Le fort romain d'Ain Umm el-Dabadib du IIIe au IVe siècle a été construit près de l'oasis d'El-Kharga en Egypte sur une ancienne route vers l'oasis de Dakhla. Le grand oued plat dans lequel se trouve Ain Umm el-Dabadib a été traversé par au moins trois pistes anciennes, les rejetons du Darb Ain Amur. Quatre tours massives rectangulaires marquaient les coins du fort, ce qui en faisait une architecture distincte de toute autre forteresse de l'oasis de Kharga (qui avait des tours arrondies), suggérant que ce fut peut-être une construction ultérieure. La plus haute des tours d'el-Dabadib, au coin sud-ouest, contient encore des restes d'escalier en colimaçon et s'élève à une hauteur d'environ 15m.
https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=https://egyptsites.wordpress.com/2009/03/10/ain-umm-el-dabadib/&prev=search

Le photographe suédois Fredrik Lerneryd est allé à la rencontre d’une école de danse classique bien particulière. Située au coeur de l’un des plus grands bidonvilles africains, à Nairobi au Kenya, elle est destinée à initier et à divertir les enfants après l’école. Le projet fait partie d’un programme de l’association britannique Anno’s Africa qui propose une éducation artistique à 800 enfants au Kenya.
http://www.huffpostmaghreb.com/2017/01/15/ecole-afrique-ballet_n_14180452.html

Mary Anne Aytoun-Ellis est une artiste peintre anglaise née en 1966.

Je voyage peu l'hiver, pour moi ce n'est pas une saison qui se prête à cela,
Mais l'autre jour, pour mon voyage en Bretagne, sous le soleil et la clarté,
j'ai pu admirer le dessin des arbres nus et c'était magnifique.
Je trouve qu'elle rend bien cet esprit.

Par Pierre Grindsable

Au lendemain du premier débat de la "primaire de gauche" on comprend qu’un nouvel enjeu sous-tend les contradictions entre les candidats "de gauche" à la présidentielle 2017 : pour ou contre le "revenu universel"... Et c’est Benoît Hamon, un des rares "opposants" apparemment encore engagé contre la "loi travail" qui s’en fait le principal promoteur... La justification en serait la disparition "inexorable" du travail, due à la "révolution numérique" et à la robotisation de nombreux secteurs d’activité...

 Le système de protection sociale, en France, de la santé aux retraites, en passant par l’indemnisation du chômage, et sans oublier l’aide au logement, le soutien aux familles, toute cette protection est effectivement le produit du travail, via les diverses systèmes de cotisations. Ces dernières décennies, et singulièrement, ces dernières années, il a subi de nombreuses atteintes et dégradations, notamment au nom de la "compétitivité", censée relancer l’emploi... En quoi le "revenu universel" serait-il la conquête d’un nouveau "droit social", selon ses promoteurs, et notamment Benoît Hamon, et comment peut-il être financé ? En fait d’"universalité", il sera donc "de Droit", à tout un chacun, indépendamment de toute condition d’emploi et de ressource. Pour le chômeur, il deviendra son unique ressource, et pour le travailleur, il sera un revenu garanti, indépendamment de son employeur.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article33495

Croissance, chômage taux zéro ... ils croient encore nous faire rêver avec ça, alors qu'ils ne pensent que profit et que nous ne pensons qu'à vivre simplement et sereinement ...

Par Gérard Charollois

Les professionnels de la politique ne parlent plus de progrès, notion que célébraient tous leurs devanciers des trois derniers siècles. En revanche, ils invoquent la croissance, panacée contre la crise, contre le chômage, aspirant à en accélérer le rythme, déplorant qu’elle s’essouffle, attendant d’elle qu’elle génère des emplois et surtout des profits pour leurs commettants.

 Or, la croissance quantitative disparue ne mesure nullement le bien-être, le degré de satisfaction des citoyens, crée de moins en moins d’emplois et présente des coûts écologiques insupportables. La nuisance de la croissance quantitative affecte d’abord la nature car elle se construit à son détriment. D’où le concept marginal, contestataire et iconoclaste de décroissance. Nos politiciens n’ont pas encore compris que les dogmes économiques ressassés ne sont plus opérants, ce que prouvent la mort de la biodiversité, l’altération de l’atmosphère, l’épuisement des ressources, l’aggravation des inégalités, le recours à l’effort, au sacrifice, au renoncement des Droits sociaux, à la disparition des services publics, le malaise moral d’une société nauséeuse car nauséabonde à force de cupidité.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article33494

On nous fait vivre dans un état de terreur,
parce qu'une vague de froid arrive ...
On nous assomme avec ça, on nous déstabilise,
alors que nous sommes en hiver ...
On nous fait peur ... il y aura peut-être des coupures de courant ...
Alors qu'en général, les vraies grandes catastrophes,
nos gouvernements sont incapables de les prévoir ...
Quel monde d'incapables ...
Bonne journée ...
J'aime les lieux où ont été les personnes que je chéris ;
j'aime à toucher ce qu'elles ont approché ;
j'aime à respirer l'air qui les environnait […]
Diderot
Et moi, j'ai le bonheur de vivre sous leur toit ...

A la maison rose, nous soignons rhume sur rhume ...
Bonne soirée ...
Ce qui débarrasse de tout ennui ce monde, où il est difficile de vivre,
et projette sous vos yeux un monde de grâce,
c'est la poésie, c'est la peinture.
Ou encore, c'est la musique et la sculpture.
Natsume Soseki
Pour moi c'est la nature !

Tu t’es arrêté de parler
et seul le silence t’a répondu.
Mais ces mots,
ces milliers,
ces millions de mots qui se sont arrêtés dans ta gorge,
les mots sans suite,
les cris de joie,
les mots d’amour,
les rires idiots,
quand donc les retrouveras-tu ?
Georges Perec

Ainsi, puisque le monde dans lequel nous vivons est difficile à vivre et que nous ne pouvons pas pour autant le quitter, la question est de savoir dans quelle mesure nous pouvons le rendre habitable, ne fût-ce que la brève durée de notre vie éphémère. C'est alors que naît la vocation du poète, la mission du peintre. Quel que soit son art, l'artiste apaise le monde, il est précieux en ce qu'il enrichit le cœur de l'homme.
Oreiller d'herbes
Natsume Soseki

Les pattes de chat font oublier leur existence ;
on n’a jamais entendu dire qu’elles aient fait du bruit par maladresse, où qu’elles aillent.
Les chats se déplacent aussi silencieusement que s’ils foulaient de l’air ou que s’ils marchaient sur des nuages.
Leur pas est doux comme le bruit d’un gong en pierre qu’on frappe dans l’eau,
doux comme le son d’une harpe chinoise au fond de quelque caverne.
Leur marche est parfaite comme l’intuition profonde et indescriptible des plus hautes vérités spirituelles.
Je suis un chat.
Natsume Soseki