• La démocratie ne provient pas d’élection, ... au contraire !

     

    par suispersonne (son site)
    mardi 26 avril 2022

    Ce qui m’étonne, encore, le plus, c’est la rengaine élection = démocratie.

    Malgré les nombreuses évidences, que les commentateurs voient parfaitement, dont la plus importante est qu’il est possible de gagner une élection sans aucun support populaire majoritaire, je ne vois personne mettre en doute cette égalité de contrebande.

    Il a pourtant été démontré par les penseurs grecs, il y a plus de 2600 ans, que tout système électoral est aristocratique.

    Le cheminement qui privilégie les zélites, les sachants, les héritiers, les plus riches, …, bref : le bloc bourgeois, consiste simplement à faire croire aux gueux qu’ils ont le choix, or les gueux ne voient pas vraiment que ce choix existe seulement au moment du vote, parmi une sélection de candidats, où ils n’ont rien impulsé ni voulu.

    L’émergence d’une idée de RIC, voulu révocatoire, ne change rien au problème de base, qui est de réserver les places au bloc bourgeois, qui saura très bien s’en défaire en ricanant.

    Une simple analyse statistique de l’origine sociale des dirigeants élus, partout, démontre l’élimination, facile et systématique, de tout gueux qui n’adhérerait pas aux préférences du bloc bourgeois.
    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-democratie-ne-provient-pas-d-241192

     

    Démocratie ... démocratie ... Est-ce que la France a une tête de démocratie ?

     

     

     


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  • Extrême-droite et droite : Sauver la face, la comédie doit continuer pour les porteurs de mandats et les états majors qui en vivent

    par Octave Lebel 

     

    Où est passée la démocratie ?

    Réglons d’abord un problème de vocabulaire, la droite, c’est l’ensemble des forces politiques qui gravitent autour du centre de gravité représenté par Emmanuel Macron, délégué du moment des forces économiques et financières qui dominent notre aire économique et qui subordonnent pour l’essentiel le pouvoir politique.

    A partir de cette trame, les réseaux, les intérêts personnels, les égos s’en donnent à cœur joie avec les étiquettes et les postes. C’est aussi une formidable machine à égarer, éparpiller les citoyens et subvertir les aspirations démocratiques et sociales qui cherchent une issue politique. L’extrême-droite bien sûr a une place de choix dans cette mise en scène.

    Le stratagème a presque marché mais il est parvenu au point où il devient de plus en plus difficile d’en cacher les mécanismes, les effets délétères et leur relative efficacité en train de se gripper. Les petits jeux aussi des acteurs puissants ou insignifiants. Qui en jouent en devant recourir à de nouveaux tours de passe (comme le combat des extrêmes-droites mitonné dans la chaîne d’info d’un parrain du CAC 40) afin de détourner l’attention d’évidences économiques, sociales, démocratiques et de leurs causes profondes qui attendent dans une impatience tendue une authentique solution politique et démocratique. Qui sont obligés d’avoir recours à des éléments de langage et d’explication outranciers et provocants, des peurs malsaines, des procédés tordus qui repoussent les limites du politiquement correct maintenant testées en permanence, s’appuyant sur un bluff inquiet et agressif de plus en plus perceptible afin de donner le change. Et détourner les colères et exaspérations d’un mouvement social qui traverse toutes les couches de la société et que l’on cherche à diviser et affaiblir en espérant le dissoudre ou l'épuiser.
    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/extreme-droite-et-droite-sauver-la-241223

     

    Métier ? menteur et profiteur = politicard !!!

     

     

     


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  • Vent de nord, ciel gris ...
    C'est d'un joyeux !!!
    Et pourtant la lune rousse ne commence que le 30 !!
    Ca promet !
    Bonne journée !
    La situation de la France est gravissime
    parce que ce sont nos dirigeants eux-mêmes
    qui oeuvrent contre la patrie, contre la nation
    et mettent les Français en grand danger.

    Général Martinez

    Nous voilà revenus à un temps d'hiver ...


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  • Une journée comme j'aime, calme, libre, silencieuse ...
    Juste les chants d'oiseaux ...
    Et les aboiements impétueux de Jacadi ...
    Une chanson, quelques instants ... non je n'ai rien oublié ...
    Bonne soirée !
    Vous avez élu un fossoyeur.
    Nous vous souhaitons de belles obsèques.
    Internaute
    Et à nous aussi par obligation !!!

     

    Une journée fraîche mais ensoleillée ...

     


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  • Je ne pensais quand même pas devoir assister en rage, au nouveau déploiement du grand barnum destiné à animer l’entre deux tours de la présidentielle. « La grande quinzaine antifasciste à nouveau dans votre ville ! » Je me trompais, ils sont tous là, les petits marquis, les profiteurs, les obligés, les corrompus, les « artistes » subventionnés, les sportifs ingrats, les faux intellectuels, ceux qui veulent aller à la soupe, ceux qui veulent la garder, les comiques officiels, les journalistes sans morale, les fonctionnaires dévoyés, tous ceux qui portent leur « antifascisme » à la boutonnière, comme un signe extérieur de richesse.

    Toutes les tribunes leur sont ouvertes, car notre oligarchie devenue ploutocratie a ses méthodes : le rouleau compresseur de ses médias, les pressions et l’intimidation pour les récalcitrants, on ne veut voir qu’une tête et l’entendre clamer tout unanimement : « no pasaran ! »
    Auteur anonyme (extrait)

     

    Cette oligarchie à la Russe qui gouverne la France ...


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  • Le matraquage médiatique, vainqueur de la présidentielle ...

    par Ivan Rioufol ...*

    Vous aimez le passe vaccinal, les parcs d’éoliennes, les féministes voilées, les sermons des people ? Vous allez être comblés : vous venez d’en reprendre pour cinq ans.
    Le Système a su se maintenir en place, grâce à un toujours efficace « front républicain ». Je ne peux cacher une certaine déception au vu des résultats. Je m‘étais pris à espérer, idéalement il est vrai, une résistance des électeurs face à l’indécent bourrage de crâne de ces dernières semaines. Mais le matraquage contre le péril « d’extrême droite », repris par la totalité des médias et des pouvoirs en place, a fait son œuvre. La propagande a été plus forte que l’analyse des colères françaises, qui ne se rattachent en rien aux caricatures « fascistes » qui en sont faites par les gardes-chiourmes de la caste. Emmanuel Macron a été brillamment réélu  dimanche soir (avec 58,5% des suffrages contre 41,50 % à Marine Le Pen) en bénéficiant à 40% d’un vote de rejet de son adversaire. 42% des électeurs de Jean-Luc Mélenchon se sont reportés sur le président sortant, contre 17% qui ont choisi Le Pen. Le choix de Macron d’esquiver les débats et de diaboliser l’adversaire a été une stratégie payante. Marine Le Pen a subi une défaite cuisante, même si elle a amélioré son score de plus de 2,5 millions de voix par rapport à 2017. Au moins peut-elle se réjouir de n’avoir pas à gérer les périodes tendues qui s’annoncent avec une hausse de l’inflation, de l’endettement et de la vulnérabilité plus générale du pays. Macron va avoir à assumer lui-même les conséquences de ses politiques. Il s’est d’ailleurs gardé hier soir, à raison, de tout triomphalisme affiché.

    Reste que si le scrutin est sans appel et que Macron a toutes les raisons de se satisfaire de la prouesse de sa réélection, la photographie politique n’en est pas moins voilée. La frustration qui est la mienne devant des débats confisqués et des interdits de penser me semble être commune à beaucoup d’électeurs. Il leur est répété, sondages à l’appui, que la société aurait viré à droite. Or c’est la gauche mélenchoniste et islamo-gauchiste qui, pour partie, a favorisé également l’élection de Macron, soutenu par la presse moutonnière. Le président, qui avait reçu le soutien de la Grande mosquée de Paris et du Rassemblement des musulmans de France, a fait de très bons scores dans des villes de la « diversité » : 75% aux Mureaux, 70% à Grigny, 74% à Trappes. S’il recueille au total 18,7 millions de voix contre 13,2 millions à Le Pen, la somme des absentions et des votes blancs et nuls atteint 16,6 millions d’électeurs (13,6 millions d’abstentions, 3 millions de blancs et nuls). Quand autant de citoyens ne veulent plus jouer le jeu de la démocratie, c’est que celle-ci ne fonctionne plus correctement. De fait, l’imposition d’un discours unique ne peut qu’assommer, un temps seulement, l’électeur incertain. Cette situation ne peut perdurer sans risque d’explosions insurrectionnelles.  Hier soir, Macron a promis « l’invention collective d’une méthode refondée ».
    Vous aimez aussi les mots creux ? Vous allez être servis.

    (Blog d'Ivan Rioufol)

     

    DEMOCRATIE, les merdias t'ont muselée ...

     

     

     


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  • Renaud Camus remplace le Chant des Partisans par le Chant des Remplacés

     


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  • Des Français bêtes à manger du foin ?

    On peut reprocher beaucoup de choses à Nicolas Dupont-Aignan mais il possède une très grande qualité : celle d’une honnêteté sans faille. C’est d’ailleurs pour cela qu’il ne sera jamais Président. Vous n’aviez pas remarqué ? Ceux que nous élisons depuis quarante ans sont à chaque fois plus pourris que leur prédécesseur.

    Il n’a fallu en effet que 12 h après l’annonce des résultats des présidentielles pour que Bruno Lemaire n’annonce, au nom d’Emmanuel Macron, sur les chaînes de télévision et les radios qu’ils n’hésiteront pas à passer à l’Assemblée Nationale par le 49.3 pour imposer leur réforme des retraites.

    Fini du respect de la démocratie et des promesses de campagne ! Les manipulations des médias ont bien fonctionné, les Français ont voté comme un seul homme pour leur mise à mort et ils sont déjà cocus !

    Mais ce qu’ils ne savaient pas, c’est que le Sénat, avait quant à lui déjà voté dans la nuit du vendredi à samedi 13 novembre 2021, dans le cadre de l’examen du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2022, le report de l’âge de départ à la retraite à 64 ans. A l’époque, Emmanuel Macron a annoncé que les conditions n’étaient pas réunies pour relancer le chantier de la réforme des retraites, qu’il avait reporté à 2022. Autrement dit un « en même temps » destiné à lui permettre de blouser les Français et de lui assurer un second quinquennat.
    https://ripostelaique.com/des-francais-betes-a-manger-du-foin.html

     

    Le bisounours et ses petites bougies et ses marches blanches a gagné ...

     


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  • Résister à l'intimidation

    La Revue « Le Débat » n’existe plus, mais "Causeur" est toujours là

    Marcel Gauchet

    Pour Marcel Gauchet, le centième numéro de Causeur est l’occasion d’égrener les menaces qui pèsent sur la vie intellectuelle française. Il se livre ainsi à une réflexion sur des combats que nous devons impérativement et urgemment mener…

    Heureusement que vous existez, chers amis de Causeur ! Vous me faites revivre, quand j’y songe rétrospectivement, l’ambiance de mes 20 ans, sous la double chape de plomb du gaullisme autoritaire et du verrouillage communiste dans l’espace intellectuel. Car ce n’était pas gai, les années 1960 avant Mai 68, contrairement à ce que nous raconte une légende nostalgique très mal inspirée. Relisez les souvenirs de Cavanna et son récit épique des démêlés de la petite bande du Hara-Kiri de l’époque avec les autorités garantes de la respectabilité bourgeoise et vous aurez une idée de ce qu’était le moralisme régnant. Et pour la minuscule frange d’ultra-gauche qui ne s’accommodait pas de la célébration de la patrie du socialisme, c’était la quasi-clandestinité. Une ou deux librairies discrètes qui diffusaient une poignée de revues confidentielles, l’unique kiosque du boulevard Saint-Michel où l’on venait de toute la France acheter L’Internationale situationniste. On n’était pas loin du samizdat des pays de l’Est. Les coupeurs de tête staliniens veillaient au grain, avec la complaisance des organes « sérieux », Le Monde en tête, déjà.

    J’aurai au moins vécu l’explosion de ce carcan. Quel que soit le mal que l’on puisse penser, après coup, des imposteurs de la funeste « génération 68 », il faut lui reconnaître d’avoir imposé une incomparable liberté de la parole et de l’écrit. Je la croyais définitivement acquise, avec, de surcroît, dans la foulée, l’écroulement du mensonge totalitaire, mais aussi l’éradication des punaises de sacristie qui pourchassaient les manquements aux bonnes mœurs (je rappelle que Giscard a pu se faire élire, en 1974, en disqualifiant son concurrent de droite, Chaban-Delmas, pour cause de divorce).

    Jamais deux sans trois

    Grosse erreur. Nous voilà repartis dans un nouveau cycle de surveillance et de pénitence. La vertu revient à l’ordre du jour, grâce aux efforts conjugués de chaisières d’un genre inédit et de commissaires politiques improvisés, s’érigeant en gardiens de la moralité publique.

    L’ami Jacques Julliard parle, à juste titre d’une « troisième glaciation », la glaciation wokiste, venant après la glaciation stalinienne et la glaciation maoïste. Il a parfaitement raison du point de vue de la mode intellectuelle.
    https://www.causeur.fr/marcel-gauchet-wokisme-universite-democratie-230572

     

    Résiste, prouve que tu existes ...

     

     

     


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