• Ecrire ...


    J'écris les travées et les silences,
    ce que l'on ne voit pas,
    ce que l'on n'entend pas.

    J'écris les chemins que l'on évite,
    et ceux que l'on a oubliés.
    J'étreins les Autres,
    ceux dont l'histoire se propage dans la mienne,
    comme le courant d'eau douce qui se déverse dans la mer.
    Je fais parler les fantômes
    pour qu'ils cessent de me hanter.
    Nina Bouraoui


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  • Cassius Marcellus Clay ( / 19 octobre 1810 - 22 juillet 1903), surnommé le "Lion de White Hall", était un planteur du Kentucky , un politicien et émancipationniste qui a œuvré pour l' abolition de l'esclavage . Il a libéré les esclaves qui lui ont été légués par son père. Ces esclaves libérés ont été autorisés à rester et ont reçu un salaire. Il a été nommé par le président Abraham Lincoln au poste de ministre des États-Unis en Russie pendant la guerre de sécession et a obtenu l'appui de la Russie à l'Union.
    https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=https://en.wikipedia.org/wiki/Cassius_Marcellus_Clay_(politician)&prev=search

     

    Un politicien important et honorable, c'est si rare ...


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  • Le fameux Joshua tree

    Rendu célèbre par les westerns et plus récemment par une pochette d'album du groupe U2, le Joshua tree (Yucca brevifolia) est un petit arbre originaire de Californie et de l'Utah, où d'imposants sujets forment des forêts tout à fait spectaculaires. La plus grande d'entre-elles se trouve à l'ouest de Las Vegas, dans le « Mojave desert ».

    Le Yucca brevifolia possède un tronc ligneux dont l'écorce fissurée et écaillée est du plus bel effet. L'arbre, dans son milieu d'origine peut atteindre 10 mètres de hauteur ce qui est rarement le cas en culture dans notre pays. Les feuilles linéaires, coriaces, légèrement dentelées sur le bord et piquantes à leur extrémités sont généralement vertes marquées de brun foncé. Elles sont portées en rosettes à l'extrémité des tiges. L'inflorescence se compose de fleurs jaunâtres dégageant un parfum désagréable.
    https://www.aujardin.info/plantes/yucca-brevifolia.php

     

    Le yucca brevifolia ...

     


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  • Oui, le corbeau fascine, le corbeau effraie, et pourtant, bien des choses sont méconnues à propos de cet oiseau à la fois remarquable, magnifique et mystérieux. Déjà, il faut savoir que l’on regroupe sous le terme « corbeau » toutes les espèces du genre corvus telles que les corneilles, freux, choucas, et bien sûr le Grand Corbeau, superbe oiseau qui peut faire 1 mètre d’envergure et qui est devenu rare en France après avoir été décimé par l'homme.

    4. Les corbeaux sont extrêmement joueurs et malins… Et ils se font des blagues entre eux.

    Un autre trait qui prouve la très grande intelligence de ces oiseaux, c’est qu’ils sont très espiègles ! On a vu des corbeaux au Canada et en Alaska qui utilisent les toits enneigés des maisons comme toboggans pour glisser… Ou encore en train de dévaler des collines enneigées en faisant des roulés-boulés !

    Ils jouent souvent avec d’autres animaux en les provoquant puis en s’envolant juste avant d’être attrapés. Et surtout, certains corbeaux font des jouets — un comportement animal extrêmement rare, surtout dans la nature — en utilisant des bouts de bois, des pommes de pin, des balles de golf, ou encore des cailloux pour jouer entre eux ou tous seuls.

    Le corbeau dans tous ses états ...


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  • L’inhumation des navires est un ancien rituel germanique, plus connu sous le nom de méthode d’inhumation des vikings au statut particulièrement élevé. Cependant, presque toutes les cultures germaniques pratiquaient ce rituel, qui impliquait souvent la construction d'un navire servant de tombeau à un corps.
    Parfois, le corps était simplement enterré dans le navire. D'autres fois, le corps a été placé à l'intérieur et le bateau a été incendié pour incinérer le corps de la personne honorée. De telles inhumations sont constamment mises au jour à l'aide de nouvelles technologies permettant de détecter les navires.

    L'Oseberg ...

    Découverte rare, le navire Oseberg a été découvert en Norvège en 1903 lorsqu'un agriculteur a creusé dans un cimetière et a découvert une partie d'un navire. Une équipe archéologique a immédiatement procédé à des fouilles initiales. Mais pour préserver au mieux le navire, ils ont reporté le reste des fouilles à l’été suivant, lorsque le temps est plus clément.

    Le navire Oseberg est peut-être le navire de sépulture le plus intact que nous ayons. Il réside actuellement au musée d'histoire culturelle d'Oslo, en Norvège. Quel que soit le constructeur du navire, il a fallu un long et laborieux processus de conception et de création pour forger ce magnifique chef-d'œuvre, ce qui suggère que le contenu à l'intérieur était assez important.

    À son époque, le navire Oseberg avait été remorqué et utilisé pour l’enterrement de deux femmes. Son contenu était étonnant. Têtes d'animaux, vêtements, outils, ustensiles, six chiens, 15 chevaux et deux vaches ont tous été enterrés avec les deux femmes dans un navire. Cela témoigne du soin minutieux apporté aux rites religieux d'inhumation des hommes - et des femmes - de cette époque.

    Les navires sépultures ...


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  • Faut-il encore présenter le photographe allemand Stephan Zirwes ? L’un des pionniers de la photographie aérienne a accepté de prendre un peu de son précieux temps pour répondre à nos questions. Entre réflexions environnementales et sociales et esthétisme léché, ses nombreux projets ne laissent pas de marbre.
    http://www.fubiz.net/2018/11/16/through-the-lens-of-photographer-stephan-zirwes/

     

    Si j'avais des ailes ...


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  • Frederic Bazille, né le 6 décembre 1841 à Montpellier et mort au combat le 28 novembre 1870 à Beaune-la-Rolande, est un peintre impressionniste français.

    Le monde de Frédéric ...

    Le monde de Frédéric ...

    Le monde de Frédéric ...

    Le monde de Frédéric ...

    Le monde de Frédéric ...

    Le monde de Frédéric ...


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  • L’éducation, la constitution d’un acquis se fait par la transmission du savoir de maîtres, ces maîtres ont su s’abstraire de leur société pour se dégager de l’immédiateté, pour ne garder que l’essentiel, l’intemporel. Le terreau culturel ne doit pas tenir compte du bruit de fond alimenté par les insignifiances, le qu’en dira-t-on, la rumeur… l’enfer c’est les autres.

     Cette élévation par la solitude et la réflexion ne constitue la base d’aucune supériorité par rapport à autrui, il s’agit seulement d’atteindre une plus grande autonomie par ce qu’on a compris, ce que l’on sait, ce que l’on pressent. Tout est simple, tout est accessible à tous, même si beaucoup des textes importants contiennent maintes références abstruses pour prouver seulement que l’auteur fait bien partie des savants. Des concepts donnent une cohérence à un ensemble philosophique ou politique mais ils servent plus à démontrer le caractère inestimable de l’auteur et sont inutiles à celui qui les lit : il faut forger ses propres certitudes.

     En écartant toute tentative de faire émerger une intelligence collective, il est possible de se construire un moi, unique donc irremplaçable, isolé donc impuissant. Mais c’est cette impuissance qui lui donne sa valeur et sa grandeur. Il faut ensuite allier les solitudes pour faire une société en acceptant résolument, sans compromission possible, de n’être qu’une voix au milieu d’une multitude d’autres, toutes uniques.

     En bannissant les partis politiques, les idéologies, les cercles de pensée, il est possible de faire vivre une société faite par chacun, pour chacun où les privilèges, les tripatouillages, les incessants mépris disparaissent ou du moins s’atténuent.
    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/comment-sauver-le-monde-209552

     

    Penser enfin par soi-même ...


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  • Pensées du désastre

    Par Jean-Claude Guillebaud

    Les médias rendent désormais très proche n’importe quel désastre climatique. Notre orgueil d’humain en prend un coup et, avec lui, notre insouciance orgueilleuse, notre conviction naïve d’avoir triomphé du réel.

     Nous avons bien du mal, tous autant que nous sommes, à garder les idées claires après des désastres comparables à ceux qui frappaient périodiquement l’Asie, et qui maltraitent maintenant l’Europe. Mille et une pensées nous assaillent lorsque nous contemplons ces images venues de bien plus loin dans notre imaginaire que ne le suggérait hier encore la simple distance géographique. Essayons de mettre un tout petit peu d’ordre dans tout cela. En Indonésie (fin septembre 2018), la catastrophe a été plus grave qu’on ne l’avait cru au début. D’où ces bilans indéfiniment provisoires et ces morts qui s’additionnaient jour après jour. Avec cette fois une étrangeté : les autorités indonésiennes ont finalement rejeté l’aide étrangère. Orgueil ? Peu importe. Ce qui est sûr c’est que certaines ONG ont dû rebrousser chemin. Est-ce un signe ? Le mois suivant dans l’Aude (15-16 octobre), même s’il fut réduit à 14 victimes, le bilan fut symboliquement vertigineux car nous savons déjà que pareil cataclysme se reproduira encore et encore. L’instabilité du climat et la vulnérabilité des territoires (dont nous sommes coresponsables) nous condamnent à vivre d’autres malheurs. Alors ?
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article39610

     

    Notre Titanic n'a pas encore conscience de la grosseur de l'iceberg, alors nous dansons ...


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  • Il fait froid, mais sans vent c'est supportable !
    Y a-t-il encore du jaune à l'horizon ?
    Bon dimanche !
    Ne jamais craindre la profusion,
    la générosité des mots et des gestes,
    l'abondance des déclarations,
    dire et offrir sans frein.
    Abonder.

    Belinda Cannone

    Le ciel est bleu ...


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