Le compagnon blanc est un habitué des bords de chemins. Ce n'est pas une plante spécifique du platier ou des milieux dunaires, puisqu'on peut la rencontrer sur l'ensemble du territoire français.
Pour apprécier la délicatesse de ses fleurs, préférez néanmoins la fin d'après-midi car ces dernières s'ouvrent avec le soir pour s'offrir aux papillons de nuit.
Cette plante a des ressources cachées. Pour faire plaisir aux enfants, inutile de casser votre tirelire. Les fruits séchés, vidés des graines, font d'excellents sifflets.
http://www.luontoportti.com/suomi/fr/kukkakasvit/compagnon-blanc
http://platier.free.fr/silene_latifolia.php

C'est bien plus qui est apparu à mesure que la pelle mécanique déblayait le terrain de 800 m2. Une domus, une maison de la noblesse patricienne. 800 m2 de fouilles, mais bien plus à trouver… Elle était vraisemblablement encadrée par deux rues, et très proche du forum, le cœur de la ville romaine. «On sait avec certitude que nous ne dégageons là que l'angle nord-est du bâtiment. La bâtisse pouvait être beaucoup plus grande. Elle l'est probablement, mais le reste se trouve sous d'autres maisons !» Certaines de ces demeures patriciennes couvraient plusieurs milliers de mètres carrés. Et celle de la rue Augusta affiche un luxe qui n'a rien à leur envier. «On a trouvé, par les huit pièces dégagées, un ensemble balnéaire : des thermes privés. C'est très rare, et la marque d'une grande richesse du propriétaire des lieux.» D'autres éléments viennent à l'appui de cette abondance. Dans les débris triés au cours des fouilles, les archéologues retrouvent des débris de marbre. «Ce sont les restes de dallages, de plinthes, peut-être de revêtements muraux.» S'y ajoutent des traces de mosaïques murales en pâte de verre, qui valaient une fortune à l'époque… et des mosaïques dans trois pièces ! «Cette maison va nous apprendre énormément, ajoute Pascal Lott en souriant. Sur Auch et sur l'antiquité locale».
http://www.ladepeche.fr/article/2017/07/04/2606252-riche-passe-ville-romaine-refait-surface-rue-augusta.html

Au moment où le monde pleure ses animaux disparus, une bonne nouvelle a pointé le bout de son nez : grâce à un petit garçon équatorien, une espèce de grenouilles que l’on pensait éteinte est revenue à la vie.
Jusque dans les années 1980, on pouvait croiser des grenouilles Jambato (Atelopus ignescens de son nom savant) le long des rivières et des cours d’eau, autour de la capitale de l’Équateur, Quito. « Elle était si présente dans la communauté équatorienne que nous n’aurions jamais pensé qu’elle pourrait disparaître », explique aujourd’hui Luis Coloma, du centre Jambatu pour la recherche et la conservation des amphibiens.
Et pourtant, c’est arrivé. La dernière fois que la grenouille a été aperçue, c’était en 1988. Puis une maladie infectieuse, la chrytridiomycose, leur a été fatale. Tout comme les changements climatiques… C’est du moins ce que l’on croyait.
http://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/data/4443/reader/reader.html?t=1499876912231#!preferred/1/package/4443/pub/6094/page/7

Pourquoi ce nom d'Atlantide ...
La plupart des gens croient probablement que l'Atlantide a eu son nom par rapport à l'océan Atlantique, mais les textes prétendent que ce serait l'inverse. Au fur et à mesure de l'histoire, Poséidon, le dieu grec de la mer, avait eu cinq paires de jumeaux mâles avec une femme Atlante mortelle nommée Cleito.
Le dieu donna à chacun de ses 10 fils différentes parties de l'île sur laquelle ils pourraient dominer. Gadeirus était le deuxième plus âgé de ces fils. Alors qu'il aurait pu avoir une ville en Espagne nommée d'après son nom, c'était son jumeau plus vieux, Atlas, qui aurait la gloire d'être l'homonyme de l'île.
En tant que premier-né, Atlas avait l'île entière, et même l'océan environnant, nommé d'après lui Atlantique.

Franco Banfi vit dans le sud de la Suisse, dans un village charmant à proximité du lac de Lugano.
Il est l'un des photo-journalistes les plus appréciés spécialisés dans les sujets et les histoires sous-marines.
Franco a commencé à plonger en 1981, dans le lac de Lugano. Au début, il a plongé dans les eaux douces les plus proches à la maison, en particulier les lacs et les rivières, où l'eau est plus claire et il a pu améliorer sa technique photographique.
Ensuite, il a voyagé partout où il a pu, documentant la vie sauvage et les relations humaines avec la nature.
Franco a plongé dans tous les océans de notre terre, améliorant ses compétences en tant que photographe et son amour pour la vie sauvage et la conservation de la biodiversité, de la flore et de la faune.
http://littlelimpstiff14u2.tumblr.com/post/162896943415/photography-whales-oceans-wildlife-nature-extraordinary

Jethro Buck est né à Oxford, d'un père artiste et d'une mère enseignante. Il a obtenu un BA d'Arts Plastiques du Falmouth College of Arts.
Jethro Buck a ensuite travaillé comme professeur d'art dans une école avant d'aller à Jaipur, au Rajasthan pour étudier la technique des miniatures indiennes. Il a aussi obtenu un Master de la Prince's School of Traditional Arts de Londres.
"La nature est la manifestation de la source ultime de la créativité et la peinture en est une célébration "
https://www.instagram.com/jethro_buck/

Tous aux abris ...
Belle journée !
Si vous ne lisez que ce que tout le monde lit,
vous ne pouvez penser que ce que tout le monde pense.
Murakama

sans canicule, tranquille comme un dimanche !
Bonne soirée !
Il ne faut pas jeter les rêves parce qu'on n'a pas su les raconter…
il faut les façonner jusqu'à ce qu'ils trouvent les mots et l'auréole qui leur conviennent…
Gianni Celati

Elle vint.

Il ôta le vent de ses épaules
fit glisser de ses hanches
la neige du voyage.

Il lui demanda d'oser dire
Elle parla avec audace
d'un jardin déserté
de trois ou quatre bouleaux trahis
d'un pacte avec les loups.

Il lui offrit la première lampe
du soir.
André Schmitz
(soul-feelings.tumblr)

Mille oiseaux de lumière fuient vers le couchant
    quand le soir abat l’ombre des grands arbres
    et posés, non loin des sommets du monde,
    ils attendent que les rejoigne le temps.

    Certains d’entre eux s’attardent
    sur la plus large feuille d’une branche
    et la font briller comme un miroir
    où pour la dernière fois les insectes se regardent.

    Lorsque la nuit sera venue
    il sera facile de capturer
    tous ceux qui sont restés
    au fond des ruisseaux nus.
    Lucien Becker