La seule île slovène est située dans un lac alpin appelé le lac de Bled. Et sur l'île, nous aimerions vous y emmener avec un bateau appelé Pletna. Pletna est le nom d'un bateau en bois de 7 mètres de long et 2 mètres de large. Le nom vient d'un mot allemand Pleten. Voilà le nom pour des bateaux en bois qui transportent beaucoup de voyageurs sur les lacs autrichiens. Le Pletna,  a travers les années, a obtenu la forme qu'il a aujourd'hui. Le crédit en revient aux charpentiers de bateaux qualifiés du village Mlino. Les premiers écrits, dans les registres de l'église, remontent au Moyen-Age, au 12 e siècle. En ces jours les agriculteurs pauvres du village Mlino qui se trouve sur la côte sud du lac de Bled,  reçurent des autorités une assignation : au lieu de payer la taxe locale ils devaient transporter les pèlerins sur l'île. Plus tard, à l'époque de l'impératrice Marie-Thérèse les bateliers ont reçu une servitude de ce droit. Ces droits ont été remis à 20 familles du village et ils étaient les seuls qui pouvaient faire le transport de voyageurs sur l'île. À partir de ce moment ces droits sur le bateau  pletna passèrent  de génération en génération. Bien sûr, à travers les années le Pletna devenu plus grand et plus beau.

Au-dessus du niveau du lac de Bled s'élève la seule véritable île de Slovénie. Le reste du sommet calcaire situé dans la dépression glaciaire s’est recouvert d’arbres. L’île possédait probablement déjà à la préhistoire une signification particulière et seul Prešeren a célébré ce lieu saint slave. Il est possible de rejoindre l’île en empruntant une embarcation spéciale avec toit appelée "pletna". Cette barque, dirigée par un rameur utilisant deux rames, n’est connue qu’à Bled.
http://www.slovenia.info/fr/sakralna-dediscina/L%E2%80%99%C3%AEle-de-Bled-Eglise-de-Sain.htm?sakralna_dediscina=6784&lng=5

Mineke Reinders
"Villes et paysages constituent la première source d'inspiration pour mes peintures. Je suis particulièrement attirée par les situations ordinaires, humbles de la vie quotidienne, par les maisons anciennes, et la façon dont la lumière peut transformer un paysage en quelque chose de magique. La nature transparente de l'aquarelle est particulièrement adaptée pour apporter les effets de la lumière, tandis que le milieu opaque de la gouache peut donner corps et solidité à une peinture. Je veux utiliser les deux, seuls ou ensemble, en fonction du sujet et de l'atmosphère.
Je l'ai eu la chance de beaucoup voyager et de vivre dans un certain nombre de pays. Outre les États-Unis et mon pays natal, la Hollande, j'ai vécu en Italie, en Turquie, et plus récemment, en Allemagne. Tous ces pays ont été une source inépuisable d'inspiration."
http://www.dailypaintworks.com/artists/mineke-reinders-2352

Par Fabrice Nicolino

Hier au soir, alors que s’annonçait une solide tournée de verres de rouge, j’ai discuté avec Bertrand. Il réparait une voiture en panne. Une simple Renault déjà âgée, et qui ne contenait donc que fort peu d’électronique. Néanmoins, il n’y arrivait pas et nous avons donc discuté du sort des objets dans une société contrainte d’en vendre toujours plus. Dans une société si folle qu’elle oblige ses membres à jeter de prodigieuses créations humaines en parfait état de marche pourtant.

Je lui racontais l’histoire de notre Zanussi de pauvres banlieusards, lorsque j’étais mioche. La Zanussi, achetée d’occasion je crois, était une énorme et caverneuse machine à laver le linge. Si nous avions été moins sots, je gage qu’elle serait encore vivante. Mais elle a vécu tout de même des lustres, car elle était du genre inusable. Bertrand : « Si on met de côté l’électronique d’aujourd’hui, réparer une machine à laver est d’une très grande simplicité ». Jadis, il n’existait qu’une manette servant à la programmation des cycles de lavage. Une seule pour toutes les marques. Seule changeait le cache. De la sorte, en cas de problème, il suffisait d’acheter la pièce et de la changer. Un jeu d’enfant. Aujourd’hui, sur fond d’électronisation du monde, chaque fabricant a son modèle unique. Ne sommes-nous pas des imbéciles, qui ne sommes pas même capables de protester ?
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article29001

Par Patrick Pelloux

La France, premier système de santé au monde (en raison surtout de la Sécurité sociale), a toujours soigné des étrangers très riches qui n’ont pas de système de santé de qualité dans leur pays ou qui veulent consulter nos spécialistes. Du coup, tous les gouvernements, de droite comme de gauche, ont eu la même idée : permettre à ces personnes de venir se faire soigner, et ainsi faire entrer du pognon.

 L’idée est intéressante : profiter de la notoriété de la médecine française pour gagner de l’argent dans les hôpitaux publics en pratiquant une majoration de 30 % par rapport aux tarifs normaux. D’habitude, seuls les professeurs de médecine recevaient les fortunés venus du monde entier en consultations privées, mais avec un texte législatif voté en 2011, c’était sûr, la France tenait un moyen de gagner du PIB avec son système de santé. Les patients étrangers pauvres ou/et sans papiers bénéficient de l’aide médicale d’État et ne comptent pas dans ces mesures. Nous parlons bien des étrangers richissimes qui tiennent le pétrole, la finance, le pouvoir économique et politique… Des boîtes de communication ont fait de la publicité sur le mode « Soignez-vous bien, soignez-vous français », surtout au Moyen-Orient et en Asie.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article28998

Les promesses de pluie n'ont pas été tenues ...
La Météo ressemble à la politique !
Belle journée !
Une âme paisible et calme est toujours à même de revenir sur toutes les époques de sa vie.
Sénèque

Normale ... comme notre président ?
Ah non alors ...
Belle soirée à suivre alors ?
A demain !
Si vous êtes vraiment à l'écoute,
si vous êtes éveillés à la beauté poignante du monde,
votre cœur se brise régulièrement.
En fait, votre cœur est fait pour se briser ;
son but est d'éclater encore et encore
afin qu'il puisse contenir toujours plus des merveilles.
Andrew Harvey

Une bille de Klerksdorp (ou sphère de Klerksdorp) est un objet de petite taille, le plus souvent sphérique ou se rapprochant de la forme d'un disque, issu de l'un des dépôts de pyrophyllites vieux de 3 milliards d'années situés près d'Ottosdal en Afrique du Sud. Elles ont été recueillies par des mineurs et des géologues amateurs. À cause de leur formes polies et de leurs aspects esthétiques, elles ont beaucoup fait parler d'elles. Les uns pensent qu'elle ont été créées par des êtres intelligents, ce qui, à cette époque, laisse rêveur. Les scientifiques pensent qu'elle ont été fabriquées par un processus naturel.
http://www.taverne-etrange.com/l-astro-archeologie/les-spheres-de-klerksdorp,a369354.html

Un poulpe s'est occupé de ses œufs durant quatre ans et demi avant leur éclosion.
Après Paul le poulpe, devin de l'Euro de football 2008 et du Mondial 2010, voici une autre célébrité du monde des pieuvres qui sort de l'ombre. Et aussi incroyable que cela puisse paraître, il semble bien que ce soit vrai: une maman pieuvre (les chercheurs qui l'ont suivie pendant tout ce temps l'avaient baptisée «Octomom») a «couvé» sa progéniture pendant cinquante-trois mois, soit presque quatre ans et demi. C'est ce que soutiennent, preuve à l'appui, des chercheurs américains de l'Institut de recherche du Monterey Bay Aquarium dans des travaux publiés dans Plos One. Ce qui fait de cette mère poulpe la détentrice du record toutes catégories de durée de couvaison du règne animal.
http://www.lefigaro.fr/sciences/2014/08/10/01008-20140810ARTFIG00126-record-mondialde-couvaison-pour-une-maman-pieuvre.php

Les premiers hommes sont-ils bien arrivés en Amérique par le nord ? Les vestiges les plus anciens sont en Amérique du Sud, où l'on trouve aussi des morphologies plus diversifiées. Depuis une quinzaine d'années, l'étude de la diversité génétique des populations américaines actuelles promettait d'apporter quelques éclaircissements.
Quand et comment l'homme est-il arrivé en Amérique ? Les Européens se sont posé cette question assez vite après leur découverte de ce continent, isolé de l'Ancien Monde et pourtant peuplé. En 1590, le prêtre espagnol José De Acosta proposa une explication : il imagina que les premiers Américains étaient venus d'Asie, par le nord, via une connexion terrestre qui avait dû relier, dans le passé, les deux continents. Ce scénario, surprenant pour l'époque, constitue l'ébauche du modèle de peuplement aujourd'hui le plus communément accepté, celui de la Béringie.
http://www.larecherche.fr/savoirs/archeologie/diversiteinexpliquee-premiers-americains-01-09-2007-86495
http://www.pressreader.com/france/ouest-france-caen/20150722/281526519747090/TextView