• Le vent ...


    Ce n'est pas moi, non pas moi, mais le vent qui s'engouffre en moi !
    Un vent léger souffle sur la nouvelle marche du Temps
    Pourvu qu'il m'emporte, m'entraîne, pourvu qu'il m'entraîne !
    Que je sois sensible, subtil, délicate offrande ailée
    Pourvu que, faveur suprême, je me rende et me livre au beau vent léger, si léger,
    qui parcourt le chaos du monde
    Tel un parfait, exquis ciseau, un burin pénétrant ;[…]
    O je voudrais, pour la merveille qui bouillonne en mon âme,
    être une bonne source, une bonne fontaine,
    Sans troubler nul murmure, sans enlaidir nulle parole.
    David Herbert Lawrence,
    Chant d'un homme qui a triomphé


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  • La vie ...

    Même si tout s'arrêtait là,
    Au dernier souffle, à la fosse, à la cendre,
    Même s'il me fallait descendre
    Ces escaliers qui ne conduisent nulle part,
    Cela valait la peine d'être né,
    D'avoir bu à longs traits le vin de l'existence,
    D'avoir connu des joies et des douleurs intenses
    D'avoir aimé, d'avoir lutté, d'avoir pleuré.
    Je n'ai pourtant pas fait des étincelles,
    Rien que ces choses que l'on dit très ordinaires.
    Mes fautes ne sont pas des actes mais des manques.
    Je confesse ma médiocrité.
    Mais j'ai parfois marché sur l'eau, flotté dans l'air,
    Je me suis vu sur la plus haute vague,
    J'ai respiré un peu d'éternité.
    Liliane Wouters


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  • Punda a été la première région à Curaçao à être colonisée par les Hollandais, et aujourd'hui elle est devenu célèbre pour l'excellent état de ses couleurs, ses bâtiments du 18e siècle. Au début de sa construction, ce quartier a été appelé «De Punt"'(Le Point ), un nom qui a fini par devenir Punda.
    Les bâtiments les plus historiques se trouvent à Punda, au Fort Amsterdam, au Fortkerk, à la Mikvé Emmanuel-Israel Synagogue. Et le Handelskade est un ensemble de bâtiments multicolores le long du front de mer, qui est devenue l'image la plus emblématique de Curaçao.
    https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://curacao.for91days.com/the-historic-neighborhood-of-punda/&prev=search

    http://whc.unesco.org/fr/list/819

    Un petit air de Hollande ...

     


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  • Le terme Rooibos provient de l’Afrikaans et signifie « buisson rougeâtre ». On l’appelle d’ailleurs « thé rouge » en Occident.
    Contrairement à ce qu’on pense, le rooibos est un arbuste qui ne fait pas partie de la famille des thés mais des Fabaceae comme les acacias, et qui ne pousse que dans les montagnes d’Afrique du Sud. Toutes tentatives de le faire pousser ailleurs ont échoué.
    http://ileauxepices.com/blog/2013/05/09/le-rooibos-vertus-histoire-et-preparation/wpid2210/

    Une boisson à la mode ...


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  • Le pont Taushubetsu fait partie des ponts ferroviaires originaux qui sont devenus le premier patrimoine de l'île d'Hokkaido, les vieux chemins de fer nationaux Shihoro et le pont à arches en béton. Le pont qui se trouve à l'intérieur d'un lac est aussi appelé un «pont fantôme" parce que le niveau de l'eau du lac change radicalement avec les saisons, et le pont est parfois entièrement recouvert.
    https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://visit-tokachi.jp/en_activity/en_nat2413&prev=search

    Un pont fantôme ...


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  • Komebukuro : les sacs de riz
    Les sacs komebukuro etaient traditionnellement utilisés dans la société japonaise pour porter le riz en offrante au temple durant les cérémonies religieuses importantes, et en d’autres occasions pour porter un présent aux personnalités et aux êtres chers. Comme bien d’autres traditions japonaises historiques, celle-ci a disparu et on ne fabrique plus que rarement des sacs komebukuro.
    Chaque sac komebukuro était cousu à la main dans le style patchwork et conçu individuellement avec un choix particulier de tissus. Typiquement, le sac est fermé par une cordelette de coton.

    Le Japon, les tissus, la couture ...


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  • Chittorgarh représente l'essence de l'esprit Chattari, la caste supérieure des Rajputs : fierté, romantisme et panache, puisque les habitants de Chittor ont toujours choisi de mourir plutôt que de se rendre à quiconque. Son histoire d'héroïsme et de sacrifice résonne encore aujourd'hui dans les chansons des bardes du Rajasthan. Son énorme citadelle en ruine est un symbole du courage et de la noblesse des traditions rajpoutes, en même temps que de l'aspiration de l'Inde tout entière à la liberté.
    On considère que Chittor a été bâtie au VIIe siècle. Elle fut d'abord nommée Chitrakut, d'après Chitrangada Mori, un chef Rajpoute figurant sur d'anciennes monnaies du Mewar. Le fort est entouré d'une muraille circulaire et accessible seulement par 7 portes successives. Selon certains récits, il était aux mains du clan Rajpoute des Mori lorsque Bappa Rawal, fondateur du royaume de Mewar, s'en empara et en fit sa capitale en 734. Selon d'autres sources, Bappa Rawal le reçut comme partie de la dot de la dernière princesse Solanki. Ses descendants régnèrent sur le Mewar, qui s'étendait du Gujarat jusqu'à Ajmer, jusqu'au XVIe siècle et, hormis quelques brèves interruptions, Chittor resta leur capitale durant 834 ans (leurs prédécesseurs de la dynastie Guhilot avaient régné depuis Idar, Bhomat et Nagda).
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Chittorgarh

    Nos illusoires forteresses ...


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  • Julie Etheridge est née et a grandi à Glenwood Springs, Colorado. Elle a grandi au coeur de majestueuses montagnes, mesas, monuments, champs, changement de saisons et la faune. Elle a fréquenté le Mesa State College où elle a obtenu  un baccalauréat en administration des affaires et a commencé une carrière professionnelle dans l'éducation, puis s'est mariée et a élevé 3 garçons.
    Quand ses enfants étaient petits, elle a commencé à peindre une nuit pendant qu' ils dormaient. Ce fut  comme une étincelle. Julie a signé pour un cours d'art à l'université locale et elle a commencé à peindre sous les conseils de Dale Peterson. Il avait le même style de peinture, et l'a guidée, et encouragée à poursuivre sa carrière de peintre.
    La philosophie de Julie  est de capturer une scène ou un sujet avec l'intention de raconter l'histoire.
    http://julieethridge.com/

    Le monde de Julie ...


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  • La défense des libertés n’est pas un luxe d’intellectuels

    Par Raoul Marc Jennar

     

    Se battre pour défendre les libertés n’est pas un combat dérisoire, une sorte de luxe pour intellectuels en quête d’une bonne conscience acquise à bon marché.

     

    Je suis consterné par le dénigrement que provoque la défense des libertés chez certains, comme Franz-Olivier Giesbert, au journal de 20H de France 2, nous en a fourni l’illustration l’autre soir. Consterné, parce qu’ils passent par pertes et profits l’effacement en quelques semaines de libertés qui ont réclamé des décennies de luttes pour être conquises. Consterné par ce refus de reconnaître ce lien indissociable, sans cesse souligné par Jaurès, entre démocratie politique et démocratie sociale, hors duquel la République est un projet inachevé. Consterné par cette ignorance de l’Histoire qui amène bien des gens à s’engouffrer dans les erreurs du passé. Mais qui connait encore l’Histoire, aujourd’hui en France, où la transformation de l’Éducation nationale (vendue à Microsoft) pour en faire une machine à fabriquer non pas des citoyens mais des clients-consommateurs, est à l’œuvre ?
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article30530

    Qui nous réveillera ?


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  • Après l’Europe centrale, l’Afrique subsaharienne et le Moyen-Orient, c’est maintenant en Syrie et à nouveau en Irak que la France mène la guerre en attendant d’intervenir en Libye. Il est vrai qu’en cinq cents ans, la France a été engagée 110 fois dans un conflit armé. La France est perpétuellement en guerre. Même si les médias en parlent peu, la guerre continue. Elle tue des civils qui n’ont droit qu’au silence. Car aucune frappe n’est chirurgicale. Les civils tués sous nos bombes valent-ils moins que les civils tués sur notre sol ?

    La guerre s’annonce infinie, en Syrie, en Irak, en Libye, au Mali et ailleurs où la France continue sa politique postcoloniale et impose par les armes une morale des Droits de l’Homme dont elle juge, unilatéralement, qu’elle est la seule gardienne. Certains s’indignent de l’État d’urgence sans condamner les interventions françaises. C’est là une bien courte vue limitée au confort des libertés publiques « chez nous ». Mais comment refuser l’État d’urgence et sa constitutionnalisation sans ­dénoncer la guerre qui les ­autorise  ? Comment accepter cette guerre qui, de coalitions en connivences, de confrontations de forces en réactions en chaîne, étendra fatalement le périmètre des belligérants, en suscitant, ailleurs, d’autres conflits armés  ?
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article30531

    Ces guerres qu'on nous impose ...


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