• Yuri Yarosh est né en Biélorussie en 1969. Il vit et travaille en Espagne. C'est sans aucun doute un grand artiste, un maître dans le domaine de la couleur. Il est un artiste extraordinaire qui sait et montre ce qui a toujours été, parce que même il a beaucoup étudié et pratiqué, le fait est qu'il est un artiste inné, un privilégié qui  laissera des traces indélébiles dans le monde entier.

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    Comme notre monde a changé.
    Après la guerre, notre région était restée très catholique et ça se voyait.
    Là  où je vis, il y a, en bas de la rue, une statue de la vierge et au mois de mai, tout un groupe de catholiques venait, avec le curé, y faire une prière, au grand désespoir de mon papa qui bouffait un peu du curé lol
    Il y avait les grandes processions avec reposoirs construits près des endroits portant des noms de saints ou de la Vierge, avec pétales de fleurs jetés sur le sol. Nous allions de l'un à l'autre et ça faisait une sacrée trotte.
    La plus belle procession que j'ai vue c'était à Vannes, nous devions être en vacances, ma tante nous avait emmenés dans un jardin qui surplombe les remparts et là ... une processions énorme avec tous ces prêtres chamarés sous des dais dorés et colorés, portés par 4 hommes, un peu à l'espagnole quoi ... Mes yeux d'enfant avait été éblouis.
    J'ai connu les processions de Pâques, en Espagne, avec les pénitents, c'est très impressionnant.
    On ne processionne plus par chez moi ... peut-être à Bon Garand au 15 août ? Je pense que c'est plus un pélerinage qu'une procession.
    Mais où est notre Eglise d'antan ? lol


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    Alors là, que je vous conte ... mes zoziaux ..
    Mes zoziaux de cage, c'est un enchaînement qui fait que actuellement j'ai un bengali de Bombay et un Mandarin. Le mandarin est le dernier arrivé, nerveux, gros à côté du bengali ... ne cherchant pas de rapprochement. Mais depuis quelques jours, au lieu d'être chacun sur son barreau, ils étaient côte à côte. J'ai déjà eu un mandarin, moins beau que celui-là, il dormait dans le nid. Celui-là a fait le ménage du nid et la nuit s'y est installé. Ce soir, je les couvre, je ne vois personne, je me hausse sur la pointe des pieds et je vois deux tronchettes qui dépassent du nid. Je trouve cette amitié qui s'est crée entre ces deux inconnus que tout séparesi  belle, touchante.
    Là, ils sont dehors, le bengali pépie mais des fois il a un sifflement modulé magnifique.
    J'entends aussi des bruits de bombardier, ce sont les pigeons ramiers qui viennent casser la graine en grande délicatesse !!!!

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  • Par SuperNo

    Messieurs et dames, comme vous avez pu le constater, et peut-être le déplorer, je vous abandonne quelque peu depuis quelque temps déjà. J’ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer : il est probable que cela continue. Il n’est même pas à exclure que je ne redémarre jamais. Une conjonction de problèmes familiaux est venue s’ajouter aux problèmes professionnels que vous connaissez déjà, me bouffant du temps et de l’énergie. Mais il y a pire : alors que certaines choses s’arrangent, je m’aperçois que je n’ai plus la moindre envie de me remettre devant mon clavier pour raconter mes bêtises habituelles.

    amis” de “gauche” ou “verts” qui vont pourtant se précipiter en masse, langue pendante, comme les gamins se précipitent pour ramasser les bobs Cochonou sur la caravane du Tour de France, pour faire allégeance à ces prétendus “socialistes” et rafler les quelques fromages municipaux qu’ils auront la bonté de bien vouloir leur laisser. Pas envie de commenter une hypothétique présidentielle entre Valls et Sarkozy que les médias veulent déjà nous vendre quatre ans à l’avance.

    La politique ne devrait pas être un métier, encore moins un moyen de s’enrichir et de se goberger à nos frais tout en se foutant de notre gueule. Mais je n’ai même plus le droit de dire ça sans passer pour un fasciste ou un allié objectif du FHaine. Alors pour l’instant, je vais continuer à me taire. Tout en remerciant les quelques personnes qui se sont inquiétées de mon sort et en les rassurant : je vais bien, merci…
    Bonnes vacances et à la prochaine.

    SuperNo.com
    Chez Altermonde-sans-frontières

    freedom


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  • En refusant d’accorder à Edward Snowden l’asile politique, ou du moins en montrant une grande frilosité à se poser la question, la France conchie les libertés fondamentales inscrites dans sa Constitution, elle conchie ce qui est censé être notre ciment social.
    Bluetouff chez Altermonde-sans-frontières

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  • Bleus, légers, le jardin est encore dans la fraîcheur de la rosée.
    Les oiseaux chantent, j'entends même un coq ...

    "Accepter ce que la vie vous offre et essayer de boire chaque tasse.
    Tous les vins devraient être goûtés,
    certains ne devraient être que dégustés,
    mais avec d'autres, les boireà la bouteille !!!"
    Paulo Coelho
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  • Ensoleillé mais juste ce qu'il fallait comme chaleur.
    Beaucoup de luminosité ... un petite brise ...
    Que demander de plus ?

    Nous sommes tellement engagés à faire des choses pour atteindre des objectifs de valeur externe
    que nous oublions totalement la valeur intérieure.

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    Dans la matinée du 4 Septembre 1957, elle avait quinze ans, Dorothy Counts a pris le chemin difficile de Harding High, , elle fut la première Afro-Américaine à fréquenter l'école des blancs - elle a été accueillie par un essaim railleur des garçons qui lui ont craché dessus, jeté des détritus, et crié des insultes quand elle entra dans le bâtiment.
    Charlotte Observer photographe et Don Sturkey ont capturé cet incident si laid sur un film, et dans les jours qui suivirent, l'image fulgurante paraissait non seulement dans le journal local, mais dans les journaux à travers le monde.
    Partout, les gens ont été touchés par la jeune fille sur la photo, elle était grande, son corps de cinq pieds dix pouces dominait noblement la foule qui la conspuait. Là-bas régnait en maître la brutalité du racisme, une force sinistre qui avait conduit les enfants à tourmenter un autre enfant tandis que les adultes se taisaient. Alors que les images montrent ces maux : les préjugés, l'ignorance, le racisme, le sexisme, les inégalités, il capte aussi la vraie force, la détermination, le courage et l'inspiration.
    Comme Rosa Parks, dans un bus, qui osa refuser de donner sa place à un blanc ...

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  • chaussons-copie-1.jpg Je suis d'une génération où on nous a tout appris des travaux manuels, entre l'école et la maison.
    Bizarrement, ayant été élevée par deux femmes, ma mère et ma grand'mère, elles ne m'ont pas appris à aimer ni à faire la cuisine. Pourtant quand je fais une sauce, je pense à Mémé dont c'était la spécialité.
    La couture, la broderie, le tricot, le crochet ... tout ce qui devait être utile à une femme ... au foyer.
    Sauf que moi j'ai travaillé et j'ai oublié tout ça ...
    J'ai bien tricoté quelques bricoles à la naissance de mes filles.
    Où je me suis vraiment éclatée c'est à la retraite quand j'ai commecé le point compté et que ne me suis mise au bricolage. Au moment des fêtes carillonnées, genre Pâques et Noël, je créais pour les petits.
    Comme j'ai aimé.
    Quand je vois la beauté simple de ces petits "tongs" de minot, je suis émue ...
    Je ne sais pas si un petit marche bien avec ça, mais que c'est joli et émouvant ...


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  • Chacun doit laisser quelque chose derrière soi à sa mort. Un enfant, un livre, un tableau, une maison, un mur que l'on a construit ou une paire de chaussures que l'on s'est fabriquée. Ou un jardin que l'on a aménagé. Quelque chose que la main a touché d'une façon ou d'une autre pour que l'âme ait un endroit où aller après la mort ; comme ça, quand les gens regardent l'arbre ou la fleur que vous avez plantés, vous êtes là.
    Ray Bradbury
    Comme ça me parle moi qui vis au coeur de leur maison, de leurs objets, des arbres qu'ils ont plantés dans le jardin.
    Ils sont là, toujours près de moi, pour les joies partagées, pour le réconfort toujours offert.
    Ma vieille maison rose ...

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