• Les coutumes ...
    Les coutumes et les traditions des sociétés tout au long de l'histoire écrite ont probablement été beaucoup plus influencées par le pavot à opium que votre professeur d'histoire du lycée vous le raconte. De retour dans la Grèce antique, Homère décrit les effets agréables de l'opium dans "L'Odyssée" :  "Dans le bol où leur vin, elle a glissé une drogue qui avait le pouvoir de voler le chagrin et la colère  et de bannir tous les souvenirs douloureux. Une personne qui a avalé ce produit dans son vin n'a pu verser une seule larme ce jour-là, même apprenant la mort de sa mère ou de son père, ou si son frère ou son fils étaient passés par l'épée et qu'il était là pour le voir ... " . Avance rapide à la Chine du 19ème siècle, où la drogue était si populaire, on estime qu'au moins un quart des hommes chinois ont été accro. Il était fumé dans les tanières d'opium comme un passe-temps, quelque chose d'abord pensé pour être joyeux et social. C'était avant que son addiction soit bien connue. Les Chinois l'ont finalement proscrit, menant aux guerres de l'opium. À ce jour, les opiacés sont utilisés dans le monde entier à des fins récréatives et touchent de nombreuses cultures.
    Mais toute drogue a ses dangers ...
    https://www.cairn.info/revue-a-contrario-2003-2-page-6.htm

     

    Et l'opium dans tout ça ...


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  • La photographe Noell Oszvald enlève de ses photos la distraction des couleurs, en créant cette série en noir et blanc minimaliste et intime. Poétique et contrastée, ce recueil photographique sublime les formes et les émotions du sujet, en opposant les angles et les rondeurs, les arrêtes à la douceur. Avec ces photos réduites à l’essentiel, aussi vibrantes que calmes, Oszvald signe un chef d’oeuvre de nostalgie.
    http://www.fubiz.net/2017/10/12/intense-black-and-white-photographies-by-noell-oszvald/

     

    Très très black and white ...


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  • Henri Paul Gérard est né le 28 avril 1860 rue St Joseph à Toulouse, fils de Paul Gérard rentier et de Clara Constance Berruyer. Issu d’une famille bourgeoise, sa fortune lui permet de vivre selon ses goûts. Après avoir fréquenté le Lycée de Toulouse, il s’inscrit à l’Ecole des Beaux-Arts de sa ville natale où il côtoie ses amis, Henri Martin, Paul Gervais, Henri Rachou, François Gauzi et Jean Diffre. Ne trouvant probablement pas sa voie immédiatement, il décide de devancer l’appel militaire. Il ne restera pas longtemps sous les drapeaux car il est libéré quelques mois plus tard à la mort de son père en tant que soutien de famille.
    http://www.artnet.com/artists/henry-gerard/past-auction-results

     

    Le monde d'Henri ...


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  • Toute une stratégie de victimisation mise à mal

    Depuis des lustres, les syndicats de patrons s’évertuent à nous dire que tout va mal, que les entreprises croulent sous les charges, que le code du travail est trop rigide, les indemnités de licenciement trop élevées et que l’impôt sur les sociétés devrait être supprimé.

    Les saillies verbales de M. Gattaz sur ce sujet ainsi que ses promesses jamais tenues de créations d’emplois malgré les 20 Milliards annuels du CICE font la une des journaux alors que vous, M. Brissault, votre geste n’a fait que 15 petite lignes en colonne en dernière page de mon quotidien régional.

    C’est un fait, les déboires supposés des entreprises françaises avec leurs salariés qui coûtent cher sont largement relayés par les médias et il semble qu’il y ait une hérédité très prononcée chez les Gattaz, porteurs de mauvaises nouvelles, puisque le père de celui-ci officiait à la tête de l’ancêtre du Medef, le Conseil National du Patronat Français, autrement appelé « Conseil National des Pleurnichards Français » ce qui en disait déjà long sur l’action de ce mouvement.
    https://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/patron-voyou-197589

    Vous pouvez voir que j'adore cette image, elle est si vraie ..

    Merci patron ...


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  • Comment tuer la Sécu

    Par Bernard Gensane

     

    Il y a bien des manières, mais il en est une douce, discrète et hypocrite. Elle consiste à dire au bon peuple qu’on va lui donner du pouvoir d’achat en abaissant, voire en supprimant, les cotisations sociales (et patronales, tant qu’on y est).

     

     Lorsqu’Ambroise Croizat (et non Pierre Laroque ou Alexandre Parodi) crée la Sécu, son objectif est de « mettre fin à l’obsession de la misère ». Soixante-dix ans après, alors que la France s’est considérablement enrichie, la misère est là. Pas seulement son spectre ou son « obsession ». La droite et la bourgeoisie française – relayées par les médecins libéraux – n’ont jamais accepté la Sécurité sociale. Elles n’ont cessé de lui flanquer des coups de boutoirs pour l’affaiblir et la dénaturer. Un exemple : en 1967, les ordonnances du gouvernement Pompidou, sous De Gaulle, démantèlent la Sécu en séparant des domaines désormais distincts et autonomes : maladie, famille, vieillesse. Le patronat exige et obtient un paritarisme strict entre ceux qu’on n’appelle pas encore systématiquement les « partenaires sociaux » qui auront dès lors le même nombre de représentants dans les Conseils d’administration. Les ordonnances suppriment par ailleurs les élections des administrateurs salariés qui seront désormais désignés.
    En d’autres termes, la Sécu qui gère désormais le salaire différé des travailleurs est dominée par les patrons.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article35906

     

    Les tueurs en col blanc ...


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  • La chatte des voisins a commencé sa chasse dans mon jardin ...
    Les chasseurs ont aussi commencé leurs pétarades ...
    Bon dimanche !
    C'est toujours la passion qui dévoile à une femme son caractère,
    c'est toujours dans l'amour et dans la douleur qu'elle atteint sa véritable mesure.
    Stefan Zweig

    Très laiteux le ciel ...


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  • Belle comme j'aime ...
    Chaude comme je supporte ...
    Parfaite !
    Bonne soirée !
    Quand nul ne la regarde, la mer n’est plus la mer.
    Elle est ce que nous sommes lorsque nul ne nous voit…
    Jules Supervielle

    Une journée divine ...


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  • Les moutons noirs ...

    Garcia Lorca conduit à son exécution ...

    Il était une fois dans un pays lointain,
    il y a longtemps, un mouton noir.

    On l’a fusillé.

    Un siècle plus tard,
    le troupeau repenti lui a élevé une statue
    qui rend très bien dans le parc.

    Ainsi par la suite,
    chaque fois qu’apparaissaient des moutons noirs,
    ils étaient rapidement passés par les armes
    pour que les générations futures puissent s’exercer à la sculpture.
    Augusto Monterroso

    Les moutons noirs ...

    Statue de Garcia Lorca


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  • La rose rouge ...


    Si tu désires une rose rouge,
    dit l’arbre,
    tu dois la créer avec de la musique au clair de lune
    et la teindre du sang de ton propre cœur. 

    Tu dois chanter pour moi,
    ton sein contre une épine. 
    Toute la nuit tu dois chanter pour moi,
    et l’épine doit te percer le cœur,
    et le sang de ta vie doit couler dans mes veines
    et devenir mien.
                                                     Oscar Wilde                                                 


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  • Les yeux fermés ...

    Les yeux fermés
    au-dedans tu t’illumines
    tu es la pierre aveugle
    Nuit après nuit je te façonne

    les yeux fermés
    tu es la pierre franche
    Nous devenons immenses
    seulement pour nous connaître

    les yeux fermés

    Octavio Paz


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