• Laura Knight
    C’est entre le siècle de l’héritage victorien et le XXème qui verra la victoire des suffragettes que la peinture de Laura Knight (1877-1970) se situe. Bien qu’elle croise les ballets russes ou se propose correspondante de guerre pendant la deuxième guerre mondiale, l’artiste semble à peine frôler la modernité qui ne cesse de révolutionner la peinture.
    http://artuk.org/discover/artists/knight-laura-18771970

    Le monde de Laura ...


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  • De Dom Helder Camara, proche des mouvements non -violents:

    « Il y a trois sortes de violence :
    La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.
    La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
    La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres. Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. »

    Les violences ...


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  • Ce qui persiste d’une classe ouvrière, naguère, puissante et redoutée, aujourd’hui, décimée par l’atomisation de la société contemporaine, bouge encore, mène ses derniers combats, tente d’endiguer le flot des « réformes » qui ne sont que des régressions, en appelle à la grève, aux blocages de raffineries de pétrole. Sans analyse de fond, la presse répète inlassablement les « éléments de langage », souhaités par les financeurs des médias, sur les thèmes : « les grévistes, privilégiés, cramponnés à leurs avantages acquis et corporatistes, prennent les braves gens en otages et refusent la modernité, donc la flexibilité ».

    Jamais, ladite presse n’évoquera les pressions omnipotentes des propriétaires des autoroutes, des parkings, de l’agroalimentaire, de l’énergie pour accroître sans cesse « leurs privilèges ». Un salarié d’une entreprise publique ou de l’administration territoriale jouit, en effet de l’immense privilège de percevoir 1 500 euros par mois. Il y a bien longtemps qu’en dehors de France, ailleurs en Occident, de telles révoltes « prolétariennes » ont disparu et un milliardaire Américain lucide, désabusé et peut-être culpabilisé, énonça : « la lutte des classes est terminée. Nous l’avons gagnée ».
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article31436
    Gérard Charollois

    Ce fric qui assassine notre terre ...


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  • Hier, vers 17 h, mon chemin de promenade n'était que flaques ...
    Ce matin, il a tout bu ...
    Mais bon, j'veux du soleil ... et pas qu'une journée ...
    Bon lundi ...
    Il y a plusieurs réalités !
    Choisis celle qui te convient.
    Évade-toi dans l'imaginaire.
    Eugène Ionesco

    La terre a tout absorbé ...


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  • Aujourd'hui, ce fut raté ...
    Un temps de mierda toute la journée !
    Bonne soirée !
    Je serai confiant quand nos écoles prépareront nos étudiants
    pour un avenir où ils seront des participants créatifs et des responsables de l'histoire
    plutôt que des drones obéissants pour l'élite économique au pouvoir.
    Mark Naison

    Pour le pique-nique ...



     


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  • Se poser les bonnes questions ...


    Pour ceux qui croient en Dieu, la plupart des grandes questions ont leurs réponses.
    Mais pour ceux d'entre nous qui ne peuvent pas facilement accepter la formule de Dieu,
    les grandes réponses ne se trouvent pas écrites sur la pierre.
    Nous les ajustons aux nouvelles conditions et découvertes.
    Nous sommes flexibles.
    L'amour doit être spontané et non une obligation. 
    Je suis mon propre dieu.
    Nous sommes ici pour désapprendre les enseignements de l'Eglise,
    de l'Etat
    et notre système éducatif.
    Nous sommes ici pour boire de la bière.
    Nous sommes ici pour tuer la guerre.
    Nous sommes ici pour rire de la chance
    et vivre nos vies si bien
    que la mort va avoir peur de nous emporter.

    Charles Bukowski


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  • La peur des mots ...


    La peur des mots
    Voudrait nous faire croire
    Que dans les villes
    On se noie dans des murmures
    On se pend au bout du fil
    Et du reste on n'en a cure

    La peur des mots
    M'incite à des caresses volubiles
    A des balbutiements , à des balbutiements
    Ardents et volatiles
    Alain Bashung


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  • Pour la petite histoire, la Rundetaarn a été édifiée entre 1637 et 1642 par Christian IV comme la première partie de l’Ouvrage de la Trinité qui rassemble un observatoire astronomique, une église et une bibliothèque universitaire, trois indispensables de tout savant du XVIIe siècle en somme.
    Une architecture en spirale unique en Europe
    Exit l’ascenseur, pour atteindre le sommet de cet édifice (et la vue tant convoitée sur la ville) c’est grimpette au programme sur une spirale pavée de 209 mètres de long tournant 7,5 fois autour du cœur de la tour. Un concept unique dans l’architecture européenne permettant, à l’époque, de monter le matériel astronomique facilement jusqu’à l’observatoire. Et c’est vraiment surprenant. Les murs d’un blanc éclatant reflètent les rayons de soleil filtrant des grandes fenêtres sur les pavés inégaux de briques foncées, ce qui apporte un contraste et un charme évident au lieu.
    http://www.ohlovelyplace.com/2015/06/la-rundetaarn-de-copenhague-la-tour-qui-donne-le-tournis.html
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Rundet%C3%A5rn

    Une tour ronde qui ne penche pas ...

    Une tour ronde qui ne penche pas ...


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  • Le géant de Corpe (Vendée)
    Il y a Le bon gros géant de Spielberg dévoilé au Festival de Cannes. Et puis, il y a le « vrai », l’authentique qui a bel et bien existé.
    Eugène Arceau vivait à Corpe, en Vendée, au début du XXe siècle. Il affichait 2,35 m sous la toise et chaussait du… 62 ! Dans les années 1920, il a formé un duo irrésistible, avec le nain Topette, aux États-Unis.
    « Mon rêve. » « La maison du géant. » Quelques mots gravés dans le linteau de la porte. La maison, située près de l’école de Corpe, à la sortie du village, ne paie pas de mine. La commune vient d’ailleurs d’en refaire la toiture. Seule originalité : une porte haute, très haute…
    C’est là qu’a vécu Eugène Arceau, un géant du XXe siècle. Au sens propre : 2,35 m, 150 kg et une pointure de 62 !
    En 1920, il part rejoindre un cirque aux Etats-Unis. On l'a affublé d'un uniforme de cuirassier qui le rend encore plus grand. Il envoie régulièrement des cartes postales à sa famille.
    Avec son ami Topette, un nain de quelques dizaines de centimètres, ils forment un duo facétieux.
    Puis il se lasse et rentre en France. Il achète une maison à Corpe, retrouve sa vie d'avant, s'occupe de son jardin, de sa vigne, joue aux cartes.
    Une otite l'emporte à 37 ans. Il est enterré dans son village. La rumeur veut que son corps ait été plié pour pouvoir entrer dans son cercueil ... sans doute faux !!!
    La légende dit qu'il allumait ses cigarettes au réverbères à gaz ...
    Extrait d'un texte de Philippe Ecalle pour Ouest France

    Le géant vendéen ...


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  • Talon compensé pour en avoir sous le pied !
    Pour marquer sa supériorité, il suffit de porter des talons.
    Dans la Grèce antique, lors d'une pièce de théâtre, on reconnaissait à coup sûr les dieux à la hauteur de leurs cothurnus d'au moins 15 cms, en liège ou en bois.

    La semelle compensée ...

    Pour ne pas gâter leurs kimonos, les nobles japonais se perchaient sur des geta, sorte de tongs posées sur des socques.

    La semelle compensée ...


    Puis vinrent les chopines. Si le liège les rendait plus légères, leur hauteur de 50 à 75 cms nécessitait l'aide de valets pour avancer dans les ruelles escarpées de la Venise du XVème siècle. Les accidents répétés eurent raison de ce sport extrême.

     

    La semelle compensée ...

    Les années 1930-1940 lanceront les semelles compensées en bois, le cuir faisant défaut en temps de guerre. Dans le régistre excentrique, la plateforme à paillettes alluma le dance floor des années 1970. Un retour à la normale s'opéra jusqu'à aujourd'hui avec des modèles devenus basiques. Sandales, baskets et boots ont pris de la hauteur.
    Ces quelques centimètres sous la semelle permettent de se grandir sans mettre en péril son équilibre, comme avec des escarpins. La compensée se porte pieds nus avec tout, du microshort à la robe longue. Et surtout elle est providentielle pour avoir une vue dégagée sur tous les concerts de l'été.
    Bernadette Bourvon pour ouest-france

    La semelle compensée ...


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