Mes voyages préférés
sont ceux au cours desquels
je me présente à la nature à armes égales,
sans moteur,
sans pouvoir aller plus vite que mon énergie ne l'autorise. (…)

Ce n'est pas par goût de la souffrance
que j'use mes semelles
mais parce que la lenteur révèle des choses cachées par la vitesse.
Sylvain Tesson 

C’est un instinct commun
à tous les êtres sensibles et souffrants
de se réfugier dans les lieux les plus sauvages et les plus déserts ;
comme si des rochers étaient des remparts contre l’infortune,
et comme si le calme de la nature
pouvait apaiser les troubles malheureux de l’âme.
Bernardin de Saint-Pierre

Le site archéologique médiéval Perperikon est situé dans les Rhodopes de l’Est, à 20 km au nord-est de Kardzhali. La ville rocheuse est perchée sur le sommet d’un rocher, à 470 m d’altitude. Au pied de Perperikon se trouve le village de Gorna Krepost, longé par la rivière Perperashka. La vallée de la rivière est peuplée depuis l’antiquité. Elle est parsemée de dizaines de vestiges archéologiques de différentes époques historiques. Perperikon en est la partie centrale.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Perperikon
http://bulgariatravel.org/fr/object/311/Perperikon
http://knowledgeistreasure.tumblr.com/post/151429436676/perperikon-bulgaria

Crater Lake dans le centre de l'Oregon, États-Unis, se trouve au sommet d'un volcan en sommeil de 7000 pieds de haut et remplit son cratère. Ce qui rend Crater Lake unique, cependant, est son plus célèbre occupant : pas un poisson, pas un oiseau, mais un tronc d'arbre flottant connu sous le nom de "Old Man of the Lake".
Et ce qui rend ce tronc tellement remarquable est qu'il est branlant, absolument verticalement dans l'eau depuis que Crater Lake a été documenté. Le vieil homme du lac est certainement là depuis bien plus de cent ans, depuis la première référence connue qui remonte à 1896.
http://www.beevar.com/le-vieil-homme-du-lac/
http://www.meteocity.com/magazine/insolite/tronc-arbre-flotte_3958/

L'impôt de sang des Ottomans
Les dirigeants ottomans ont fait en sorte que les sujets non-musulmans paient des impôts avec ce qu'ils avaient de plus cher, leurs enfants. Cela  s'appelait un «impôt du sang".
Du début du 15e siècle à la fin du 17e siècle, les fonctionnaires ont périodiquement pris des groupes de jeunes garçons chrétiens issus de familles vivant sous la domination ottomane, les convertissant à l'Islam, et les remettant au Sultan.
Les garçons devaient subir une formation militaire de cinq à huit ans, tout en travaillant pour l'état à des ateliers, des fermes, des navires et des chantiers de construction. "Bien sûr, ils ont aussi été la base de l'armée d'élite des janissaire", explique Gülay Yılmaz, un historien à l'Université Akdeniz en Turquie. "Et l'élite bureaucratique administrative de l'empire était pour la plupart de ces garçons qui ont été prélevés et épargnés pour une éducation spéciale dans les palais, pour devenir administrateurs."
Au moins, les jeunes hommes ont reçu une forme d'exonération fiscale pour leur service. "Ceux qui ont été choisis comme devshirmes n'ont pas eu à payer l'impôt que tous les hommes chrétiens adultes valides devaient payer», ajoute Yilmaz.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Devchirm%C3%A9

Ürümqi en Chine
a la distinction d'être la ville la plus éloignée de la côte partout en Eurasie (peut-être sur la Terre). Si vous avez envie d'un plongeon dans la mer, vous devrez faire 2240 kilomètres pour y arriver. Située dans le nord-ouest de la Chine, Ürümqi est entourée d'un tas de rien. Déserts, montagnes, plaines ... au fond, une fois que vous quittez Ürümqi, il n'y a presque rien pour briser la monotonie.
D'une autre façon Ürümqi est très éloignée du reste de la Chine culturellement. La province fait partie de la majorité musulmane, et les signes apparaissent en arabe. Ici, les gens sont généralement si soupçonneux de Pékin que de grandes émeutes l'agitent sporadiquement.
Ürümqi était un avant-poste majeur sur l'ancienne route de la soie, aujourd'hui elle est toujours une plaque tournante de transport majeure pour les personnes voyageant à travers l'Asie centrale.
Je préfère  de beaucoup l'offre du Pérou lol

http://www.china-roads.fr/voyage-chine/route-de-la-soie/urumqi.htm

Le photographe Matt Lief Anderson capture la beauté sauvage du désert aride, ses canyons, dunes multi-couches et de magnifiques montagnes du paysage américain.
http://landscape-photo-graphy.com/post/125732854056/desert-beauty-by-matt-lief-anderson-photographer

Pascal Adolphe Jean Dagnan-Bouveret (1852-1929) était un peintre français.
En 1869, il va étudier à Paris dans l'atelier d'Alexandre Cabanel, puis à l'École des beaux-arts auprès de Jean-Léon Gérôme.
Dans les années 1896-1897, il est de plus en plus attiré par des sujets religieux et vers la fin de sa carrière il effectue surtout des portraits.
http://art-magique.blogspot.fr/2011/08/pascal-dagnan-bouveret.html

Elles sont abondamment vantées comme la solution « propre » aux problèmes de pollution et de gaz à effet de serre, et elles ont été les stars du Mondial de l’automobile de Paris. Mais, si l’on tient compte de l’ensemble de leur chaîne de production, l’impact social et environnemental des voitures électriques est-il tellement meilleur que celui des véhicules conventionnels ? Exemple pointé par Amnesty international : plusieurs grands constructeurs, parmi lesquels Renault-Nissan, présentent un risque significatif d’utilisation, pour leurs batteries, de cobalt extrait en République Démocratique du Congo par des enfants.

 Plus de la moitié du cobalt extrait dans le monde provient de la RDC, et une proportion non négligeable l’est de manière artisanale, dans des mines où peuvent travailler des enfants très jeunes. Amnesty international identifie plusieurs constructeurs de voitures électriques comme particulièrement « à risque » d’utiliser du cobalt miné dans des conditions inacceptables : Renault-Nissan (modèles Twizy et Zoe), Tesla, Chevrolet-GM, Fiat-Chrysler et BMW.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article32648

Par Gérard Charollois

Entre les ennemis de la terre et nous, il n’y a rien. En notre temps, le vrai débat des idées oppose ceux qui veulent réconcilier l’humain avec la nature et ceux qui considèrent, d’une part, que le milieu naturel est un cadre de défouloir et de grands profits et, d’autre part, que l’animal constitue une marchandise ou un souffre-douleur. Or, ce débat fondamental de civilisation est occulté par les médias et escamoté par les lobbies thanatophiles incapables de soutenir la controverse et la remise en cause de leurs erreurs et, plus encore, de leurs crimes.

 Ainsi, certains sénateurs fossilisés sombrent dans le ridicule en évoquant la création d’une « Commission d’Enquête » sur les mouvements animalistes. Il leur suffit, pour nous connaître, de nous lire. Ils apprendront tout sur notre pensée parfaitement explicitée. Malgré la censure des médias, il leur est loisible de nous écouter sur les « réseaux sociaux ». Le 4 octobre se tint au sénat une réunion inspirée par les « tauromaniaques », avec déjeuner antivégans et délires sur l’humain séparé du reste du vivant. Les ennemis de la terre masquent leurs faiblesses par la fuite du débat. Nier que les espèces sont menacées par les agressions humaines, feindre de considérer que l’animal n’est pas un être sensible ne constitue pas des opinions mais des obscurantismes, des ignorances, des arriérations.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article32646