Héritage incontestable du XVIIIème siècles, l’aiguade DE Vauban est appelée communément par les bellilois «Belle-Fontaine». Elle représente l’un des vestiges militaires les plus importants de l’île.

Construit sous Vauban, son initiateur autour de 1703, cet édifice permettait aux navires d’Etat et de commerce de venir s’approvisionner en eau douce sur la côte. Plus qu’un simple réservoir, la belle fontaine est un monument surprenant. A la fois par sa complexité mais aussi par le site naturel dans lequel il fut bâti. En fond de l’anse de Port Larron, le monument attise les curiosités des historiens ou des visiteurs qui se rendent sur l’île.

Sous sa toiture végétalisée la vaste voute en plein cintre dissimule 850.000 litres d’eau douces retenue par deux quais. Autour du réservoir, deux maisonnettes de pierres témoignent de l’occupation humaine. Après la remise de l’aiguade aux Ponts et Chaussées en 1839, la mairie de Le Palais acquiert l’ensemble du site pour 100.000 francs et fera classer le réservoir au titre des Monuments Historiques en 1990.
https://www.fondation-patrimoine.org/les-projets/la-belle-fontaine-aiguade-vauban-a-le-palais

L'histoire du préservatif est quelque peu trouble, les historiens étant incapables de déterminer quand les gens ont même commencé à les utiliser. Même s’il s’agit d’une ligne de frappe, les préservatifs sont responsables de sauver un nombre incalculable de vies et constituent l’un des progrès les plus importants dans le maintien de la santé publique.

Le préservatif est légal ... ou pas ...

L’Irlande est loin d’être le seul pays à s’être doté de restrictions légales sur les préservatifs. Les États-Unis entretiennent également une relation douteuse avec ce produit. Au 18ème siècle, les intestins des animaux étaient utilisés, mais en 1839, Charles Goodyear a introduit un moyen de vulcaniser le caoutchouc et l'industrie du préservatif a explosé. En 1873, le gouvernement fédéral adopta la loi Comstock, qui rendait illégal l'envoi de divers articles liés à la sexualité, notamment de la littérature érotique, des jouets sexuels et des préservatifs. Le parti pris contre les préservatifs (souvent censé encourager la promiscuité) a perduré pendant des décennies. Lorsque les États-Unis sont entrés dans la Première Guerre mondiale, ils étaient la seule puissance alliée à ne pas fournir de préservatifs à leurs troupes, ce qui a entraîné des milliers de cas de maladies vénériennes telles que la gonorrhée et la syphilis.

Même aujourd'hui, lorsque les Américains de tous âges peuvent acheter des préservatifs dans les magasins ou par la poste, la possession de préservatifs peut être utilisée contre ces personnes et elles peuvent être poursuivies en justice. Lors de l'arrestation de personnes soupçonnées d'être des professionnelles du sexe, la présence de préservatifs sur soi est considérée comme une preuve d'un crime. Malheureusement, cela a conduit de nombreuses prostituées à négliger de porter des préservatifs par peur du harcèlement de la police, risquant ainsi l’infection par des maladies sexuellement transmissibles. L'un des endroits les plus progressistes du pays, la Californie, a été l'un des premiers États à interdire la possession de préservatifs contre une personne devant un tribunal.

Manuel Pita, plus connu sous le pseudonyme de « Sejkko », est un artiste photographe d’origine portugaise.

Fasciné par la solitude dont il tente d’en comprendre ses complexités, Sejkko parcourt le monde à la recherche de maisons isolées et colorées pour les photographier. Il répertorie ensuite ses photographies de maisons en retouchant leur fond en un ciel limpide.

Ces lonely houses  sont visibles sur le compte Instagram de l’artiste au plus de 301 K abonnés.

Identiques à des écosystèmes, certaines sont vieillies et authentiques, d’autres originales et ordinaires, certaines chaleureuses, d’autres plutôt glaciales… Mais toutes nous délivrent un sentiment qui, bien qu’il diffère entre la nostalgie, la tristesse et le bonheur, n’est que pure poésie !
http://www.fubiz.net/2019/07/26/poetic-lonely-houses-by-manuel-pita/

Amylee est née à Nîmes en 1978,  elle a, depuis l’enfance, consacré son temps libre à l’apprentissage et à la pratique du dessin et de la peinture.
Après des études en Arts Plastiques et en Arts Appliqués dans le sud de la France, elle monte à Paris et met ses compétences au service du design et de la couleur
En 2008, capable enfin de prendre en charge son désir profond : peindre, elle entreprend de consacrer sa vie à son art.Sa technique est centrée sur la couleur. Elle aime raconter des histoires autour de la femme, composer par motifs, s’inspirer des années 70 et des défilés Couture d'aujourd'hui. Ses tableaux sont chargés d’une énergie positive toujours associée à cette touche d’élégance « Glamour Pop » qui caractérise si bien ses œuvres.

Il faut tenir son rang, disait-on autrefois. Et cela ne s’adressait pas seulement aux comtesses de Grantham, façon Downton Abbey : un paysan, un artisan était conscient avec une humble fierté de son rang, et entendait ne pas déchoir. Il suffit, pour s’en convaincre, de relire La Fille du puisatier.

Quand Emmanuel Macron est arrivé, avec son beau costume, son langage châtié, son port de tête hiératique le soir des élections, les Français y ont cru, ont dit que celui-là « habitait la fonction présidentielle », une traduction moderne de l’adage de nos grands-mères. Puis sont arrivés Benalla, les gandins louches de Saint-Martin avec leur doigt d’honneur et tout l’aréopage bigarré de ministres aux mille bourdes, moins pressés de servir que de se servir, refusant de quitter leur rang d'(ir)responsable de l’UNEF sectaire et désinvolte, comme Christophe Castaner ou Sibeth Ndiaye, pour celui trop sérieux, trop lourd, trop collet monté de membre du gouvernement, et tout espoir s’est effondré. Emmanuel Macron était donc comme les autres. De temps à autre, l’espace d’un hommage aux Invalides, il retrouve la posture grave qui a séduit, comme le danseur de tango remet de la brillantine et fait claquer ses talonnettes, mais le mirage se dissipe vite, le magnétisme n’opère plus. Il est une phrase perfide qui passe de l’un à l’autre, dans notre monde politique, comme une balle poisseuse que l’on se refile : Fillon l’a lancée à Sarkozy, Rugy à Fillon, et aujourd’hui, c’est Rugy qui la prend à son tour en pleine face : « Imagine-t-on le général de Gaulle… » Tout est là. Tenir son rang de Président. Et Mitterrand, qui cacha sa fille illégitime durant des années sans d’autre raison que de ne pas abîmer la fonction, en savait bien tout l’enjeu.
https://www.bvoltaire.fr/mais-bon-sang-quand-vont-ils-tenir-leur-rang/

Qui dirige vraiment la France ? La réponse que nous apportons à cette question va à l’encontre des idées reçues. Car les véritables dirigeants ne tiennent pas à ce qu’on sache qui ils sont. Ils veulent tirer les ficelles en restant derrière le rideau. C’est tellement vrai qu’un journaliste qui donne ne serait-ce qu’une bride d’information à ce sujet aura rapidement des ennuis. Voyez-en pour preuve la vidéo intitulée : « Natacha Polony : Macron est idéologiquement vide » que vous trouverez sur YouTube. Ce qu’elle déclare ici lui a attiré quelques ennuis. Elle dit à propos d’Emmanuel Macron : 

« C’est que lui, idéologiquement, il est une espèce de truc assez vide, capable de soutenir tout et son contraire, simplement ce qu’il a derrière lui c’est tout simplement des forces financières qui ont envie de poursuivre un programme très précis. Un programme économique. On sait ce que c’est. Il est soutenu par qui ? Il est soutenu par Pierre Berger, Xavier Niel, Patrick Drahi… Enfin voilà ! Il y a derrière des gens qui ont des intérêts financiers à soutenir et donc ils ont trouvé un produit d’appel génial. »

Oui, voilà ce qui est inadmissible. Et en plus, elle cite quelques noms dont nous reparlerons. C’est bien de ceux-là qu’il s’agit. C’est bien eux qui ont vraiment le pouvoir et Natacha Polony s’est faite virer par Europe 1 de sa chronique.
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/qui-dirige-la-france-216900

Mais moins de  alors ça va ...
Terre toujours sèche ...
Belle journée !
Sur fond de ciel bleu
le lilas des Indes
donne le ton ...
Moi

Ca n'est quand même pas compliqué de faire plaisir :
l'été doit être ensoleillé, avec une petite brise et quelques averses !!!
Bonne soirée !
On reconnaît le degré de civilisation d'un peuple à la manière dont il traite ses animaux.
Gandhi
Respecter un animal c'est ne pas en faire un singe savant ou un esclave !

Quand d'un coup on s'embrasse,
c'est que vraiment
on n'en peut plus de cette distance,
même collés l'un à l'autre
on a la sensation d'être encore trop loin,
pas assez en osmose,
de là vient l'envie de se fondre,
de ne plus laisser d'espace.
Serge Joncour

J'aime ceux qui n'oublient pas les promesses,
malgré les années,
le temps qui gèle les mains.
J'aime bien qu'ils arrivent avec la chose promise,
qu'ils sourient
en vous rappelant qu'ils ne l'ont pas oublié.
M. Sierra Villanueva