Les tapisseries Erin Riley, sont  tissées à partir d'un métier à tisser Macomber avec de la laine teinte à la main. C'est une série de pièces inspirées par les images produites par la génération Internet. La série est un produit de ses recherches sur les symptômes et les résultats de différents thèmes, y compris les ménages de toxicomanie et de familles monoparentales. Des images de la découverte de soi, l'expérimentation, la régression, le développement, ses œuvres représentent une génération de l'excès et de la confusion. Erin Riley a reçu une maîtrise de la Tyler School of Art de Philadelphie, où elle vit actuellement. (via Guererro Galerie).

 Kaspian Shore est un illustrateur allemand qui réalise des dessins à l’encre et à l’acrylique à l’esthétique particulière.
Il vit dans la belle ville de Münster, en Allemagne. C'est un artiste autodidacte qui peint surtout des garçons androgynes. Il a 28 ans.

Françoise de Felice d’ascendance italienne par son père et de mère française est née à Paris où elle a passé ses 20 premières années . Petite fille elle fut initiée à l’art graphique par sa grand mère qui avait fréquenté un atelier de publicité à l’époque du Chat Noir, attenant à celui de Fernand Leger . Parallèlement à la Sorbonne, elle fréquenta les Beaux Arts en auditeur libre.
Françoise eut comme première approche , l’étape incontournable de l’impressionnisme qu’elle déclina sous toutes ses formes jusqu’en 1982. Puis elle quitta la France et s’installa en Sicile où là l’impressionnisme français ne lui suffit plus. Il lui fallait construire sa propre personnalité, lâcher les sentiers battus, créer sa signature . Les splendeurs du baroque sicilien et la lumière de l’ile aidant , elle se mit à jouer entre des fondus presque liquides et un tracé fin mais précis.
Le style ,son style est né du hasard et du vouloir confondus. elle fit de sa peinture une histoire introspective, manière d’ autoanalyse.
Après de nombreux va et vient entre la méditerranée et la France elle finit par se
fixer en Bretagne.

Par Théophrate R.

Le marché noir des points du permis de conduire est en plein essor. Plus de 10 millions de points ont été retirés en 2010, contre 1,1 million en 1993. Hausse en partie due à la multiplication des radars automatiques, modernes pompes à finance.

Résultat : le trafic de points s’est fortement développé. La combine ? flashé par un radar, vous trouvez un vendeur qui déclare avoir été au volant et vous le payez entre 200 et 250 euros par point perdu. Les enquêteurs de l’Unité de traitement judiciaire des délits routiers sont sur les dents pour démanteler ce trafic. L’infraction peut coûter jusqu’à un an de prison et 30.000 euros d’amende.
Qui sont les vendeurs ? Souvent des étudiants désargentés. 100 000 étudiants vivent sous le seuil de pauvreté en France, pays où la vente du sang et d’organes n’est pas autorisée. Travailler ? Le taux de chômage des jeunes est de 22 %. Se prostituer ? Najat Vallaud-Belkacem, ministre des droits des femmes veut éradiquer la prostitution. Mais elle convient que « c’est un chantier de long terme ».

Le gouvernement aurait en effet plus vite fait d’augmenter les aides aux étudiants et de trouver du travail aux jeunes.

Théophraste R.
(Ni prude, ni soumis)
Altermonde-sans-frontières

Aimer, c'est risquer le rejet.
Vivre, c'est risquer de mourir.
Espérer, c'est risquer le désespoir.
Essayer, c'est risquer l'échec.
Risquer est une nécessité.
Le plus grand des dangers, c'est de ne pas risquer,
d'être enchaîné dans ses certitudes comme un esclave.
Seul celui qui ose risquer est vraiment libre !

Avez-vous vu toutes ces graminées qui poussent
La toison mal peignée du monde
Toutes ces graminées baptisées
Qui ont planté leurs pieds d’araignées dans la terre meuble
Et qui catapultent leurs graines au-dessus des océans et des volcans
Voltigeuses incognito de l’instant et de l’éternité
Avez-vous vu les graminées monter et le vent les courber
Et vos pieds d’homme sans racines glisser sur les graminées
Et vos corps  délétères enfoncés dans le noir de leurs germinations
Sylvie Shenk

Pour qu'en vous je vienne, priez ma douce dame,
Attirez-moi à vous d'un léger froissement,
Par vos deux mains jointes, invoqué si plaisamment,
Laissez-moi allumer votre feu de mes flammes.

Ainsi, là, révélée la piété de vos charmes,
Livrez-vous entière à ce rêve, innocemment,
Pour qu'en vous je vienne, priez ma douce dame,
Permettez-moi de vous mener au firmament.

Par ces louanges, toutes puissantes alarmes,
Abandonnez vos sens à vos désirs aimants,
Laissez tourbillonner vos doigts, ces pieux amants,
Près de vos lèvres, je renaitrai, monogame.

Pour qu'en vous je vienne, priez ma douce dame.
François

Il y a le graffeur classique, qui peut être très bon dans l'élaboration du dessin, de la fresque, mais j'ai un faible pour celui qui utilisera plutôt l'état du support et qui, d'un délabrement, d'une usure, en fera quelque chose de poétique, comme ces deux images qui donne une si belle impression de vie sur une surface craquelée par le temps !

Je veux être celui
qui ....
séduit votre esprit,
apporte un sourire à vos lèvres,
des étincelles à votre imagination,
est tenté par votre côté sombre,
touche votre cœur,
pique votre curiosité.
et
réveille votre âme.

J'aime beaucoup cette image, elle est celle d'un monde attirant mais  factice.
Ce verre à Martini, si chic, si typé, qui a enchanté tous les films de l'après guerre et qui apparait encore très souvent au cinéma et à la télé. J'adorerais avoir un verre comme ça, le tenir dans ma main et rêver de Gary Cooper ? mais au fond, je n'aime pas le Martini et le Porto se laisserait-il boire dans ce verre ??? Et ces deux olives épinglées qui ajoutent au charme ...
La cigarette américaine, blonde, une odeur, un souvenir qui emplit parfois ma maison ...  Une tueuse sournoise ...