On mange et on boit du linge sale !

Nos vêtements peluchent, nous le voyons encore mieux après une tournée de sêche linge, tout ce que nous retirons du filtre.
Cette déperdition ne serait pas gênante si nos vêtement n'étaient constitué que de matières naturelles : coton ou laine mais depuis les années 80 l'industrie textile utilise massivement des fibres synthétiques néfastes pour l'environnement (et la santé de notre peau !) qui ne sont pas biodégradables, les microfibres, petites choses minuscules et dangereuses.
A cette taille, ces particules de plastique passent çà travers TOUS les filtres et est donc rejeté dans les cours d'eau, les rivières, les lacs et la mer.
Ces saletés se retrouvent dans 83 % des eaux dites potables dans le monde, dans le plancton, le sel, la bière.
Extrait d'un article de Christelle Guibert

Et là, il n'est pas question du nitrate des agriculteurs, de tous les remèdes que nous éliminons par l'urine ... bref on est mal !

Bonne santé et longue vie ...

Une exposition au château de Nantes (beaucoup plus intéressante que le "voyage à Nantes à la Sonia Roland, notre Hidalgo !) en apprend beaucoup sur ces courageux navigateurs qu'on a toujours pris pour des sauvages frustres et tueurs.
En fait c'était de très grand navigateurs, ils n'avaient pas peur de l'inconnu et construisaient des bateaux qui pouvaient affronter les éléments. Bien sûr, quand ils arrivaient quelque part, ils pillaient, violaient, tuaient. Ils restaient et colonisaient ou repartaient avec leurs trésors de guerre.
Les femmes aussi étaient des guerrières aguerries.
Ils ont effectué des raids dans plus de 35 pays, de l'Afghanistan au Canada, du nord de l'Europe à l'Afrique du Nord.
On les a toujours décrits comme rustres et bâfreurs mais ils étaient plus proches de Nadine de Rothschild que de Gargantua !!!
Ils se servaient de cuillères en os, en bois ou en corne pour déguster leurs soupes.Ce peuple d'agriculteurs à l'origine portaient une extrême attention à ses vêtements. Ils repassaient avec une pierre à polir pour lisser les plis des textiles. Ils aimaient la mode et en changeaient souvent.
L'or étant rare ils faisaient de magnifiques  bijoux en bronze plaqué or ou en argent. La qualité était si rare qu'elle est difficile à reproduire aujourd'hui. On a découvert qu'ils utilisaient des loupes en cristal de roche pour réaliser les minuscules détails.
A la mort d'un grand chef il était enterré dans son bateau, comme le bois a pourri, il ne reste plus que les rivets. Leurs bateaux étaient rapides et pratiques. Les femmes tissaient des voiles de laine et de feutre, matière imperméable. Constituées de bandes de tissus tressées et non cousues, ces voiles permettaient de naviguer presque par tous les temps.
Au départ, article de Nathalie Grandet que j'ai condensé.

Pierre à repasser lol

À première vue, les plantes sont une partie banale de la vie. De l'herbe sur votre pelouse  aux arbres imposants, elles couvrent la Terre d'une couverture de verdure et sont devenues une partie attendue, souvent ignorée, de notre existence.

Il semble qu'elles ne font rien d'autre que de se développer et de faire joli dans nos pots de fleurs. Pourtant, les plantes tiennent un monde caché parmi leurs feuilles. Ils ont une foule de capacités fascinantes qui étaient autrefois inconnues.

Les plantes sont aussi des tueuses ...

Bien qu'elles aient souvent été l'incarnation du végétarisme et du véganisme, les plantes sont loin d'être pacifiques. Dans le cas des attrape-mouches de Vénus et des plantes  pichet, ils sont des prédateurs du monde des insectes, s'attaquant à des insectes sans méfiance. Dans d'autres cas, cependant, ils s'attaquent à leur propre espèce.

L'Aldrovanda vesiculosa vit dans les rivières, les lacs et les sols détrempés. Comme les pièges à mouches de Vénus, ces plantes bizarrement nommées ont des pièges qui leur sont propres : Sous l'eau, leurs feuilles cachent des centaines de minuscules sacs creux. La pression à l'intérieur est plus basse que la pression à l'extérieur. Quand des vers ou des larves sans méfiance frôlent les poils de la gâchette, une porte secrète s'ouvre brusquement et l'eau coule à l'intérieur, emportant la proie jusqu'à sa perte.

Mais parmi les insectes et les nématodes, les biologistes ont découvert quelque chose d'étrange : des algues à l'intérieur des estomacs de la vessie. Avaient-ils été accidentellement aspirés? Ou faisaient-ils partie du régime alimentaire des plantes?

Marianne Peroutka et ses collègues de l'Université de Vienne ont découvert qu'il y avait 80% du contenu des pièges dans certaines conditions. Le pourcentage était encore plus élevé chez les vésicules vivant dans l'eau douce (où il y a une faible quantité de minéraux et de minéraux).

Moins d'animaux y vivent, ce qui signifie moins de proies. Les vésicules peuvent compenser en digérant les algues, ce qui nous donne un aperçu de l'existence des plantes omnivores.

Après la Colombie et le Mexique, le photographe Léo Coulongeat nous embarque pour une nouvelle aventure au coeur d’une autre région désertique de l’Amérique du Sud : le Pérou. Avec des clichés étonnants des salines de rivière ou des habitations aux formes inusuelles de cette terre à l’apparence hostile, le photographe raconte en images une culture encore méconnue.
http://www.fubiz.net/2018/07/05/exploring-peruvian-deserts/

Max Ginsburg, artiste peintre américain né en 1931.
J'ai vécu et travaillé à New York toute ma vie. En tant que New Yorkais, je me sens en profonde connexion avec cette ville riche, énergique et belle avec sa population étonnamment diversifiée.
Mon objectif est de peindre les gens de New York, de façon réaliste et avec compassion.
http://www.maxginsburg.com/2007-present/

Un tragique incident à Nantes, quartier du Breil un homme de 22 ans dans une voiture signalée suspecte refuse d'obtempérer à un contrôle policier, il tente de s'enfuir, fait marche arrière, heurte un policier, un autre policier tire sur le véhicule, le jeune homme est tué.

L'individu, connu des services de police, faisait l'objet d'un mandat d'arrêt lié à des vols commis en bande organisée et son véhicule avait été mis sous surveillance pour avoir servi au trafic de stupéfiants.
https://www.agoravox.fr/actualites/article/aurons-nous-un-jour-un-veritable-205752

On voit ce que donne ce pays séparé en deux, ces banlieues qui haïssent l'état, un état dépassé et nous au milieu, livrés à nous-mêmes contre ces hordes.

Alors qu’elle réalise un film en Camargue gardoise ce mois de juin, l’équipe de tournage de Nicolas Vanier a survolé en ULM la seule colonie de Flamants roses de France en pleine période de couvaison. En tentant de les faire s’envoler pour les filmer en vol, les engins ont provoqué un mouvement de panique au moment le plus sensible de l’année : 11 % des nids ont été abandonnés. FNE porte plainte.

 Ce printemps, Nicolas Vanier et son équipe ont tourné un film retraçant la vie de Christian Moullec, dresseur d’oies sauvages. Le tournage a eu lieu dans une zone humide proche du Grau-du-Roi (Gard) et propriété du Conservatoire du Littoral. À proximité, dans les salins d’Aigues-Mortes, la seule colonie de Flamants roses de France s’était établie dans un lieu reculé pour couver ses œufs.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article38402

En tournant ces documentaires qui vous font tant rêver, vous ne savez pas tous les désagréments qu'ils apportent à une nature préservée et sauvage ...

Toilettage de Bidule ...
Belle journée !
Je ne crains qu'une seule chose au monde
- ces moments où en moi la vie se fige.
Marina Tsvetaieva

Des habitants des quartiers qui ne comprennent pas
pourquoi ces chers jeunes français
s'en prennent à leur quartier : bibliothèque, pharmacie
plutôt que d'attaquer les commissariats; comme des hommes quoi !
Pauvre monde qui doit subir cette délinquance quotidienne.
Bonne soirée !
Marche sur la terre comme si chacun de tes pas lui donnait un baiser.
Tchi Nhat Hanh

La mer est là qui transpire ses bleus

De toits de tuiles en toits de tuiles,
de balcons encombrés en terrasses bordées de bleus,
le regard finit par rebondir pour s'échapper vers la mer.

C'est tout là-haut,
une place calme où Cézanne a fait parler de lui,
c'est vers les quartiers habillant l'église d'odeurs d'épices
qu'on apprend à voler...
avec les yeux d'abord,
car la mer est là qui transpire ses bleus,
puis avec le corps qui se déploie
et avec toute sa vie éveillée dans l'air tiède et humide d'un soir de juin.
L'Estaque (Marseille)
Mireille Disdero