Florence est une ville riche, non seulement en art et histoire, mais aussi de curiosités et secrets fascinants.

Aujourd’hui, nous allons vous parler du mystère lié à ces anciens sanctuaires dédiés à un produit très important si bien de la culture que de l’économie de la ville.

Si vous avez été à Florence, errant dans les rues du centre vous auriez sans doute pu remarquer quelques « buchette » (petites ouvertures) au rez-de-chaussée des façades des palais.
Ces petits trous sont tous de la même façon: ils ont la forme d’une petite porte avec un arc supérieur, décoré par une cadre en forme de goutte, et fermée par une porte en bois.
http://www.florenceitaly.org/curious-florence-wine-holes/?lang=fr

Jeter une pièce dans une fontaine tout en faisant un vœu, toucher du bois pour conjurer une parole, ouvrir un parapluie à l’intérieur ou encore poser un chapeau sur un lit : voilà tout autant de superstitions qui régissent notre quotidien depuis de nombreuses décennies. Alors bien sûr, il y a ceux qui s’appliquent à les respecter à la lettre et ceux qui les jugent ridicules. Mais porte-bonheurs, gris-gris et autres rituels, sont-ils si désuets que cela ?

3 - Au Costa Rica : Sorcière, prend garde à ton derrière !

Si le Costa Rica (« côte riche ») a été nommé ainsi par Christophe Colomb, c’est pour sa concentration non négligeable d’or et de pierres de jade. Aujourd’hui, nous pouvons également dire sans sourciller que ce petit pays est riche d’une tradition populaire fascinante dont les superstitions qui se transmettent de génération en génération sont ponctuées de créatures mythiques et magiques. Parmi elles, les sorcières ont longtemps terrorisés les enfants ticos, comme le raconte notre conseillère de voyage Emmanuelle : « Au Costa Rica il y a beaucoup de superstitions liées aux sorcières que l’on appelle « las brujas » ici. Par exemple, on peut éloigner les sorcières en mettant une paire de ciseaux sous un tapis ou si on porte nos vêtements à l´envers. »

Les aquariums sont des lieux tranquilles jusqu'à ce que les humains aient des intentions saugrenues ou mauvaises. Ensuite, les histoires de poisson commencent à devenir intéressantes. . . et parfois plutôt bizarres.

Le plus vieux poisson en captivité ...

En 2018, un poisson-poumon australien à San Francisco a célébré son 80e anniversaire à l’aquarium Steinhart de l’Académie des sciences de Californie. Son âge est plus proche de 90 ans à son arrivée en tant qu'adulte en 1938. Baptisée Methusalem, il mesure 1,2 mètre de long.

Le poisson le plus âgé en captivité aime les figues et les crevettes roses, les pansements au ventre et certains volontaires. Mathusalem préfère aussi son propre aquarium. Lorsque les gardiens l'ont placé dans un plus grand aquarium avec deux poissons-poumons plus jeunes, il a insisté jusqu'à ce qu'ils reculent.

La génétique joue un rôle dans sa longue vie, mais l'espèce est extraordinaire à d'autres égards. Les poissons poumons, qui sont primitifs et remontent à 400 millions d’années, utilisent une vessie natatoire pour flotter et respirer l’air. Certains marchent même sur le sol pour chercher un nouvel étang.

Mathusalem semble heureux de viser un nouveau siècle. Selon ses gardiens, il mange comme un cochon et aime les interactions humaines. Pour cette raison, le groupe de poissons-poumons codés de l'aquarium est souvent appelé «chiots sous-marin»

La vie de Tim Mckenna est liée à l’Océan. Un élément qu’il aime, avec lequel il travail et où il vit. Né à Sydney, il parcourt le monde depuis près de 20 ans. Son travail passionné a été utilisé dans pas mois d’une quarantaine de couvertures et d’articles dans des publications spécialisées de sport, des livres de collections ou encore des magazines grand public. Maintenant basé à Tahiti avec sa femme et son fils, il s’efforce à capturer la magie des îles Polynésiennes et de leurs habitants. Dans son travail, Tim montre la beauté et le pouvoir de l’océan à travers différents moyens tels que la photographie par drone, les paysages, mais aussi les sports d’actions comme le surf, le Windsurf, le kitesurf, entre autres. Dans ces photographies, il marie avec talent l’esthétisme qui souligne à la fois l’incroyable arrière-plan et la force de l’effort.
http://www.fubiz.net/2019/03/01/beauty-and-power-of-the-ocean-through-sports/

Kathrin Longhurst
Le langage visuel de Kathrin Longhurst se heurte au point de départ de son propre voyage, en tant qu'enfant de l'époque de la guerre froide, qui a été des deux côtés du rideau de fer. Le contraste entre les images de propagande de guerre et les promesses glamour de l’autre côté du mur a été l’inspiration de ses premières œuvres.
http://kathrinlonghurst.com/gallery/

Le livre de Ruffin, Ce pays que tu ne connais pas (Les Arènes, 2019), est aussi vif, tendu, humain, bon à lire, que celui de Macron, Révolution (XO, 2016) est lourd, mou, insignifiant, illisible – le choix des éditeurs est en lui-même parlant : pour Ruffin l’éditeur de Denis Robert, pour Macron celui de Guillaume Musso. Comme on sait, Ruffin et Macron furent tous deux élèves, à deux ans d’écart, au lycée La Providence à Amiens. L’éducation religieuse qu’ils y ont reçue est peut-être le seul vrai point commun entre les deux hommes. Macron a surtout gardé du jésuitisme la brillance fourbe, Ruffin le caractère missionnaire. Sans mentionner cette formation, Ruffin l’incarne quand il oppose « le désir de s’élever » de Macron à son propre désir, « presque de descendre ». Macron désire être divinisé en dominant, Ruffin obtient son salut en descendant parmi le peuple : « Je me sauve par les autres ». Si Macron vient de se faire photographier un genou à terre devant une tente de SDF, n’était-ce pas, en réponse à Ruffin, pour se donner aussi le rôle d’un dieu qui s’abaisse, selon le dogme chrétien ? Encore une fois, Macron est dans la posture et l’imposture (puisqu’il a en fait réduit considérablement le budget consacré aux personnes sans abri), quand Ruffin, lui, est dans le réel, comme en témoignent son œuvre et les portraits sensibles d’humains qu’elle porte.
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ruffin-vs-macron-ce-pays-que-l-un-213094

Par Le Partageux

 Ce mercredi 27 février 2019, la température moyenne en France atteignait 21,3°C. Jamais il n’avait fait si chaud en plein cœur de l’hiver.

Pendant ce temps, les présentateurs météo se réjouissent chaque matin qu’il fasse beau, atrocement chaud, et s’excusent presque quand le mercure descend. Alors qu’il devrait geler. Leur sourire bêta symbolise en quelque sorte ce sentiment bizarre et général qu’il faudrait s’enchanter du climat qui débloque, courir à la plage, chausser nos tongs en plastique, déjeuner en terrasse, c’est si cool, en cette saison, malgré le venin des pollutions dans l’air que nous respirons. La Terre crame, la planète se noie, les coquelicots ne poussent plus au printemps, mais neuf humains sur dix s’en cognent. Dans cet affolant chambardement, Emily Loizeau, qu’on n’avait plus connue aussi simple et nature depuis L’autre bout du monde, vient d’enregistrer une chanson, Viens avec moi mon vieux pays, mise en images par Cyril Dion, dont l’écologie est le combat. Double réussite. Qui dit les choses intuitivement. En filmant avec force l’émouvante espérance dans le regard des enfants. Les pesticides sont des poisons et nos gamins en crèveront, tous. À moins que l’homme ne prenne miraculeusement sa survie en main. C’est l’appel d’Emily : « Viens avec moi mon vieux pays, quand tu te lèves, le jour se lève aussi… » Il y a là beaucoup de naïveté, sûrement, mais le tableau que dépeint cette supplique est d’une exactitude dépourvue d’ornements. D’où sa fraîcheur bienvenue.

Source : Baptiste Vignol, La prière d’Émily

Nous voulons des coquelicots. Pour l’interdiction totale des pesticides étais-tu devant TA mairie ce vendredi 1er mars à 18h30 ? Comme chaque premier vendredi du mois. Jusqu’à terrasser la bête. Le lobby de l’industrie chimique. Il y a des rassemblements partout en France. Dans ma métropole régionale comme dans la commune rurale de 400 habitants qui jouxte ma micro-commune natale.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article40610

Assez fort par moments ...
Puis, là, nous avons ciel bleu ...
C'est mars, c'est giboulées !µ
Belle journée !
En ce jour sombre et gris
mes pensées vagabondent vers une paire
d'iris bleus
Angelika Kolompar Renville
J'ai pas mal de pieds d'iris, l'an passé, pas une fleur.
Je me suis dit, j'arrache .... bon sang cette année ils fleurissent ...

J'ai eu à sortir, c'était presque frais, mais normal quand on y pense.
J'ai découvert deux magnifiques crocus dans mon jardin ...
Bonne soirée !
Vu la situation économique,
ne plus payer les heures supplémentaires c’est une nécessité » (à Davos !)
Manu dans le texte

Les choses que tu ignores
encombrent pourtant tes rêves
et quelquefois débordent au grand jour indécis
tu ne peux jamais être absolument toi-même
ni comme tu l'espères absolument un autre
tu es à mi-chemin entre l'âme et la chair
la torture et la paix
tu ne sais à qui tendre la main, frère ou mendiant.
Jean-Claude Pirotte