• Elle s'appelait LOLA ...

    Lola ...

    Chacun a ses morts en ce début novembre. Nous avons collectivement une morte pas comme les autres : Lola, 12 ans.

    Quand les mots ne peuvent traduire ce que l’on ressent, il y a des fleurs. Que peut-on faire individuellement ? Pas grand-chose. Que peut-on faire collectivement afin que, selon l’expression convenue, cela ne se reproduise jamais ?

    D’abord ne pas passer de la sidération à l’apathie, à l’acceptation de l’inacceptable considéré comme fatal. Pour cela il faut tenter de prévenir. Prévenir la dégradation depuis au moins 30 ans du suivi psychologique et psychiatrique, ce qui impliquerait de décupler les moyens au cours des 5 prochaines années, avec un effet à moyen terme ; prévenir avant une immigration non contrôlée, non régulée qui laisse passer des terroristes et des criminels de la pire espèce barbare sans doute non récupérables.

    Certes tous ces criminels ne sont pas des immigrés clandestins, mais plus on aura des immigrés non choisis plus on aura des Lola qui seront violées et massacrées dans l’horreur barbare. Et si on n’adopte pas les mesures radicales proposées notamment par Eric Zemmour concernant les expulsions et les obligations de quitter le territoire, et si on ne change pas de politique pénale comme le propose Rachida Dati, les paroles de bonne conscience laissant croire que les Français sont protégés resteront sans effet.

    Pourrions-nous en ces jours de commémoration de nos morts non seulement penser à Lola, à ses parents, ses proches, ses amis, mais aussi à l’essence du mal au-delà de la pénurie des carburants. Et à la dissolution du mal dans la maladie mentale.
    François BAUDILLON

     

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