Le pont des Marchands est un pont de Narbonne, en Languedoc-Roussillon, dont l'origine remonte à l'époque romaine. Il franchit le canal de la Robine et a la particularité d'être un des rares ponts encore habités de France.
http://www.wiki-narbonne.fr/index.php?title=Pont_des_Marchands

Le Royaume de Thulé ...
Les rares éléments écrits de Pythéas parvenus jusqu'à nous ne nous permettent pas aujourd'hui d'identifier Thulé avec certitude. Certains auteurs ont avancé l'hypothèse qu'il s'agissait des îles Féroé, des Lofoten et même du Groenland mais compte tenu des indications de Pythéas, il s'agit plus vraisemblablement de l'Islande voire de la Norvège qui pouvait à l'époque être considérée comme une île. Paul Gruyer, dans son livre Ouessant, Enez Heussa, l'île de l'Épouvante1, publié en 1899, rapporte l'ancienne tradition orale qui faisait d'Ouessant la mythique Thulé, tradition déjà rapportée un siècle plus tôt par Jacques Cambry dans son Voyage dans le Finistère.
Pythéas n'indique pas avoir atteint Thulé. Il révèle simplement qu'elle est située à six jours de navigation depuis la Grande-Bretagne à des latitudes proches du cercle polaire. Certains auteurs ont imaginé que les indications de Pythéas concernant des populations pratiquant la culture du blé et l'élevage des abeilles se rapportaient à Thulé et à ses habitants. S'il s'agit vraisemblablement de peuples rencontrés au cours de son voyage dans le nord de l'Europe, rien n'indique qu'ils étaient les habitants de Thulé.
À une journée de navigation de Thulé, Pythéas dit avoir atteint le « Poumon marin », une zone où la navigation n'était plus possible, et que certains ont interprétée comme étant la banquise.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Thul%C3%A9_%28mythologie%29

Felix Mas est un peintre espagnol né à Barcelone, en 1935. Il a étudié l'art à Saint Jordi et rejoint l'armée, où il est resté jusqu'en 1957. Après avoir quitté l'armée, il rejoint l'agence de l'art espagnol Seleciones Illustrada et a commencé à travailler pour diverses bandes dessinées d'amour pour des entreprises comme Fleetway et Valentine. Il a également attiré l'histoire de détective lieutenant Kane pour TV Heroes. Pendant les années 1960 Mas a travaillé en Scandinavie comme illustrateur. Il est retourné à la bande dessinée en 1969 avec Romeo de DC Thomson.
http://www.artnet.com/artists/felix-mas/past-auction-results

Par Philippe Bilger

J’ai fait un songe. Je m’adressais à Nicolas Sarkozy et il m’écoutait. Je lui disais et je m’en souviens comme si c’était aujourd’hui. Vous savez, monsieur le président, il y a des effacements qui ont de la grandeur. Vous avez été un candidat exceptionnel en 2007 et votre quinquennat, quoi qu’on en pense, a fait pâlir l’étoile de celui qui nous avait promis monts et merveilles. Vous avez à nouveau affronté l’épreuve politique reine en 2012 et vous avez été défait par François Hollande que vous considériez pourtant, paraît-il, comme un "nul".

À la force du ressentiment et de l’impatience, vous avez été élu, sans gloire mais nettement, président de l’UMP et depuis que vous assumez cette charge, ce parti se porte plutôt mieux même si on attend toujours, au-delà des programmes de chacun, un véritable projet de la part d’une droite à la fois intelligente, courageuse et exemplaire. Ne jugez pas, je vous prie, cette interrogation comme iconoclaste : et si vous vous arrêtiez là ? Si vous consacriez votre formidable énergie d’abord à la poursuite de cette éprouvante entreprise qui consiste à faire d’un conglomérat d’ambitions un collectif de combat, de conviction et d’avancées démocratiques ? À susciter une envie de retour chez les déçus, les égarés ? Ensuite, et accessoirement, si vous en avez envie, à la tenue de conférences grassement rémunérées, mais de préférence ailleurs que dans des pays comme le Qatar ou l’Arabie saoudite qui subventionnent le terrorisme ? Il y a des reculs qui sont des victoires.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article27978

Par Philippe Lançon

Dans la chambre d’hôpital où je vis depuis un mois et demi, je n’ai pas pris l’option télé. Ce n’est naturellement pas le cas de la plupart de mes voisins de couloir, parfois très seuls, très peu lecteurs, pour qui l’écran est une indispensable compagnie. Certains l’écoutent très fort, en permanence, comme pour devenir sourds (à moins qu’ils ne le soient déjà un peu ou beaucoup) à l’incommodité et à l’angoisse qui constituent l’ordinaire du patient. Il y a ici des cancéreux, des accidentés, des suicides manqués, des petits mecs après baston de trottoir ou de sortie de bar, parfois des détenus. Ce qui nous rassemble tous, ce qui nous isole, c’est une gueule plus ou moins cassée. Nous sommes le clan occasionnel des mâchoires qui ont chu.

Pourquoi ne pas avoir pris la télé ? Quatre-vingt-huit euros par mois pour de la connerie à flux continu, c’est un peu cher, et, question flux, je préfère encore celui, discret, des aliments inconnus qui me nourrissent par sonde gastrique. Mais l’argent n’est pas la question, et le problème de la télé, au lendemain du 7 janvier, s’est posé autrement. J’étais alors dans un autre monde, un pied ici, un pied ailleurs, et je ne pouvais parler. J’étais dans le monde flottant des survivants. Les survivants n’ont pas besoin d’images ; ils les vivent, en huis clos et sur un mode répétitif qui laisse loin derrière les les exploits bégayés des chaînes d’information en continu. J’écrivais de grands mots sur de grands cahiers. Quand je fermais les yeux, je voyais battre sous mes paupières la cervelle d’un ami mort à moins d’un mètre de moi, et dont je tairai le nom. J’évitais de fermer les yeux, donc de dormir. Ma famille m’informait brièvement de la progression des recherches quant aux assassins, jusqu’au moment où quelqu’un m’a dit : « Ça y est. On les a butés. » J’appris un peu plus tard qu’ils étaient deux frères et s’appelaient Kouachi. Les jambes noires et le bout d’arme que j’avais vu s’approcher de moi, allongé à terre, appartenait donc à l’un des deux. Il aurait sans doute fallu faire coller ce que nous avons vécu ce jour-là, à Charlie, avec ce que journaux et télés nous apprenaient maintenant de nos assassins, de ces faux jumeaux en guerre. C’était, en tout cas pour moi, impossible. Ça ne collait pas. On me parlait d’un événement qui n’était pas le mien. Ceux qui m’avaient tiré dessus étaient des fantômes venus d’un autre âge, d’une autre planète, ou d’un film de série Z. Leur irruption avait déchiré nos vies, la mienne. La déchirure reste concrète ; les tueurs, abstraits.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article27975

Il crachinerait même un peu ...
Mais une douceur ... lourde, presque tropicale lol
Bonne journée !
La plupart des gens ont besoin d'amour et d'acceptation.
Ils ont besoin beaucoup plus de cela que de conseils.
Bob Goff

Le vol du bourdon ... un bruit bien sympathique !
J'ai peur que son vol soit court !
Bonne soirée et à demain !
Les gens grandissent quand ils sont aimés.
Si vous voulez aider les autres à guérir, aimez-les.
Mike McHargue

ne pomme de senteur, également nommée pomme d'ambre, pomander, pomandre4 ou pommandre est un bijou en métal précieux ciselé contenant des parfums comme l'ambre gris, la civette ou le musc.
La première mention de pomme d'ambre, ou pomander, désigne une pépite d'ambre gris enchâssée dans une boule de senteurs. On lui prêtait des vertus curatives mais aussi aphrodisiaques. Le premier pomander est cité en 1174 dans un texte décrivant le présent offert à l'Empereur Frédéric Barberousse par le roi Baudouin de Jérusalem. Il le remerciait ainsi de son aide dans la lutte contre les infidèles. À partir du XIVe siècle, le terme de « pomander » désigne l'objet où prend place la boule odorante. Il est constitué d'une petite cage sphérique s'ouvrant à l'équateur par une charnière et un ressort. Au temps de la Renaissance, les pomanders deviennent pièces d'orfèvrerie, ciselées en or, argent ou vermeil. Au tournant du XVIe siècle, ils s'ornent d'incrustations de perles, émaux ou pierres précieuses, grenat, rubis, topaze, émeraude ou diamant. Munis d'un pied, ils s'ouvrent en quartiers sur de petits réceptacles pouvant réunir plusieurs parfums sous forme de pâte ou de poudre.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pomme_de_senteur

Quand vous voyez ce gros lard, vous pouvez penser que la chasse au lion en Afrique doit être une tâche facile. Comme vous pouvez le voir, pour ce qui est de la condition physique, cet homme n'est pas au top pour un safari sauvage. Mais la seule chose qu'il a eue à faire c'est de pointer un fusil et tirer.
Vous pourriez vous demander pourquoi le lion n'attaque pas le gros méchant chasseur ? c'est très simple : parce que le lion est apprivoisé, et comme il a été élevé par l'homme il n'a pas peur. Cette pratique répugnante connue comme "la chasse en conserve" est rendue possible par le gouvernement sud-africain qui aime remplir ses poches avec l'argent du sang de leur faune.
L'Afrique du Sud est maintenant pleine de fermes rouges de sang, pratiquant cette chasse en conserve, où les touristes du mond entier viennent trouver des sensations en tuant. Des voyages à tuer brutalement des lions apprivoisés dans des enceintes hautement clôturées avec des chiens. Les lions sont arrachés à leurs mères au bout de quelques jours et mis dans des projets de zoo avec des bénévoles et des caresses. Une fois qu'ils trop grands pour être caressés, ils sont mis dans de minuscules enclos pour grandir et devenir des «trophées» appropriés pendant plus de deux ans. Puis ils ne sont libérés dans une enceinte plus grande où ils seront fusillés.
Mais avez-vous réalisé que nous avons des "ranchs" semblables ici aux États-Unis ? Faut-il rappeler que Dick Cheney a accidentellement tiré sur un compagnon de chasse, lors d'une  chasse de conserve sur un ranch de chasse au Texas il y a plusieurs années ...  Quelqu'un qui tue juste pour l'"amour de la mort" a quelque chose de mauvais, de gravement malade, en lui. Aucune intégrité ni l'amour de la vie. Je n'ai aucun respect pour les pays et les personnes qui organisent ces chasses ... ces meurtres.

Pourquoi les hommes d'aujourd'hui ont toujours l'impression d'avoir inventé la poudre ?
Autrefois, nos campagnes étaient partagées entre les arbres, les haies, les cultures et les herbes sauvages. Tout fonctionnait naturellement parfois avec richesse, parfois dans les tourments d'une famine.
Puis, l'industrie américaine nous a saisie, on a acheté des grosses machines, les haies et les arbres ? on supprime ...
Et l'homme de 2.000 vient d'inventer l'agroforesterie ...
On replante les arbres, les haies et au milieu on met les cultures et on laisse les herbes sauvages ... et c'est moderne, et c'est dans le vent.
Hier soir on nous a expliqué que les arbres et les haies c'était plein de richesses, c'était bien pour biodiversité et même que les feuilles qui tombent à l'automne ça faisait de l'humus ...
Bon, ils seraient venus me demander, moi fille de la ville qui était campagne avant, je leur aurais dit que c'était mieux avant ...
Si seulement ils redécouvraient le travail manuel plutôt qu'à la chaîne ...
http://fr.wikipedia.org/wiki/Agroforesterie