• L’”étude” réalisée par un obscur site connu de quelques paranoïaques, PropOrNot.com, serait probablement passée inaperçue si le prestigieux Washington Post ne l’avait relayée en une. Y sont minutieusement et “scientifiquement” décrits les symptômes d’une Poutinophilie carabinée.

    Introduction très “pro” de Craig Timberg, journaliste au Washington Post : « Selon des chercheurs indépendants qui ont suivi l’affaire, le flot de “fake news” (fausses nouvelles, ndlr) répandues lors de cette saison électorale provient d’une campagne de propagande russe sophistiquée destinée à créer et diffuser en ligne des articles trompeurs ayant pour but de punir la démocrate Hillary Clinton, d’aider le républicain Donald Trump et de saper la foi dans la démocratie américaine. »

    Rien de nouveau dans ces accusations déjà distillées durant sa calamiteuse campagne par Hillary Clinton, candidate activement soutenue par le Washington Post. Craig Timberg les renforce en insistant sur la méthodologie de la propagande russe : « L’appareil de propagande de la Russie, de plus en plus sophistiqué — grâce à des milliers de robots informatiques, des équipes de “trolls” humains payés, des réseaux de sites Web, des comptes sociaux et médiatiques — a fait écho et amplifié des sites d’extrême droite sur Internet en dépeignant Clinton comme une criminelle cachant ses problèmes de santé et se préparant à livrer le contrôle de la nation à une cabale sombre de financiers mondiaux. Cette propagande a également cherché à intensifier les risques de tensions internationales et la crainte d’une montée des hostilités contre une Russie disposant d’armes nucléaires. »
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article33054

    Poutine n'est pas pire que l'oncle Sam ...


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  • Les rois du bitume font la loi

    Par Emmanuel Lévy

     

    Pour le porte-monnaie des Français, les années électorales ont parfois du bon. Les hausses des prix réglementés par le gouvernement sont le plus souvent modérées. En vertu de cet adage, les automobilistes devraient se réjouir de la hausse des tarifs autoroutiers de février 2017. Avec +0,76 % en moyenne sur l’ensemble des 8 000 km du réseau exploité par trois groupes internationaux (Vinci avec ASF, Cofiroute et Escota, Eiffage avec APRR et Area, Abertis avec Sanef et SAPN), c’est la deuxième plus faible augmentation depuis une dizaine d’années, après le gel imposé par Ségolène Royal en 2015, et sans doute pour longtemps.

     

     En effet, dès 2018, et pour trois ans, les tarifs autoroutiers auront droit à un nouveau coup d’accélérateur. Le plan de relance autoroutier version 2016, troisième du nom et deuxième de la mandature de François Hollande, prévoit un petit supplément de 0,3 % à la formule ordinairement appliquée pour calculer la hausse des tarifs. Ce choix s’explique par le pragmatisme : toucher à la durée des concessions nécessite une loi, et le risque de voir un débat parlementaire en remettre une couche sur le scandale des autoroutes, comme ce fut le cas en 2014-2015. Avec la modification tarifaire, c’est plus simple, car elle relève d’un simple petit décret.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article33056

    Arpenter leur bitume va vous coûter cher ...


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  • Est-ce que la mer est toujours verte ?
    Belle journée !
    Bon décembre ...
    Ne pleure pas parce que c’est fini. Souris parce que c’est arrivé.
    Theodor Seuss Geisel

    Le ciel est toujours bleu ...


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  • Je dis ça parce que je reste au chaud ...
    et que tout le monde vient à moi ...
    Belle soirée !
    Ne permettons pas qu'on nous enlève la part de nature que nous renfermons.
    N'en perdons pas une étamine, n'en cédons pas un gravier d'eau.
    René Char

    Encore une belle journée de pré-hiver ...


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  • Menez-Hom ...


    Les pierres ont forme de hache et de soc
    L’herbe est rase l’arbre rare
    Ici le ciel est un miroir sans visage

    Je me fraye un chemin vers les sommets
    Les bras chargés d’électricité
    Le mont lance son ovation de ruines
    Il ne vit pas
    Nul souvenir nulle innocence
    Une réponse de pierre splendide
    Au chaos de nos quêtes
    Une esplanade transparente
    Une couleur d’herbes sèches

    Les pierres ont forme de hache et de soc
    Et dans la plaine
    Le Menez Hom lave ses peaux de bruyère.
    Paol Keineg


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  • Parfois ...


    Avec certains êtres, très rares,
        il faudrait ne pas parler.
        Il faudrait tout de suite être dans les bras,
        caresser le visage, les paupières, les joues, les lèvres,
        les effleurer d'un doigt,
        lentement d'abord,
        puis dans un baiser, passionnément.
        S'embrasser. S'étreindre.
        Les mots sont inutiles.
        Les mots viendraient plus tard
        confirmer ce que les corps ont su dès les premiers instants.
        Laurence Tardieu


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  • Monter sur ses grands chevaux ...


    Certains, quand ils sont en colère,
    Crient, trépignent, cassent des verres…
    Moi, je n'ai pas tous ces défauts :
    Je monte sur mes grands chevaux.

    Et je galope, et je voltige,
    Bride abattue, jusqu'au vertige
    Des étincelles sous leurs fers,
    Mes chevaux vont un train d'enfer.

    Je parcours ainsi l'univers,
    Monts, forêts, campagnes, déserts…
    Quand mes chevaux sont fatigués,
    Je rentre à l'écurie - calmé.
    Jacques Charpentreau


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  • est une tour à signaux située à Lorient, en France, dans l'enclos du port sur la « montagne du Faouëdic ».
    Située dans l'enclos du port sur la « montagne » du Faouëdic, (à l'endroit même ou certaines recherches approximatives situent l'emplacement supposé de l'ancien château de Loc-Roc'h-Yan).
    Sous sa première forme, elle est élevée entre 1737 et 1744 ; cette première tour ne faisait que 25 mètres de haut. Elle fut reconstruite de 1785 à 1786 après avoir été touchée à deux reprises par la foudre.
    C'est une tour de guet, et non un phare, car elle n'est pas équipée d'un feu (celui-ci était par ailleurs installé sur la tour de l'église St-Louis, située dans l'axe du chenal d'entrée de la rade).
    "De son sommet, le veilleur scrute la mer, de Belle Île aux Glénans. Dès 1744, il signale les escadres anglaises qui sapent le triomphe commercial de leur concurrent français".
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Tour_de_la_D%C3%A9couverte

    La Tour de la découverte ...


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  • Les moulins anglais ...
    Le "Tower mill" ou moulin tour
    Les premiers moulins tours sont apparus après l'apogée des post mill. Ces moulins de forme cylindrique étaient généralement bâtis en pierre ou en briques. Les murs avaient au moins un épaisseur de 18 pouces soit  environ 46cm. L' extérieur des murs était crépit ou goudronné afin de les protéger de l'humidité. Leur forme cylindrique était imposée par le peu de distance entre les ailes et les murs. Les plus anciens étaient trapus de sorte que les voiles pouvait être installées depuis le sol. Plus tard, les ailes devenues plus sophistiquées, la hauteur du moulin a augmenté pour atteindre 5 ou 6 étages, offrant une grande zone de stockage pour le meunier.  La toiture était construite en bois et  supportait l'axe principal des ailes. En tournant le dôme qui roulait sur une couronne de bois, les ailes étaient placées face au vent. Le meunier se servait de la queue, reliée au dôme pour orienter la voilure. La forme des toitures étaient variées. Ce type de construction robuste a résisté aux ravages du temps et des éléments. Quelques exemples de moulin tour ont survécus  jusqu'à aujourd'hui en Angleterre comme Stanstead Mountficher dans l'Essex et Polgate Mill dans le Sussex.

    Les ailes des moulins ...


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  • Les singes ...
    La plupart des espèces de singes sont en trop petit nombre. C'est pourquoi il y a peu de chances qu'ils nous remplacent comme les chiens à la suite d'une apocalypse. Mais, et nous voulons être très clairs à ce sujet, c'est à peu près la seule raison. Si l'apocalypse devait venir après un grand programme de conservation des singes, vous auriez à peine besoin d'attendre que le dernier cadavre humain soit froid avant que les singes aient pris le dessus.
    Si vous avez vu l'un des derniers films de la Planète des singes, vous savez ce que nous obtenons. Les grands singes - chimpanzés, gorilles, orangs-outans et bonobos - sont très intelligents. Vraiment intelligents. Ils peuvent apprendre à communiquer par le langage des signes. Ils ont des hiérarchies sociales assez complexes pour rivaliser avec les nôtres. Ils peuvent utiliser des outils. Ils font preuve d'empathie. Ils apprennent en regardant. Ils ont parfois été observés à la chasse avec des armes. Ils peuvent faire des plans. Ils sont fondamentalement nous, mais ont moins de chances de passer toute la journée à envoyer des messages sur Twitter.
    Tout ce dont vous aurez besoin pour que les singes atteignent l'intelligence humaine est essentiellement en place, sauf une chose : justement l'absence d'êtres humains. Maintenant, si nous étions tous tués dans une guerre nucléaire, les singes mourraient avec nous. Mais si un virus a été conçu pour frapper l'humanité - et seulement l'humanité - avec un taux de mortalité de 100% ? Alors il serait temps que nos frères primates se sentent pousser des ailes et continuent à déchirer la Statue de la Liberté.

    Un monde sans nous ...


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