• Regarder les journaux télévisés de France 2, c’est s’infliger un véritable cours de propagande patronale. La manière dont l’opposition à la loi Travail est discréditée, systématiquement diabolisée, totalement caricaturée fournit la plus claire indication sur les intérêts que défend cette chaîne de télévision.

     Tous les ingrédients sont réunis pour dresser l’opinion publique contre ceux qui ont le courage de s’impliquer, de se battre, de prendre les risques de manifester ou de faire grève. Car il est devenu manifeste qu’une violence d’État a été décidée pour briser les manifestations et réduire à néant le Droit fondamental de manifester son opinion, en particulier lorsqu’il s’agit d’une opinion contraire à celle d’un pouvoir qui s’est résolument mis au service du patronat. Faire grève n’est jamais gratuit pour ceux qui ont le courage de s’y engager. Tout cela, bien entendu, est passé sous silence par de prétendus journalistes qui auraient excellé à la télévision de Pinochet ou de Ceausescu.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article31402
    Par Raoul Marc Jennar

    Je pense que toutes les télés sont aux ordres ... mais ...


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  • Demander à quelqu’un de travailler pour soi coûte de l’argent, il faut lui payer un salaire et les charges qui vont avec, et c’est grâce et uniquement grâce à la production de richesses qu’engendre ce travail que l’on peut le rétribuer.

     Sans ce travail, il n’est point de richesses. Cela paraît évident, mais il est des évidences à rappeler, car à force d’entendre à longueur d’analyses économiques absolument pas du tout orientées vers le libéralisme et distillées savamment par nos médias complètement indépendants du grand capital cette expression toute simple « coût du travail » et de lui coller tout de suite une réputation de frein à main, car il serait donc trop élevé et pénaliserait nos entreprises qui savent tellement mieux ce qui est bon pour nous, certains d’entre nous, finissent par s’y résoudre et se demandent si on ne pourrait pas réduire ce fameux « coût ».


    Mais le travail, justement, n’est pas un produit, une matière première que l’on peut marchander ; parler du coût du travail revient à le mépriser et par là même mépriser l’humain qui en est le cœur palpitant. Le travail n’est pas une charge de plus pour l’entreprise, il est la condition sine qua non de l’existence même de l’entreprise, il est à l’origine de la valeur ajoutée de cette entreprise.http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article31405
    Philippe Torreton

    Que ces mots soient enfin dits ...


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  • et jour de chaleur ...
    Je ne sais pas si ça va bien aller ensemble ...
    Belle journée !
    Si on veut être heureux, il faut aussi un peu penser à soi.
    Eric Reinhardt
    Ma façon de voir :
    bien m'occuper de moi pour laisser aux autres le soin de bien s'occuper d'eux .

    Jour de colère ?


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  • ou nous cherche ?
    Tantôt il a fait chaud et lourd ... orages prévus par orange ...
    Puis la fraîcheur tombe sur les épaules ...
    Bonne soirée !
    Mes souvenirs les plus chers, je les range bien à l'abri dans mon coeur, et je ferme la porte à clé.
    Pour que personne ne me les vole.
    Pour les empêcher de se faner à la lumière du soleil.
    Pour éviter que les intempéries ne les abîment.
    Ito Ogawa

    Le temps se cherche ...

     

     


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  • J'ai fait un rêve ...


    Il arrive que l'on fasse un rêve.
    On s'y prend, on y croit, on l'aime.
    Le matin, en ouvrant les yeux, deux mondes s'entremêlent encore.
    Les visages de la nuit s'estompent dans la clarté.
    On voudrait se souvenir, on voudrait les retenir.
    Ils glissent entre vos mains, la réalité brutale du jour les rejette.
    De quoi ai-je rêvé, se dit-on ? Que se passait-il ?
    Qui embrassais-je ? Qui amais-je ?
    Qu'est ce que je disais et que me disait-on ?
    On se retrouve avec le regret imprécis de toutes ces choses qui furent ou qui semblaient avoir été.
    On ne sait plus ce qu'il y avait eu autour de soi.
    On ne sait plus.
    E. Ionesco


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  • La contrainte du silence ...

    La contrainte du silence n'empêche pas de penser, mais elle rend impossible le partage des expériences.
    Quand un discours social est tellement méprisant et que la personne brutalisée ne peut pas se révolter,
    elle ne pense qu'à ça dans son for intérieur.
    Souvent elle finit par découvrir un mode d'expression culturellement acceptable :
    poésie (blog !!!), chanson, théâtre, roman, essai ou ironie.
    La contrainte au silence devient alors une contrainte à l'oeuvre d'art.
    Boris Cyrulnik


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  • Ma liberté ...

    Ca va peut-être vous paraître drôle, mais pour moi, cette photo représente la liberté.
    Pourquoi ? parce que j'aime étendre le linge, l'installer de belle façon, aller le toucher parfois pour voir si le soleil et le vent ont bien fait leur oeuvre.
    Petite j'accompagnais ma grand'mère et j'admirais ces grands draps blancs, installés raides comme la justice, je ne sais pas pourquoi, car je me demande si on ne les repassait pas après.
    On n'entend maintenant que des gémissements des parents sur leurs pauvres enfants toujours fatigués, exténués, à cause de l'école alors que ce n'est que la télé ou l'ordi. Travailler ? bientôt il y aura un salaire de base et nous ne travaillerons plus ?
    Quelle horreur  ce monde usé !
    L'école ne m'a jamais fatiguée, j'adorais apprendre, j'adore toujours d'ailleurs.
    Travailler a toujours été mon rêve, surtout ne pas être comme ma mère, obligée de négocier avec mon père (ronchon mais un coeur d'or) l'argent du ménage, pour moi, apprendre, travailler c'était la liberté.
    Je sais qu'à mon époque, le travail était reconnu et j'étais dans une bonne entreprise, je ne suis pas sûre que ce soit le cas maintenant.
    Aujourd'hui je me veux le plus libre possible dans ce qui est pour moi la liberté ...
    Etendre du linge en souriant dans ma cour et l'écouter sêcher ... c'est ma liberté ...


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  • Il n’est pas aussi agile, il ne grimpe pas aussi facilement sur des rochers mais il se déplace à quatre pattes et a même essayé l’herbe. Le Britannique Thomas Thwaites a vécu toute une semaine comme une authentique chèvre. Il a très sérieusement poussé le raffinement jusqu’à se faire fabriquer des prothèses pour marcher comme une authentique chèvre des alpages. Il a aussi consulté un expert comportemental des chèvres et a assisté à la dissection d’un bovidé.
    http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2015/08/12/vis-ma-vie-de-chevre-paisible-et-calme-selon-le-testeur/

    Une histoire de fada ...


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  • Leur forme externe rappelle une colonne antique, la décoration peut-être extrêmement raffinée :  viroles finement gravées, porte et cache pour les clés, embouchures décorées de têtes d’animaux.
    La basse et les ténors comportent, comme le basson, un conduit replié sur lui-même permettant un ravalement, c’est-à-dire la possibilité d’obtenir plus de notes dans le grave qu’une flûte à bec habituelle.
    Le diapason bas, autour de 392, confère à ces flûtes une sonorité extraordinaire, proche de l’orgue. En 1772 une quarantaine de ces flûtes existait encore à Anvers comme le note le fameux voyageur anglais Charles Burney qui a pu les voir. Elles étaient jouées jadis tous les jours par des musiciens qui accompagnaient les marchands se rendant à la bourse.
    http://musique-francois1er.com/les-flutes-colonnes/
    http://mediatheque.cite-musique.fr/masc/?INSTANCE=CITEMUSIQUE&URL=/MediaComposite/CMFM/CMFM000005600/default.htm

    Flûte alors ...


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  • Lorsque le célèbre Vésuve a anéanti Pompéi en 79 après JC, il a également détruit la ville voisine d'Herculanum. Des fouilles,  en 1752, ont permis de découvrir la bibliothèque de cette dernière cité. La plupart des 1.800 parchemins étaient si gravement brûlés par l'éruption, qu'ils n'étaient plus que des morceaux carbonisées illisibles. Plus de deux siècles plus tard, les archéologues ont utilisés les rayons X pour lire les parchemins trop fragiles pour être déroulés. Ils ont réussi à ramasser des lettres et des phrases grecques, mais la lecture des rouleaux plus endommagés reste un effort continu.
    Comme les papyrus d'Herculanum n'ont pas de symboles secrets ou des messages cachés, ils sont remarquables. Ils restent la seule bibliothèque complète jamais récupérée depuis les temps anciens. Certains pouvaient être ouverts manuellement, et ils ont révélé un trésor de prose et de poèmes écrits par le  célèbre philosophe grec Epicure. Il y a même des textes qui étaient complètement inconnus des chercheurs.
    Non seulement cela permet aux chercheurs d'acquérir une compréhension plus profonde des œuvres antiques grecques et latines, mais il ajuste aussi ce que nous savons sur l'histoire de l'encre. Lorsque les scientifiques ont analysé des fragments de défilement, ils ont constaté que l'encre contenait une grande quantité de plomb. Les encres métalliques sont sensées  avoir été introduites vers l'an 420 pour les manuscrits grecs et romains, mais les rouleaux d'Herculanum sont antérieurs à cette notion par un couple de siècles.
    http://www.lemonde.fr/sciences/article/2015/01/20/des-papyrus-antiques-carbonises-dechiffres-a-la-lumiere-des-rayons-x_4559918_1650684.html

    Un mystère éclairci ...


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