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Je croise cette photo et aussitôt le souvenir de ma mère me revient. Sa boite de poudre de riz et la houpette qui allait avec, dont je me frottais le museau quand on me laissait seule .... et je trouve ces mots merveilleux ...
c'est parfois dans l'or du soir
que revient ma mère
devant son miroir
où elle ombre ses paupières
redessine sa bouche cerise
et par petites touches qu'elle tamise
dépose sur ses joues cette poudre de riz
dont encore aujourd'hui
j'ai gardé intacte l'odeur
dans le coffret de mon coeur
où brûle la petite lumière
du dernier sourire de ma mère
Françoise Urban-Menninger
Ces mots sont si beaux ...
A ma chère Maman
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Vous êtes tout droit et bleu,
comme les gouttes de pluie
qui tombent
les jours d'automne froid ...
Je suis orange, jaune
rouge, la danse du feu
le scintillement
donc très féroce ...
m'éteindre
dans une vapeur pure
sensualité sauvage ...
M'éteindre ?
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il l'a lentement déshabillée
la soie a glissé de ses épaules
vulnérable
son cœur battait
désir
"pas besoin d'être lié mon amour", a-t-il murmuré, Elle plaça ses mains derrière son dos.
il a pris une seule rose,
qu'il a glissé dans ses mains
symbole de son épanouissement
de sa beauté
et la douleur s'estompe
parfum de soumission
son odeur.
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Pour changer des niches en plastique ou en bois pas toujours gracieuses ou en harmonie avec son style, le blogueur Ben Uyeda a décidé de sortir d’huile de coude pour construire une jolie niche aux formes géométriques à son chien. Pour ce faire, il a commencé par scier dans les planches de bois plusieurs triangles, qu’il a ensuite assemblé pour créer une sphère ouverte. Le résultat est minimaliste, magnifique !
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Voici l’excellent travail de Sven Fennema, un photographe allemand passionné de lieux abandonnés qu’il capture afin d’obtenir de superbes images. Des créations réunies autour d’une série « Forgotten Places » où la nature retrouve parfois une nouvelle vie. A découvrir en images dans la suite de l’article.
Ca me fiche le bourdon, comment peut-on abandonner des lieux aussi beaux ...
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Dario Castillejos, El Imparcial de MéxicoUne nouvelle attitude !!!Paresh Nath, The Khaleej Times, UAECréer leurs propres banques pour se développer !!!
Tom Janssen, The NetherlandsSolidarité avec Chypre
Emad HajjajAssad ne veut pas se rendre
Paresh Nath, The Khaleej Times, UAELa bande annonce du VénezuelaParesh Nath, The Khaleej Times, UAEDix ans de guerre, un pays détruit, 200.000 morts,deux mille milliards de dollars
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Alan Fearnley !
Ses gravures etsles peintures sont collectées dans le monde entier. Son exposition annuelle de Monaco est devenue un incontournable du week-end du Grand Prix, attirant les célébrités et les collectionneurs à l'Hôtel de Paris. Une exposition annuelle en Novembre à Londres est également très populaire.
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Göbekli Tepe[note 1] ou Portasar[note 2] est un site archéologique des débuts du Néolithique (plus précisément Néolithique précéramique A) ou de la fin du Mésolithique. Il est situé au sud-est de l’Anatolie, région de l’actuelle Turquie, près de la frontière avec la Syrie. Au sud-ouest se trouve la ville de Şanlıurfa.
Le toponyme turc Göbekli Tepe se traduit en français par «la colline au nombril », en référence à sa forme. Sur ce site repose le plus ancien temple de pierre jamais découvert (datation estimée entre 11 500 et 10 000 avant notre ère[1]). Il aurait fallu plusieurs centaines d’hommes pour le construire et les travaux auraient duré de trois à cinq siècles. La civilisation mégalithique à l’origine de ce site est encore très mal connue.
Göbekli Tepe est le plus ancien exemple répertorié d'architecture monumentale.
Le temple aurait été abandonné en 8000 av. J.-C., laissant le temps (ou l’homme) enfouir le site (Néolithique précéramique B).
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Si seulement ils se réveillaient un peu ...
Tonatiuh (Nahuatl : Ollin Tonatiuh, mouvement du Soleil) dans la mythologie aztèque désignait le dieu personnifiant le soleil.
Les Aztèques le considéraient comme le chef de Tollan. Il était aussi connu comme le cinquième soleil, ayant pris selon les croyances aztèques la relève du quatrième soleil après que celui-ci fut expulsé du ciel. D'après la cosmogonie aztèque, chaque ère cosmique avait son propre dieu Soleil, et nous serions dans la cinquième, celle de Tonatiuh. Le dieu demandait des sacrifices humains comme tribut, sinon il refuserait de se mouvoir à travers le ciel. D'après les récits, il est dit que 20 000 personnes étaient sacrifiées chaque année à Tonatiuh et à d'autres dieux1. Les Aztèques étaient fascinés par le soleil, au point d'en faire une observation méticuleuse et d'avoir mis au point un calendrier solaire, second en précision à l'époque derrière celui de la civilisation maya. Plusieurs monuments aztèques présentent des structures alignées suivant le mouvement du soleil.
Dans le calendrier aztèque, Tonatiuh est le seigneur de la 6e treizaine de jours appelée « Miquiztli », depuis « 1 Mort » jusqu'à « 13 Silex ». La treizaine précédente étant gouvernée par la déesse des rivières et des lacs Chalchiuhtlicue, et la treizaine suivante par le dieu de la pluie Tlaloc.
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«Je n'ai jamais pensé que je vivrais si longtemps.
J'ai probablement pu ainsi nettoyer les mauvais moments de ma vie.
Je ne crois pas à adhérer à des règles que je ne soutienne pas et je n'ai jamais voté pour.
Au diable ce que les gens pensent.
Soyez vous-même, et vous serez heureux. "
Willie Nelson
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