Architecte d'origine iranienne, l'Américain Nader Khalili s'est d'abord distingué dans la conception de gratte-ciel. Puis il s'est intéressé aux techniques de construction anti-sismiques, avant d'imaginer le "Supradobe", une maison pratiquement indestructible… qui pourrait bien se retrouver un jour sur la Lune.

Si le village expérimental qu'il a construit à Hesperia, à l'orée du désert au nord-est de Los Angeles, a des allures de taupinière, ce n'est pas par hasard. Les immeubles hauts tout au plus de trois mètres sont en effet construits avec les matériaux extraits du sol à quelques pas de là. Et leur allure, pour être rustique, flatte bien mieux l'œil que nos impersonnels cubes de béton.
Tout repose sur le principe de la forme arrondie, explique Nader Khalili. La forme en cube des maisons traditionnelles, celle qui bouche nos paysages, c'est l'idéal pour qu'elles s'écroulent un jour, tandis qu'un arc, s'il est bien construit, ne tombe jamais, déclare-t-il en substance.

On entend encore peu parler des designers chinois, mais cela pourrait bien changer en 2013 !
À l’occasion du salon Get It Louder qui a lieu tous les deux ans en Chine et qui sert de tremplin aux jeunes designers, artistes et réalisateurs chinois, le studio People's Arhitecture Office a présenté sa maison tricycle. La maison tricycle, comme son nom l’indique, est une habitation construite sur un tricycle, et au pays où le vélo est roi, c’est un peu la version chinoise du camping-car. Cette habitation originale répond à trois problématiques : Difficultés de se loger en raison des prix exorbitants des loyers dans les grandes villes du pays, non respect du droit de propriété et développement durable.

Tendons, ligaments, articulations,
métacarpiens,  poignets, palmaires
côté, face dorsale. il y a
27 os dans le poignet et
la main, 27 os pour saisir,
tenir,  toucher,  utiliser caresser. je vous jure
que je peux sentir chaque rainure,
aspérité sur la peau de
 vôtre main. Je pourrais même tracer votre
empreinte digitale s'il le fallait.

Chérissez votre solitude.
Prenez le train seul(e) vers des endroits où vous n'êtes jamais allé(e).
Dormez seul(e) sous les étoiles.
Apprenez à changer un levier de vitesse.
Allez si loin que vous cessez d'avoir peur de ne pas revenir. 
Dites non quand vous ne voulez pas faire quelque chose.
Dites oui si vous vous sentez fort(e), même si tout le monde autour de vous n'est pas d'accord.
Décidez si vous voulez être aimé(e) ou admiré(e).
Décidez  qu'il est  important  de découvrir ce que vous faites ici.
Croyez en un baiser. 

Les divinités solaires et le culte du soleil ont existé  pendant la majeure partie de l'histoire enregistrée sous diverses formes. Par conséquent, de nombreuses croyances se sont formées autour de ce culte. Il se trouve dans l'ancienne Egypte, l'Afrique, la mythologie aztèque et la chinois, le bouddhisme, l'hindouisme et le christianisme.
La déesse solaire Inuit Malina ou Seqinek
Les Inuit ont plusieurs histoires qui remontent à leurs origines. Pour Les Inuit traditionnels, ces histoires sont très importantes. L'une d'elles parle de Malina, la déesse du soleil, et d'Anningan, le dieu de la lune. Cette tradition orale inuite raconte qu'à une certaine époque ces deux dieux vivaient ensemble comme frère et sœur. Une nuit, Anningan a attaqué sa sœur. Pendant le combat, une lampe remplie d'huile de phoque s'est renversée et l'huile a noirci les mains de Malina. En repoussant Anningan, elle lui a sali le visage avec ses mains. Malina s'est enfuie en courant le plus loin possible dans le ciel. Anningan s'est lancé à sa poursuite et continue encore aujourd'hui à la poursuivre. Il la poursuit tellement que chaque nuit il devient de plus en plus maigre. C'est pour cette raison que la lune devient un peu plus petite chaque soir du mois. À la fin du mois, Anningan disparaît pendant trois jours pour manger. Puis il recommence à poursuivre Malina partout.

Bien que des histoires comme celle-là peuvent paraître étranges à plusieurs d'entre nous, elles nous disent que tout ce qui existe est vivant dans le monde des Inuits. Les Inuit ont des histoires pour presque tout ce qui arrive.

Coup de cœur pour la photographe Helga Laufey Guomundsdottir qui nous propose de superbes clichés de la région « Landmannalaugar » située près du volcan Hekla, dans le sud de l’Islande. Des paysages magnifiques et une vue très impressionnante, à découvrir en détails dans la suite de l’article.

"Le meilleur sujet est une personne intéressante peinte d'après nature. Quand je peins à partir d'une photo, je ne peins qu'une compréhension statique de l'être humain. C'est le portrait qui développe et approfondit les Œuvres d'artistes."
- Adrian Gottlieb (artiste américain né en 1975)
Quand on voit les tableaux de Gottlieb en personne, on est immédiatement frappé par la qualité de son travail pictural. La passion de Gottlieb reste centrée sur des compositions figuratives. C'est dans ce genre qu'excelle Gottlieb, infusant la surface à deux dimensions avec une qualité lumineuse et qui véhicule l'illusion de la force vitale.

Ces  colonnes se sont formées quand la lave s'est refroidie. La lave, en se refroidissant, a formé des fissures. Une fois que la fissure a commencé à se développer, elle ne cesse de croître. La croissance est perpendiculaire à la surface de l'écoulement. L'entablement est probablement le résultat d'un refroidissement de lave fraîche causé en étant recouvert par l'eau. La forme des basaltes a probablement été créée par l'eau. Lorsque l'eau recouvrait les basaltes, elle s'infiltrait vers le bas et provoquait des fissures dans la lave. La division de la colonnade et l'entablement est le résultat d'un refroidissement lent, refroidissement de la base vers le haut et rapide de haut en bas.

Nous voulons tous être aimés ... pour être heureux. Alors, pourquoi ne le sommes nous pas ?
Parce que nous sommes devenus des experts en sabotage de notre propre bonheur.
Se sentir comme des victimes, alors qu'en fait ce sont les choix que nous faisons, les mauvaises habitudes, les vices, l'incapacité à montrer de l'amour et de la compassion.
Ce sont ces choses-là  qui nous abattent.
Nous ne sommes pas des victimes. Nous sommes des assassins quand il s'agit d'amour et de bonheur.