« Parce que vous, vous pensez que la guerre civile est à venir.

Moi, je pense qu'elle est déjà là, à bas bruit.

Tous les jours des gens se font tabasser, rouler dessus par des scooters. Avec des bandes de six ou sept gamins qui agressent à coups de marteau. Je tire mon chapeau à cette grand-mère de 80 ans qui a été épatante cet été en blessant un de ses assaillants avec son petit Opinel.

Je pense que nous allons vers la horde primitive, avec des mâles dominants, qui, contrairement à ce que pense madame Rousseau, ne font pas des barbecues mais font régner la loi de la jungle dans les banlieues en asservissant les femmes, les enfants et les anciens. »

Michel Onfray, entretien avec Michel Houellebecq, Hors-Série de la revue « Front Populaire ».

Le football c'est la même mafia que nos gouvernements, du fric pourri,
des salaires et des dessous de table inimaginables, tous les hauts placés ramassent la mise et nous nous regardons, sagement, sans broncher !

En plus !!!

Le football, loin de fédérer une communauté multi-ethnique autour du drapeau français, exacerbe les tensions.

Et puis, comment peut-on être à ce point naïf pour croire qu'un sport, quel qu'il soit, puisse résoudre des problèmes ethniques, politiques et religieux millénaires ?
Guillaume Faye - Avant-guerre

Ah sacrée Elisabeth. Lizzou, comme personne ne l’appelle. La meuf est Première Ministre depuis seulement mai 2022 et elle en est déjà à son neuvième 49.3 pour faire passer des lois dont personne ne veut. Celle qui passe sa vie une clope électronique au bec a même osé lancer un « Pourquoi avez-vous si peur du débat ? » en pleine Assemblée Nationale alors qu’elle privait justement tout le monde de débat. Une grosse forceuse, cette Babeth. Malgré tout, on a décidé de classer ses 49.3 du meilleur au pire pour revivre ces beaux moments de démocratie avec vous.
(Topito)

Le deuxième : un 49.3 extravagant sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale ...

Je préfère ne pas parler de cet épisode douloureux qui m’a personnellement fait perdre femme et enfants. Je tiens juste à dire qu’Elisabeth Borne m’a volé ma vie.

49-3 : on est dirigé par des pourris, mais en plus ils sont cons

23 décembre 2022 Pierre Cassen

Décidément, le foot ne réussit pas à ce régime. Macron s’est déjà ridiculisé, et a fait rire le monde entier à ses dépens, en allant sur le terrain consoler Mbappé, puis en s’imposant dans les vestiaires de l’équipe de France.

Et Élisabeth Borne a suivi, dans un autre registre, le même chemin.

Elle en est à son dixième 49-3, record toutes catégories battu, Manuel Valls s’était arrêté à 6 votes par cette procédure d’exception.
https://ripostelaique.com/49-3-on-est-diriges-par-des-pourris-mais-en-plus-ils-sont-cons.html

Vendée : les affiches de Noël du département représentant la nativité déclenchent une polémique

Souhaiter (encore et toujours) Joyeux Noël plutôt que bonnes fêtes

Gabrielle Cluzel

Faites-vous partie de ce gang secret qui a frappé durant le mois de décembre dans tous les commerces de France et de Navarre, répondant au nom mystérieux de QFJN : Qui Fête Joyeux Noël ?

Toute se passe au moment précis où, ayant remis le ticket, la vendeuse referme d’un coup sec sa caisse et congédie courtoisement le client pour passer au suivant : « Passez de bonnes fêtes ! » Saisissant son paquet doré par le bolduc, le gang dégaine aussi sec : « Joyeux Noël ! »

Parler de « fêtes », c’est un peu bête car ça ne veut rien dire. On peut fêter tout et n’importe quoi : son bac, son permis, sa promotion, sa guérison, un nouvel emploi… On sent dans ce terme générique prudent un peu de cette inconsciente couardise qui, dans un climat de laïcité exacerbée, noie le poisson - c’est le cas de le dire. Si on avait dit à nos grands-parents que, un jour, on se sentirait une âme de résistant, un courage ébouriffant à souhaiter Joyeux Noël ! À chaque génération ses (petits) combats et notre guerre de tranchées, à nous, est aussi sémantique.

On peut remercier les cheminots cette année grâce auxquels l’expression un peu vintage « trêve de Noël », inventée par le clergé au Moyen Âge - et que l’on vit, en 14-18, apporter un peu de paix jusque dans les tranchées -, a retrouvé une nouvelle popularité et fait florès sur les réseaux sociaux. Grâce à Olivier Véran, qui fait des rimes et donne une leçon de christianisme : « À Noël, on ne fait pas la grève, on fait la trêve », a-t-il martelé sur France Info, mercredi.

Notez que l’on peut claironner « Noël, Noël ! » à d’autres moments de l’année car, autrefois, il s’agissait d’un cri de réjouissance pour toutes sortes de circonstances. Le 31 décembre, par exemple ? Convenons que l’usage est plutôt, ce soir-là, de souhaiter « Bonne Année ! », mais cela non plus n’est pas étranger à la chrétienté : tous nos vœux pour 2023… sous-entendu « de notre ère », ma chère !

On peut tournicoter l’affaire dans tous les sens, édulcorer, occulter, ignorer, contourner, éviter, ratiociner… notre société et notre calendrier en sont tous imprégnés. Et c’est réjouissant : Noël, Noël !
https://www.bvoltaire.fr/souhaiter-encore-et-toujours-joyeux-noel-plutot-que-bonnes-fetes/

La pluie s'est enfin arrêtée !
Paris est sous tension !!
La trêve des confiseurs ?
Belle soirée !
Depuis 40 ans, les gouvernements se contentent de déclarer
qu’ils veulent lutter contre les inégalités.
Mais ce n’est qu’en mettant comme objectif l’instruction et la transmission des savoirs que l’on réduit vraiment les inégalités.
Eric Zemmour

Insécurité, délinquance et attentats ...

En dépit des déclarations du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, de mesures ponctuelles de renforcement des effectifs de policiers et de gendarmes, de modernisation des moyens, l’insécurité est devenue la norme dans certains quartiers des grandes villes, des banlieues et de certaines villes moyennes ; chaque jour plusieurs faits divers qui sont des faits de société l’illustrent.

Insécurité pour les habitants de ces quartiers qui ne peuvent vendre leur lieu d’habitation et doivent donc subir des agressions quasi quotidiennes dans un contexte de violence et de domination par des bandes organisées et des caïds de la drogue.

Insécurité aussi pour les forces de l’ordre, les pompiers, les soignants, les enseignants notamment. En refusant de donner aux policiers et gendarmes les moyens de se défendre pour nous protéger, le président de la République et son gouvernement, sa majorité relative les condamnent à devenir des cibles qui peuvent être agressées, voire détruites en quasi-totale impunité s’agissant des mineurs armés qui leur tirent dessus.

On connait les mesures radicales qui pourraient mettre fin à ces délits et crimes dans des zones de non-droit. Mais elles ne seront mises en œuvre que si de tels actes seraient commis dans les beaux quartiers dans les lesquels réside la bourgeoisie mondialisée.

On remarquera que les attentats islamistes ne sont que très rarement perpétrés dans ces beaux quartiers pour le moment.

Il n’y a donc pas péril en la demeure. Il suffit pour assurer la paix sociale de marteler que ces délits et crimes ne sont pas tous commis par des immigrés, que la majorité des immigrés respectent la loi, ce qui est exact. (???)
François BAUDILLON

L’excellent magazine L’Incorrect dirigé par Arthur de Watrigant nous livre dans son numéro 57 d’octobre 2022 une passionnante rencontre inédite entre quatre intellectuels de notre temps sur le thème : « La France, qu’est-ce qu’il en reste ? »

Alain Finkielkraut, Pierre Manent, Chantal Delsol, Mathieu Bock-Côté échangent sur quelques vertiges qui « menacent la France dans son existence même : disparition du sacré, menace du wokisme, fin de la chrétienté, place de l’Islam et de la laïcité, rôle de la presse. »

Dans cette première note de lecture, je me limiterai aux deux premiers sujets abordés : d’une part Élisabeth II, la France et la place du sacré en politique ; d’autre part que penser - et faire. - face au wokisme.

Chantal Delsol pose ainsi la première problématique : « Nous saluons avec la mort de la reine ce désir d’éternité que nous n’avons plus. » Alain Finkielkraut cite la grande méditation de José. Ortega y Gasset dans La Révolte des masses et fait référence au droit fondamental de l’homme à la continuité historique « si fondamental qu’il est la définition même de sa substance. » Pierre Manent relève que la République a été « ramenée aux valeurs de la République, ce qui introduit une rupture délibérée avec cette grande aventure que l’on appelait l’histoire de France. »

Rupture qui nous amène à la menace du wokisme. Pierre Manent y voit « un progressisme pessimiste, une imitation du christianisme ou plutôt d’une moitié du christianisme qui garde la pénitence mais exclut le pardon, qui nous condamne à un châtiment indéfini pour les crimes réels ou supposés de nos aïeux. »

Alain Finkielkraut cite à nouveau Ortega y Gasset : « L’homme n’est jamais un premier homme. Il ne peut commencer à vivre qu’à un certain niveau du passé accumulé. »

Enfin Mathieu Bock-Côté revient sur « l’expiation sans rédemption » en indiquant que ce mouvement n’est pas réservé aux universités américaines et « a colonisé le monde de la culture, des médias et de l’entreprise. »
Jean-Loup ARNAUD

Ah sacrée Elisabeth. Lizzou, comme personne ne l’appelle. La meuf est Première Ministre depuis seulement mai 2022 et elle en est déjà à son neuvième 49.3 pour faire passer des lois dont personne ne veut. Celle qui passe sa vie une clope électronique au bec a même osé lancer un « Pourquoi avez-vous si peur du débat ? » en pleine Assemblée Nationale alors qu’elle privait justement tout le monde de débat. Une grosse forceuse, cette Babeth. Malgré tout, on a décidé de classer ses 49.3 du meilleur au pire pour revivre ces beaux moments de démocratie avec vous.
(Topito)

Le septième : un 49.3 déroutant pour faire passer le budget de la Sécurité sociale pour 2023 (toujours) ...

Bon là je vais pas vous le cacher, il y avait un peu de lassitude. Le jour du septième 49.3, tout le monde dans l’assemblée a soufflé. Les gens ont soufflé si fort que le mur du fond a reculé d’1m28. Impressionnant.

    Le gouvernement Borne a utilisé sept fois l'article 49.3 en six semaines. C'est un "déni de démocratie" pour l’opposition qui répond avec des motions de censure.