• Daniel Garber (1880-1958), est un peintre impressionniste américain. Il fut membre de la colonie artistique de New Hope, en Pennsylvanie.
    Il a peint de magnifiques paysages et scènes d'intérieur. Il a étudié l'art à l'Académie d'Art de Cincinnati et à la "Pennsylvania Academy of Fine Arts" de Philadelphie de 1899 à 1905. L'artiste s'est rendu en Europe pour compléter son éducation artistique. En plus de sa carrière de peintre, Daniel Garber a enseigné l'art à la "Pennsylvania Academy of Fine Arts" pendant plus de quarante ans.
    http://artetglam.blogspot.com/2014/05/peintre-daniel-garber.html

     

    Le monde de Daniel ...


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  • J'ai consulté aussi la dictée, un texte bref, dont la seule difficulté était la présence d'un subjonctif imparfait.

    Quant aux questions de compréhension, il suffisait de lire attentivement le texte pour trouver des réponses.

    Eh bien, malgré tout, de nombreux élèves se sont plaints, ont même manifesté leur colère sur Twitter, ont trouvé le sujet "infaisable."

    Et voilà le résultat : l'habitude de la facilité conduit aux pires dérives.

    Ainsi, la plupart des élèves obtiennent le brevet des collèges, et la plupart obtiennent aussi le Baccalauréat.

    ais ont-ils tous le niveau requis pour mener à bien des études supérieures ?

    Sont-ils prêts à affronter les difficultés de la vie ? Sont-ils aptes à juger de leurs compétences, de leurs savoirs ?

    Sont-ils à même de percevoir leurs manques, leurs défauts ?

    Souvent, c'est le règne de l'autosatisfaction qui les domine.

    Ont-ils le sens de la modestie, celui de la volonté ?

    L'école doit être un apprentissage de la vie, de ses obstacles, elle doit donner le goût de l'effort, elle doit permettre d'être confronté à des difficultés.

    Dans une société où la compétition est permanente, on ne prépare plus les jeunes à affronter les embûches de la vie, on ne les prépare pas à leur vie d'adultes.

    A force de gommer les difficultés en grammaire, en orthographe, en voulant évincer le latin, le grec, on a créé une génération d'enfants-rois sûrs d'eux, mais inaptes à affronter la réalité.
    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-ravages-de-l-indulgence-205736

    Là ce sont les ravages de l'enfant roi, les ravages de la drogue prennent le relais ...

     

    Des lendemains qui vont être enchanteurs ...


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  • Plein les mirettes : Exodus

    Par Bob Solo

    Je l’entends dire, je le lis ici et là, on me le raconte, des gens en parlent, témoignent, et puis je le vois de mes yeux, je le constate réellement, il y a tous ces z’urbains, tous ces citadins, citadines, hommes et femmes et jeunes et moins jeunes, qui quittent les villes et du même coup leur appart’, leur maison, leur job, bref “tout”, pour aller vivre “à la campagne”, terme qui en lui-même ne veut rien dire mais qui de façon générique se comprend assez bien.

     Pour y faire quoi ? Mille choses diverses et variées, ce ne sont pas les idées ni la besogne qui manquent, croyez-moi, mais peu importe, l’essentiel semble t-il est ailleurs : quelles que soient les formes que ça prenne, il y a comme un fond commun, une quête de quelque chose, un appel peut-être, un désir sans doute, qui sait un besoin, une recherche en tous cas. Peut-être tout simplement (mais à bien y réfléchir ce n’est pas si simple) un élan qui pousse à redonner du sens à son existence, à se réapproprier sa vie en quelque sorte, son temps, son espace, son propre rythme, à tenter d’y retrouver une forme de liberté, d’autonomie, à s’émanciper de certaines aliénations, de certaines normes, à vivre “autrement”, avec d’autres valeurs, d’autres rapports aux êtres et aux choses. Et à soi-même, avant tout. Parce que c’est sans doute ce qui se produit le plus rapidement : ça vous change. Qu’on le veuille ou pas, qu’on en soit conscient ou non. Évidemment, mieux vaut le vouloir et le savoir. Accompagner ce changement. Sur ce chemin, on peut certainement découvrir plus aisément de quoi on est fait, de quoi on est capable, comme de quoi on est vide. On peut y trouver la vérité de ce qu’on est, à ce moment-là, et du coup y changer ce qu’on aimerait y changer.

    Parce que cette vie “loin des villes” est riche d’enseignements sur soi-même. Il y a là une qualité de silence à apprivoiser, à apprécier, un silence qui est un bienfait dont on sera bien avisé de se nourrir, parce que c’est en lui qu’on entend parfois de nouvelles choses, ou d’ailleurs d’anciennes choses, qui cherchaient à se faire entendre mais jusque là n’étaient pas entendues.

    Bob Solo : Autodidacte en tout, café-théâtre, chanson française (auteur-compositeur-interprète), sculpture, photo, écriture, et même agriculture, en rupture de ban avec "le système", je me cantonne désormais à produire de la pensée et de l’émotion. Je n’attends pas de jours meilleurs (ils seront pires) mais j’en fabrique comme je peux...

    yetiblog.org
    Altermonde-sans-frontières

     

    Notre exodus à nous ...


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  • Non, non, pas de panne d'oreiller ... au contraire !
    Je suis allée faire mes courses chez Biocoop à la fraîche,
    enfin, si on peut dire, c'est lourd !
    Belle journée !

         — La nuit, où en est-elle ?
        — À lutter avec l’aube, mêlée confuse.
        William Shakespeare,
    Bon, c'est plus l'heure de l'apéro !!!

    Bonjour, bonjour !!!


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  • Température instable mais supportable !
    Bonne soirée !
    Derrière cette révolte, derrière cet appétit insatiable du défendu,
    c'est peut-être une liberté sans cesse plus grande que nous cherchons ;
    ce sont de nouvelles possibilités de sentir et de penser ;
    c'est une réalisation plus complète de nous-mêmes.
    Marcel Arland

    Une belle journée ....


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  • L'usure du temps ...


    Sous la lime du temps
    Dans l’usure des jours
    Je t’aime. Je te mens.
    Je te vis. Je te meurs.
    Et je me sais pourtant
    Et je te sais toi-même
    Durée et mouvement.
    Dans l’usure des jours
    Sous la lime du temps.
    Gilles Vigneault


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  • La faine ...


    L'on vous trouve souvent seule

    A terre dans le sous-bois
    Timide, tremblante,
    Ramassée sur vous-même

    Espérant - dîtes-vous -
    Un seul hêtre

    Mais l'on sait - en silence -
    Que votre attente est faine
    Vouée au désespoir
    Jean Claude Tardiff

    La faine est le fruit du hêtre



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  • L'important dans la vie ...


    Pour moi comme pour les gens de ma culture,
    c'est à dire ceux qui ne sont pas intéressés par le buzz
    - les autres se comportant comme des témoins assistés -,
    la plupart de nos coreligionnaires vivent à coté du monde.
    Ce qui est important pour moi,
    ce n'est pas le match de foot,
    c'est que nous soyons le jour du solstice d'hiver, par exemple, dans le Pacifique.
    La lumière va apparaître là, maintenant… ou peut être plus tard,
    c'est tellement plus important que la tambouille de Bruxelles.
    Les moments du monde sont là
    et j'ai le sentiment que les gens ne les prennent plus.
    Sans doute parce qu'ils sont gratuits.
    Olivier de Kersauzon


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  • A première vue on pourrait croire à un terrain vague où des dizaines de chiffons auraient été abandonnés. Il n'en est rien, ici des vêtements enfin plutôt des loques habillent volontairement les arbres. Les arbres à loques au pouvoir guérisseur.

    Louisette les connait bien : ils sont plantés sur son terrain depuis des générations. Chacun peut y accrocher quelque chose. "On vient quand on a soit une maladie de peau, soit de la fièvre. Mais d'autres personnes avec d'autres maladies viennent également avec l'espoir d'une guérison" , nous raconte Louisette.
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/vallee-bresle-arbres-loques-aux-pouvoirs-guerisseurs-1222955.html

     

    Les arbres à loques ...


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  • La maison construite à partir de pierres tombales
    par Kaushic

    Cette humble maison en marbre à deux étages à Petersburg, dans l'État américain de Virginie, a plus de 150 ans d'histoire de la guerre civile dans ses murs. Pourtant, elle a été construite seulement en 1934.

    Cette année-là, le résident Oswald Young a conclu un marché avec le cimetière national de Poplar Grove près de Petersburg. Le cimetière essayait d'économiser de l'argent sur l'entretien, et le directeur du parc national, qui gère Poplar Grove, a décidé que s'ils enlevaient les pierres tombales des tombes et les posaient à plat sur le sol, ils auraient moins couper et plus d'argent économisé.
    https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.amusingplanet.com/2018/06/the-house-built-from-tombstones.html&prev=search

     

    J'espère que les âmes sont paisibles ...


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