, avec les cheveux peignés en arrière, fixés par des fils d’or ou des rubans sur une légère armature ou une résille. Voir le tableau de Parmigianino, La schiava turca (L’esclave turque).
    Au XVe on observe aussi une grande variété de coiffures dont le hennin (le fameux "chapeau de fée" en forme de cône), le hennin à cornes, le hennin tronqué, la gonelle qui est un dérivé du chaperon à bouton ou lacet à la visagière suffisamment ouverte pour qu'on ne parvienne plus à le fermer, avec pour les hommes : le liripipion.

    Le balzo

    Au poil ... l'Europe à travers le temps ...

    Le liripipion

    Au poil ... l'Europe à travers le temps ...


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  • L'amour encore ... j'adore ...


    Je suis un jour entré dans un lien où chaque parole de l’un était recueillie sans faute par l’autre.
    Il en allait de même pour chaque silence.
    Ce n’était pas cette fusion que connaissent les amants à leurs débuts et qui est un état irréel et destructeur.
    Il y avait dans l’amplitude de ce lien quelque chose de musical et nous y étions tout à la fois ensemble et séparés, comme les deux ailes diaphanes d’une libellule.
    Pour avoir connu cette plénitude, je sais que l’amour n’a rien à voir avec la sentimentalité qui traîne dans les chansons et qu’il n’est pas non plus du coté de la sexualité dont le monde fait sa marchandise première - celle qui permet de vendre toutes les autres.
    L’amour est le miracle d’être un jour entendu jusque dans nos silences,
    et d’entendre en retour avec la même délicatesse :
    la vie à l’état pur, aussi fine que l’air qui soutient les ailes des libellules et se réjouit de leur danse.
    Christian Bobin


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  • L'amour ?

     L’Amour ?
    C’est un sentiment universel pour l’être humain, pour tous les êtres humains, quels qu’ils soient, où qu’ils soient
    C’est une forme de pitié
    Une forme de piété
    De bonté
    De pureté
    De respect
    C’est aussi ce qui nous projette vers un seul être, quel qu’il soit, où qu’il soit
    C’est une forme de douceur
    De douleur
    De chaleur
    De profondeur
    L’amour c’est ce qui nous porte vers l’homme en détresse
    Qui nous rend responsable de sa fragilité
    C’est ce qui nous rend parent
    De chaque enfant
    Frère de ceux qui ne sont pas nos frères
    Ami de n’importe qui
    Le fond de l’amour, qu’il soit universel ou conjugal
    La vérité de l’amour
    Son essence,
    C’est la charité
    Eliette Abécassis


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