• Dans les jours qui ont précédé le moment où un équipement médical sophistiqué pouvait déterminer avec certitude le passage de quelqu'un de ce monde à l'autre, beaucoup de gens craignaient d'être enterrés vivants - et avaient mis en place des procédures strictes de post-passage pour éviter que cela ne se produise.
    Dans Buried Alive : L'histoire terrifiante de notre peur la plus primordiale, être enterrés vivants, Jan Bondeson a examiné certaines des mesures prises pour se protéger de l'enterrement vivant, notamment des cercueils ornés d'une cloche ou d'un drapeau qui avertirait les passants de tout mouvement. Alors que de nombreux cas d'enterrement de vivants rapportés étaient exagérés, Bondeson a mis au jour quelques cas de personnes qui sont allées sous la terre tout en respirant encore.

    4. Angelo Hays ...

    Bondeson a qualifié le cas du Français Angelo Hays, âgé de 19 ans, de «probablement l'instance la plus remarquable du XXe siècle présumant un enterrement prématuré». En 1937, Hays a eu un accident de motocyclette. L'impact a jeté le jeune homme contre un mur de briques. Le visage de Hays était tellement défiguré que ses parents n’avaient pas le droit de voir le corps. Après avoir retrouvé le pouls, les médecins ont déclaré Hays mort et trois jours plus tard, il a été enterré. Mais à cause d'une enquête menée par une compagnie d'assurance locale, son corps a été exhumé deux jours après les funérailles.

    À la grande surprise de l’institut médico-légal, Hays était encore chaud. Il était dans le coma profond et le besoin d'oxygène réduit de son corps l'avait maintenu en vie. Après de nombreuses interventions chirurgicales et une rééducation, Hays s'est complètement rétabli. En fait, il est devenu une célébrité française: les gens venaient de loin pour parler avec lui et, dans les années 1970, il est parti en tournée avec un cercueil de sécurité (très gonflé) qu'il a inventé avec une tapisserie d'ameublement épaisse, un casier à provisions, des toilettes et même une bibliothèque.
    https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=https://en.wikipedia.org/wiki/Angelo_Hays&prev=search

     

    C'est de saison ...


    votre commentaire
  • Le corps humain est une merveille d'ingénierie évolutive, apparemment équipé pour contrer tous les obstacles que la nature ose jeter contre nous. La plupart de nos fonctions corporelles ont subi des millénaires d’essais et d’erreurs pour ressembler à ce qu’elles sont, mais nous ne sommes pas ici pour en parler.
    Nous sommes plus intéressés par les fonctions étranges qui, apparemment, ne servent à rien. Pourtant, ils sont certains d’avoir eu un avantage dans notre histoire évolutive et d’avoir survécu si longtemps, même si les raisons ne sont peut-être pas aussi claires pour nous. Nous parlons de fonctions telles que :

    Le bruit des ongles qui grattent ...

    Vous avez entendu le bruit des ongles qui grattaient sur le tableau et vous avez eu l'impression que quelqu'un vous déchirait la tête ? Les humains sont presque unanimement opposés aux sons qui ressemblent à ça, comme ceux d’une pierre tranchante sur du verre, d’un crayon sur une ardoise ou d’un marqueur sur un tableau blanc. Évidemment, la manière dont notre corps réagit n’a pas de sens. À moins que notre histoire de chasseurs-cueilleurs ait eu beaucoup de tableaux blancs ou d’ardoises, ces sons ne devraient pas nous faire ressentir quoi que ce soit.

    Selon les scientifiques, cependant, il existe d'excellentes explications à cela. D'une part, la gamme de fréquences dans laquelle ces sons se situent, entre 2 000 et 5 000 hertz, contient également des fréquences similaires à celles d'un bébé qui pleure ou d'une personne qui crie, ce qui indique que nous avons développé ces réactions en tant que mécanisme de défense contre quelque chose de dangereux qui approche vers notre chasseur-cueilleur. Une autre étude a révélé que la partie du cerveau qui traite des sons s’engage avec la partie qui traite les émotions négatives dès que l’un de ces sons est entendu. L'activité entre les deux régions a également progressé à mesure que les sons devenaient de plus en plus importants, prouvant que même si nous n'avions plus besoin de cette réaction réflexe, cela avait tout son sens à l'époque.

    Les mystères du corps humain ...

     


    votre commentaire
  • Ca se pratique dans beaucouo de pays où on vient partager la vie avec nos morts.
    https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=https://www.atlasobscura.com/articles/picnic-in-cemeteries-america&prev=search

     

    Pique-Nique dans les cimetières ...


    votre commentaire
  • Chie Yoshii
    Née au japon, elle a étudié aux Etats-Unis, au Massachusetts College of Art and Design et elle vit actuellement à Los Angeles.
    Ses peintures, qui débordent de couleurs vives, parcourent un univers mythologique...
    http://eve-adam.over-blog.com/2017/11/chie-yoshii-artiste-japonaise.html

     

    Le monde de Vhie Yashii ...


    votre commentaire
  •  Le casse du siècles par les banques ...

    Un tour de passe-passe  qui coûtait quand même plus de cinquante milliards au fisc,
    dont Kerviel avait déjà dénoncé les mécanismes.

     Certains diront que c'est peu par rapport à la somme estimée de l'évasion fiscale totale, aux formes variées, qui grève le budget de l'Etat, qui met moins de moyens pour faire la chasse aux fraudeurs, qui ont souvent une longueur d'avance. Comme l'usage de la drogue dans le sport.
      Mais ce sport fiscal nous coûte cher, à l'heure où l'on racle les fonds de tiroir du côté de Bercy, où manque dans la cagnotte nationale un certain nombre de milliards, selon l'enquête partielle mais sérieuse de Antoine Peillon pour La Croix.
      La BNP se fait de nouveau remarquer. Mais il paraît qu'on ne touche pas à la quatrième banque mondiale. To big too fail. Elle aura peut-être à payer quelques millions dérisoires, une goutte d'eau...
    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/casse-du-siecle-209159

     

    Et on nous demande de nous serrer la ceinture ...


    votre commentaire
  • On touche le fond

    Par Weronika Zarachowicz

    Les esprits chagrins n’y verront qu’un petit pas. Que pèse l’interdiction de cotons tiges, de couvert jetables, de touillettes à cocktail face aux 348 millions de tonnes de plastique fabriquées dans le monde chaque année, aux 6,3 milliards de tonnes accumulées dans la nature depuis un demi-siècle, au 1,6 milliard de kilomètres carrés du « septième » continent de plastique, qui dérive au cœur de pacifique ? Un fétu de paille (en plastique) ?

     
    La décision des eurodéputés, le 24 octobre, d’interdire toute une série d’objets « à usage unique » a pourtant de quoi réjouir. D’abord parce que les bonnes nouvelles venues de Bruxelles sont rares sur le front environnemental. Et puis, derrière ses airs de pas grand-chose, ce petit pas pourrait bien marquer le début de la fin d’une utopie majeure : celle du tout-plastique… votée à une très vaste majorité, cette interdiction est une entaille d’autant plus sévère dans la toute-puissance de troisième matériau le plus fabriqué au monde (après l’acier et le ciment), qu’elle pousse plus loin la proposition faite par la Commission européenne en mai dernier, en y ajoutant les emballages de fast-food en polystyrène, ou les « oxo-plastiques », supposés biodégradables mais qui se fragmentent en microparticules de plastique… finissant dans nos estomacs Si l’on en croît la récente étude de l’Agence autrichienne de l’environnement, polypropylène (utilisé dans les bouchons de bouteille), poly téréphtalate d’éthylène PET, dans les bouteilles), polystyrène (dans les barquettes) ou polyéthylène (dans les sacs en plastique) ont en effet été retrouvés dans les selles des individus examinés, de la Russie à l’Italie, et des Pays-Bas eu Japon.

    Le plastique, « c’est lisse, ça glisse, c’est beau », disait l’ironique Topor…

    (Illustration : Un hippocampe dans une mer polluée près de l’île de Sumba en Indonésie)

    Télérama N° 3590 du 31 octobre 2018
    Altermonde-sans-frontières

     

    On touche le fond ...


    votre commentaire
  • Peu importe le ciel ils sont s présents.
    Belle journée !
        Je ne connais pas les oiseaux,
        je ne connais pas l’histoire du feu.
        Mais je crois que ma solitude devrait avoir des ailes.
        Alejandra Pizarnik

    Un beau ciel bleu pour nonorer nos partis ...


    votre commentaire
  • Puis, ça s'est calmé et je suis allée au cimetière avec mes petites filles.
    Je n'y vais jamais ce jour d'habitude ...
    Que de monde ...
    Bnne soirée !
    Une personne peut aussi bien vous reconstruire que vous détruire .
    Mais il me semble que la pire serait celle qui vous reconstruit pour mieux vous détruire .
    Ça serait comme un médecin qui vous sauve la vie et vous tue juste après .
    L’escargot

    Des belles averses en début d'après-midi ...


    votre commentaire
  •  

    Tristesse ...


       
    Courbure du rêve.
        Lièvre de vivre, de bondir.
        Revenir en arrière.
        Redevenir le temps d’une image
        l’enfant,
        tirer de son trou
        la tristesse aux longues oreilles,
        la lancer loin,
        bouquet d’étincelles.
        Laurent Cennamo -



    votre commentaire
  • Rage ...



        Je suis né de la rage allumée dans la terre
        Et la terre donna à ma révolte
        De grands projets de destruction
        Et des ovaires de toute beauté.
        J'ai joué sur les genoux du feu central.
        A l'école mes laves se nourrissaient
        De plantes rares et de pluies sauvages.
        René Depestre



    votre commentaire