Un hiéroglyphe est un caractère de la plus ancienne écriture égyptienne.
L’écriture hiéroglyphique égyptienne est figurative : les caractères qui la composent représentent en effet des objets divers, — naturels ou produits par l'homme —, tels que des plantes, des figures de dieux, d'humains et d'animaux... (cf. classification des hiéroglyphes). Les égyptologues y distinguent traditionnellement trois catégories de signes : les signes-mots (ou idéogrammes), qui désignent un objet ou, par métonymie, une action ; les signes phonétiques (ou phonogrammes), qui correspondent à une consonne isolée ou à une série de consonnes ; les déterminatifs, signes « muets » qui indiquent le champ lexical auquel appartient le mot.
Apparue à la fin du IVe millénaire avant notre ère en Haute-Égypte‎ (sud du pays), l'écriture hiéroglyphique est utilisée jusqu’à l'époque romaine, soit pendant plus de trois mille ans. La connaissance des hiéroglyphes se perd avec la fermeture des lieux de culte païens par l’empereur Théodose Ier vers 380 apr. J.-C.. Si certains chercheurs déclarent que certains hiéroglyphes auraient été décodés par Ibn Wahshiyya vers le IXe siècle3, il faudra, après la découverte de la pierre de Rosette, le génie de Jean-François Champollion pour briser, après quatorze siècles, ce qui paraissait être « un sceau mis sur les lèvres du désert ».

Et le cheval longea ma page.
Il était seul, sans cavalier,
Mais je venais de dessiner
Une mer immense et sa plage.
Comment aurais-je pu savoir
D'où il venait, où il allait ?
Il était grand, il était noir,
Il ombrait ce que j'écrivais.

J'aurais pourtant dû deviner
Qu'il ne fallait pas l'appeler.
Il tourna lentement la tête
Et, comme s'il avait eu peur
Que je lise en son coeur de bête,
Il redevint simple blancheur.

Maurice Carême

J'écris de la poésie, inquiétude, sourire,
rire
dormir
je continue pendant un certain temps
tout comme la plupart d'entre nous
tout comme chacun d'entre nous ;
parfois, je veux embrasser toute
L'humanité sur la terre
et dire :
Dieux soyez damnés pour tout ce que vous faites tomber
sur nous,
nous sommes courageux et bon
même si nous sommes égoïstes
et nous nous entre-tuons et
nous tuons,
nous sommes le peuple
né pour tuer et mourir et pleurer dans les salles obscures
et l'amour dans les salles obscures,
et attendre, et
attendre et attendre et attendre.
nous sommes le peuple.
nous ne sommes rien
de plus.
Charles Bukowski

La Belle Rafaela par Tamara de Lempicka (1927)
«L'artiste a rencontré le modèle lors d'une promenade dans un parc public à Paris en 1927, et l'a ramenée à l'atelier. Cette fille est devenue son modèle et sa maîtresse, et elles ont produit six tableaux ensemble au cours des mois qui ont suivi.
"... Ce qui a été très émouvant ... la dernière toile sur laquelle travaillait Tamara quand elle est morte en 1980, était une copie de cette même belle Rafaela de 1927. Donc 53 ans plus tard, cette jeune fille était toujours dans ​​son esprit. "

J'enveloppe ces mots
dans de la lingerie
Avant de les servir
Sur un lit, nue
En espérant que vous ne verrez pas
Toutes mes imperfections
Qui me rendent
Si totalement  vulnérable
S'il vous plaît, prenez ces mots
Que je vous lance
Gardez-les en vous pendant un certain temps
Puis rendez-les moi
Enveloppés dans la douceur de vos lèvres

Je vous en ai déjà parlé mais je vous propose des photographies qui vous feront voir la vie en rose.
L'un des symboles les plus connus du printemps au Japon ce sont les magnifiques cerisiers japonais roses, aussi appelés sakura. Dès la mi-Mars, l'Internet est inondé avec des images étonnantes de toutes les variétés de rose, qui fleurissent dans les parcs et les rues de différentes villes du Japon.
Même si sakura est la fleur nationale officieux du Japon, aujourd'hui cela s'est étendu à de nombreux autres pays aussi, la plupart du temps en raison de la diaspora japonaise. La floraison de sakura est certainement l'un des plus beaux sites à chaque printemps, partout où vous les trouverez.
J'en ai 3 en bas de ma rue, je vais regarder leur floraison avec plus d'attention et d'amour cette année.

Hitting the Right Note, Maria SzanthoJeune Danseuse au Tambourin, Maria SzanthoJeune Fille au Tambourin, Maria SzanthoNude Beauty, Maria SzanthoSleeping Leda, Maria Szantho

La déesse Nyakakaikuru du mythe Bunyoro / Banyoro, Bunyoro était situé dans et autour de l'actuel Ouganda.
Cette déesse du soleil a été dépeinte comme une vieille femme portant le soleil dans le ciel en le balançant sur sa tête, de la façon dont les paniers et d'autres fardeaux sont portés dans différentes cultures. A la fin de chaque journée après avoir effectué sa cargaison de cette manière à l'ouest Nyakakaikuru se retirait en ôtant la partie supérieure de la tête. Elle paraissait alors dévorer tout le système solaire "viande" hors du soleil, comme son repas du soir. La déesse du soleil aurait alors jeté le soleil "os" à Ruhanga, la divinité suprême du panthéon du Bunyoro. Ruhanga, qui était le mari de Nyakakaikuru et son père tout dépendait de l'histoire, entraînerait un nouveau soleil pour former autour de l'os pour le  lendemain. De cette manière, chaque matin un soleil frais était prêt à être porté dans le ciel par Nyakakaikuru.

"Vous attirez l'énergie que vous mettez en vous. L'Univers va continuer à vous envoyer des problèmes et des ennuis tant que vous n'aurez pas réglé ces problèmes et ces ennuis à l'intérieur de vous. Une fois cette question résolue, le problème ne stimulant plus votre évolution personnelle il n'a donc plus besoin de se produire. Par conséquent le bonheur se trouve dans un changement de perspective dans le moment présent. Optez pour la liberté.
Choisissez la libération et regardez un monde de magie et de bonheur s'ouvrir à vous. "