• Le plus petit oiseau incapable de voler au monde se trouve sur Inaccessible Island (Tristan da Cunha) au centre de l'Atlantique Sud. Il y a moins de 100 ans, les  chercheurs pensaient que cette espèce d'oiseau errait autrefois sur des étendues de terres maintenant immergées dans l'eau, et l'ont donc baptisée Atlantisia. Dans une nouvelle étude menée par des biologistes de l'Université de Lund en Suède, les chercheurs ont maintenant montré que les ancêtres de l'Atlantisia s'étaient envolés pour l'île Inaccessible d'Amérique du Sud il y a environ 1,5 million d'années.

    L'Atlantisia rogersi  est endémique et ne se trouve que sur cette île. Il n'a pas d'ennemis naturels sur l'île et se promène comme un petit rongeur dans la végétation. Le biologiste Martin Stervander, qui travaille maintenant à l'Université de l'Oregon, aux États-Unis, a mené une étude en collaboration avec des chercheurs d'Afrique du Sud et du Portugal pendant son séjour à l'Université de Lund.

    Entre autres choses, ils ont analysé  son ADN à l'aide de techniques de séquençage modernes. De cette manière, les chercheurs ont pu déterminer que les parents les plus proches de l'oiseau vivent actuellement en Amérique du Sud et du Nord. Il a probablement aussi un parent sur les Galápagos.

    "Il semble que les atlantisias savent très bien coloniser de nouveaux sites éloignés et s’adapter à différents environnements

    "L'oiseau n'a pas eu d'ennemis naturels sur l'île et n'a pas eu besoin de voler pour échapper aux prédateurs. Sa capacité de voler a donc été réduite et finalement perdue du fait de la sélection naturelle et de son évolution sur des milliers d'années."

    Ne pas être en mesure de voler signifie que l'atlantisia ne gaspille pas d'énergie pour des tâches inutiles afin de survivre et de se propager.

    "Notre découverte met l'accent sur l'importance de continuer à empêcher l'introduction d'ennemis de l'altantisia sur l'île. Si cela se produisait, il pourrait disparaître", conclut Bengt Hansson, professeur à l'université de Lund et l'un des chercheurs à l'origine de l'étude.

     

    Ce petit oiseau qui ne vole oas ...


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  • Admettons que vos grands-parents dormaient probablement comme vous. Ainsi que vos arrières-arrières-grands-parents. Cela dit ils n'utilisaient pas d'oreiller ergonomique comme l'oreiller en sarrasin et si vous remontez au-delà des années 1800, le sommeil commence à différer quelque peu. Vos ancêtres dormaient d’une manière que l’on trouverait très bizarre à notre époque moderne puisqu’ils dormaient en deux étapes. Et vous pourriez très bien le faire vous aussi.

    L’histoire : 
    comment nos ancêtres dormaient-ils ?

    C’est le professeur d’Histoire à l’Université de Virginia, Roger Ekirch, qui fut le premier à découvrir l’existence d’un sommeil biphasique.

    Ses recherches démontrèrent que l’on n’a pas toujours dormi des nuits de 8 heures d’affilée. Nous dormions en deux périodes plus courtes sur un laps de temps plus long. Ce laps de temps était de 12 heures, commençant par une période de sommeil de 3 ou 4 heures, suivi d’une période d’éveil de 2 ou 3 heures, pour se terminer par un deuxième temps de sommeil jusqu’au matin.
    http://www.lawebcampagne.fr/

     

    Le sommeil biphasique de nos ancêtres ...


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  • Le corps humain est une merveille d'ingénierie évolutive, apparemment équipé pour contrer tous les obstacles que la nature ose jeter contre nous. La plupart de nos fonctions corporelles ont subi des millénaires d’essais et d’erreurs pour ressembler à ce qu’elles sont, mais nous ne sommes pas ici pour en parler.
    Nous sommes plus intéressés par les fonctions étranges qui, apparemment, ne servent à rien. Pourtant, ils sont certains d’avoir eu un avantage dans notre histoire évolutive et d’avoir survécu si longtemps, même si les raisons ne sont peut-être pas aussi claires pour nous. Nous parlons de fonctions telles que :

    Les chatouilles ...

    Lorsqu'il s'agit de fonctions corporelles étranges, les chatouilles doivent figurer en bonne place sur la liste. Bien que les scientifiques ne comprennent pas encore le type de rire provoqué par les chatouilles, ils comprennent que cela ne devrait pas être une fonction. Il y a eu des moments dans l'histoire où il y a eu également un désavantage indéniable, comme ceux où des guerriers du moyen âge auraient tué à tort les victimes. Cela ne semble servir à rien, et pourtant, l’évolution n’a pas été en mesure de «s’en occuper» au fil des ans.

    Selon certains chercheurs, ce n’est pas une fonction aussi étrange. Vous voyez, les parties du corps les plus sensibles aux chatouilles sont aussi les plus exposées au combat. Ils théorisent que chatouiller nos enfants était notre façon involontaire de leur apprendre à protéger leurs organes les plus vitaux, car la réponse au chatouillement parmi la plupart d'entre nous continue de défendre le corps.

     

    Les mystères du corps humain ...


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  • Depuis plus de 35 ans, Linden Frederick peint la vie américaine, plus particulièrement celle des petites villes. Tout ce temps ou presque, l’inspiration et la représentation du crépuscule ou de la nuit ont ouvert la voie à son travail. D’un point de vue technique, il précise « La théorie des couleurs est la base de mon processus de peinture. Je pense que l’harmonie et la discorde sont particulièrement importantes dans les peintures au crépuscule ou la nuit. J’utilise des palettes limitées et des triades de couleurs et cette utilisation contrôlée de la couleur améliore et renforce le contenu de mes peintures et ajoute un sens vital du naturalisme ».
    http://www.fubiz.net/2018/11/04/immersion-in-linden-fredericks-night-stories/

     

    Les petites villes américaines ....


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  • Ramiro Arrue y Valle, dit Ramiro Arrue, né le 20 mai 1892 à Bilbao, mort le 1ᵉʳ avril 1971 à Saint-Jean-de-Luz, est un peintre, illustrateur, céramiste basque espagnol qui a consacré toute son œuvre au Pays basque. (wiki)
    http://www.villalescamelias.com/fr/musee-ramiro-arrue

     

    Le monde basque de Ramiro ...


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  • La dénonciation d'une vague populiste planétaire, signe prétendu d'une montée des périls et de l'arrivée d'une nouvelle «peste brune» qui voudrait abattre les démocraties libérales et progressistes européennes, mais aussi américaine, brésilienne ou philippine, témoigne d'une gravissime incompréhension de la vérité même de l'expression démocratique contemporaine dans de vastes parties du monde. La solution, nous dit-on la mine grave? «Faire front»… en poursuivant la fuite en avant politicienne et la défausse technocratique. Haro sur le baudet! Tous ces apprentis dictateurs qui, en Hongrie, Pologne, République Tchèque, Autriche, Italie, aux États-Unis, aux Philippines et désormais au Brésil l'emportent sur les partis traditionnels sont les ennemis d'une «démocratie» incomprise, et leurs électeurs d'ignorantes victimes qui ne savent pas ce qu'ils font en votant pour eux.
    Comme c'est commode ! Gommant comme par magie toutes les turpitudes de gouvernants déchus souvent corrompus ou démagogues, qui n'ont en commun que leur arrogance et leur inefficacité dans la gestion de leurs pays respectifs, on les idéalise et l'on s'y identifie même, nous considérant immaculés et surtout «du bon côté», de celui de l'humanisme irénique, de la fin consentie des États, des nations et des frontières, du progressisme sociétal sans frein, de l'accueil d'une diversité ethnique et religieuse dont on veut ignorer la charge déstabilisatrice.
    Qu'est-ce que le populisme ? La crispation rétrograde de masses ignorantes et précarisées par une mondialisation qui a pris le mors aux dents et les traite comme des nombres et des ensembles, qu'il faut faire taire en leur assurant un minimum vital ? Ou bien le chant malheureux et de plus en plus insistant d'un abandon ressenti et d'un refus de l'engloutissement progressif de ce qui faisait la riche diversité des nations, leur tonalité culturelle et politique spécifique et irréductible? Discréditer cette heureuse résilience, c'est se tirer une balle dans le pied. Le melting-pot américain lui-même est en souffrance.
    http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2018/11/02/31001-20181102ARTFIG00299-caroline-galacteros-le-populisme-exprime-l-instinct-de-survie-des-peuples.php

    Le populisme c'est lutter contre ça ...

    Le populisme exprime l'instinct de survie des peuples ...


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  • Sous prétexte de vouloir en finir avec le diésel, assurant que c’est pour prouver son engagement dans la transition énergétique, le gouvernement taxe à tour de bras le carburant... et encourage l’achat de voitures électriques... mais ne s’agit-il pas d’un nouveau tour de passe-passe dont Macron est coutumier ?

    En effet, la chasse aux sorcières des « voitures pas-propres » serait destinée à valoriser les voitures électriques, lesquelles seraient la panacée... ce qui reste à prouver.

    Ce serait oublier bien vite que l’électricité dans notre pays est à 75% d’origine nucléaire, et à voir avec quelle lenteur ce gouvernement agit pour fermer une seule centrale, on peut légitimement s’interroger sur sa réelle volonté de sortir du cycle infernal du nucléaire, d’autant que personne n’a oublié que le 1er ministre était, il y a peu, un lobbyiste acharné de l’énergie nucléaire... et qu’il songe sérieusement à mettre en route 2 ou 3 nouveaux EPR, malgré l’échec patent de celui de Flamanville, qui, ne l’oublions pas, a multiplié son prix par plus de 3, et pris 10 ans de retard, à vue de nez. lien

    Un rapide calcul amène ce constat : 40 millions de véhicules dans le pays, c’est 400 000 MWh, et comme un réacteur nucléaire produit  20 000 MWh/jour, il faudrait 20 réacteurs supplémentaires pour couvrir les besoins des voitures électriques.
    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-voiture-electrique-une-arnaque-209276

     

    L'arnaque du siècle ?


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  • Une rose jaune magnifique devant ma fenêtre !
    On sent que la nature hésite entre hiver ou printemps ...
    Belle journée !
    Ce qui importe, dit Nietzsche, ce n'est pas la vie éternelle, c'est l'éternelle vivacité.
    Camus

    Grisaille et pluie fine ...

     

     


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  • Le soleil, les convives ... Bien ...
    Bonne soirée !
    Je voudrais tant partir coiffée de lune sous le ciel vagabond !
    Tagami Kikusha-ni

    Un chouette dimanche ...


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  • J'ai ...


    J'ai des volcans de colère
    Une mer de la tranquillité
    Des rivières de larmes amères
    Un rire à fleurir des vallées
    J'ai des jardins de tendresse
    Des recoins de baisers volés
    Des falaises au bord de l'ivresse
    Des regrets qui font la marée
    Kent (extrait)


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