• Cet oubli qui fait peur ... à ceux qu'on oublie ...


    Un trou blanc…
    Quand la mémoire s’efface et gomme les traces des souvenirs,
    c’est un peu de soi quittant le jour pour rejoindre la clarté d’un monde parallèle.
    Je ne peux imaginer que ces petits bouts de moi disparaissent à jamais.
    Pas de Nulle part, mais un Ailleurs.
    Et ces petites fugues d’heures,
    je les retrouverai comme un panier déposé sur le bord d’un pique-nique.
    Je n’aurai alors qu’à picorer les mets d’une vie.
    Un trou blanc n’est qu’une attente.
    Sandra Dulier


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  • Le cactus qui rampe à travers le désert
    par Kaushik

    La péninsule étroite de Baja California Sur, située dans le Pacifique central au large de la côte ouest du Mexique, abrite une espèce unique de cactus connue sous le nom de «diable rampant» (Stenocereus eruca).

    Au lieu de se tenir droit comme les autres espèces de sa famille, le diable rampant repose à plat sur le sol avec seulement sa pointe légèrement surélevée. Lorsque des centaines de ces cactus grandissent ensemble dans une colonie massive, cela ressemble presque au site d'un massacre brutal, comme si quelqu'un les avait impitoyablement brisés en morceaux.
    https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=https://www.amusingplanet.com/2019/03/the-cactus-that-crawls-across-desert.html&prev=search

     

    Il vaut mieux ne pas marcher pieds nus dessus ...


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  • La Javelina

    Texas A & M-Kingsville est la seule université aux États-Unis à posséder un javelina pour mascotte. Les premiers étudiants de l'université ont choisi la javelina (en espagnol prononcé hah-vay- lee- nah et en sud texan, hah-vuh-le- nuh ) comme mascotte en raison de son comportement féroce et tenace. Les premiers élèves ont eu raison de dire que les javelinas peuvent causer de graves dommages aux hommes et aux chiens de chasse avec leurs canines de deux pouces de long, bien développées pour la coupe et le tranchage. Cependant, les javelinas ne sont généralement pas agressives et se retirent presque toujours d'une personne, à moins d'être coincées.
    Un javelina n'est pas un cochon

    Malgré les surnoms de "The Hoggies" par A & M-Kingsville, une javelina n'est pas un cochon, un porc sauvage ou un sanglier. Bien que ressemblant à un cochon, il s'agit d'un pécari à collier. Sur le plan de l'évolution, un pécari à collier est un parent éloigné des porcs sauvages et des hippopotames. Les scientifiques le connaissent sous le nom de Pecari tajacu . **
    https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.tamuk.edu/about/what_is_a_javelina.html&prev=search

     

    Connaissez-vous les javelinas ?


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  • La béchérovka ...

    La Becherovka est une boisson alcoolisée (liqueur) fabriquée à Karlovy Vary (Carlsbad), en République tchèque. Obtenue par la macération à chaud d'une vingtaine d'herbes et d'épices tenues secrètes (parmi lesquelles la cannelle, le clou de girofle et la mélisse) et par deux mois de maturation de ce macéré, additionné de sucre et d'une eau de source locale, la Becherovka titre 38° d'alcool.
    Elle est le plus souvent servie seule sur de la glace ou avec de l'eau tonique et du jus de citron pour former le cocktail appelé « Béton ».

    La Becherovka doit son nom à son créateur, Josef Vitus Becher (1769-1840), herboriste de Karlovy Vary, qui, en 1807, a imaginé cette liqueur censée traiter les aigreurs d'estomac. Au cours du XIXe siècle, la distillerie s'agrandit et la boisson s'exporte à travers l'Europe. En 1838, la petite entreprise passe entre les mains de Johann Becher (1813-1895) et celui-ci se lance dans la production à grande échelle de l’alcool. En 1945, la société, jusqu'alors restée familiale, est nationalisée et le secret de la recette est remis à l'État. Hedda Baier-Becher, ultime propriétaire issue de la famille Becher, meurt à Cologne en 2007.

    Privatisée après la Révolution de velours, l'entreprise a été cédée au groupe français Pernod Ricard. (wiki)

     

    Des boissons insolites ...


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  • La cryptozoologie, l'étude des «animaux cachés», concerne des animaux dont l'existence n'a pas encore été reconnue par la science. Ces animaux, appelés «cryptides», sont souvent des légendes, écrites comme des mythes ou des canulars élaborés. Certains cryptides célèbres sont Bigfoot, le monstre du Loch Ness et El Chupacabra, qui restent tous entourés de mystère. Cependant, de nombreux animaux largement reconnus aujourd'hui faisaient autrefois partie de ces cryptides. Les dix créatures suivantes, autrefois considérées par la science comme des produits du folklore, de l'imagination ou de la supercherie, sont maintenant officiellement reconnues comme leur propre espèce.
    Par souci de cohérence, les animaux supposés éteints à tort ne sont pas inclus (coelacanthe, pécari de Chacoan, pic à bec d'ivoire)

    Les dragons de Komodo ...

    Au début du XXe siècle, la science occidentale avait déterminé que les lézards géants n'étaient rien de plus qu'une relique du passé préhistorique. Ainsi, lorsque des pêcheurs de perles sont rentrés des îles de la Petite Sunda, en Indonésie, avec des histoires de «crocodiles terrestres» monstrueux, leurs récits ont suscité un scepticisme écrasant. Une expédition du musée zoologique Buitenzorg, à Java, a produit un rapport sur les créatures, mais les dragons légendaires de Komodo sont passés dans l’ombre à mesure que la Première Guerre mondiale prenait le dessus.

    Puis, en 1926, une expédition du Musée américain d’histoire naturelle confirma que les histoires de lézards géants étaient vraies. W. Douglas Burden, le chef de l'expédition, est revenu avec douze spécimens conservés et deux spécimens vivants. Le monde a été initié au dragon de Komodo, un lézard géant à l’écran qui peut mesurer jusqu’à dix pieds, ce qui en fait le plus grand lézard du monde. Les dragons de Komodo possèdent d’énormes griffes et des crocs avec lesquels ils peuvent tuer presque toutes les créatures de l’île, y compris les humains et les buffles d’eau. Un attribut particulièrement étrange de ces créatures est leur piqûre venimeuse, qui a été attribuée à la salive ou aux glandes à venin chargées de bactéries dans la bouche.

    L’expédition de 1926 à Komodo fut l’inspiration de King Kong, une expédition similaire sur une île étrangère révélant une mégafaune préhistorique.

     

    Des animaux imagninaires, devenus réalités ...


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  • Photographe et directeur artistique américain, Stephen McMennamy n’en finit pas de nous amuser avec son projet Combophoto bien que celui-ci existe depuis plusieurs années !

    Son principe ? Juxtaposer deux univers ou deux objets à priori incompatibles pour ne former plus qu’un et perturber notre esprit. Pinceaux-spaghetti, chat-sac, escarpin-piment… Ses collages photos, à la fois pops et surréalistes, sont bourrés d’humour et de poésie…

    Du 100% insolite, mais pas sans fun, à découvrir avec les yeux ci-dessous !
    http://combophotos.squarespace.com/

     

    Photos montages humoristiques ...


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  • Sasa Montillo est né le 19 mai 1978 . à Belgrade . Il est diplômé de l'école graphique de Belgrade. Il s’inscrit à l’école supérieure des écoles polytechniques en 1997 . année Le dessin et la peinture enseignent avec le professeur Aleksandar Luković - Lukijan depuis 2003.
    https://www.instagram.com/sasamontiljo/

     

    Le monde de Sasa ...


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  • Nous y sommes. 

    Le « Grand débat », c’est à dire le monologue présidentiel, est fini.

    Du bas de la populace au haut des grands philosophes, tous se sont exprimés. À tous a répondu au micro le macron*, montrant par là son indépassable supériorité.

    Il est non seulement le chef de l’État, mais celui qui a réponse à tout, l’omniscient.

    C’est sur France Culture (radio macron), que le comble a été atteint.

    Le « débat » a consisté à une intervention par intellectuel, suivi de la réponse présidentielle autocratique. Il est donc au-dessus de tous les intellectuels français.

    Il a ontologiquement raison, donc aucune contestation n’est possible. Les GJ sont donc parfaitement illégitimes, il faut donc interdire leurs manifestations.

    Après voir tout fait pour délégitimer le mouvement, l’infiltrer de casseurs immunisés et de tirer sur ceux qui manifestent en paix, il convoque l’armée. Le peuple est-il l’ennemi du macron ? Va-t-il ouvrir des stades pour enfermer les Gilets Jaunes ?

    Aucune revendication n’a été entendue, le grand débat n’est qu’un grand monologue. Et le mouvement que d’aucuns envisageaient comme fini perdure.
    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-dictature-en-marche-213744

     

    La dictature en marche ...


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  • La délicate semaine du roi Emmanuel


    Par Anne Roumanoff

    Il y a quelques jours encore, le roi Emmanuel était fort optimiste quant à l’issue de la crise qui secouait le pays depuis bientôt quatre mois. Fort habilement, le souverain avait réussi à endormir ses sujets avec le grand débat et épuisé ses adversaires avec des réunions interminables où il soliloquait des heures durant. Sa majesté s’octroya même une courte escapade dans les montagnes pyrénéennes avec la reine Brigitte. L’idée n’était pas des plus judicieuses. Les images du souverain se prélassant au soleil alors que l’auberge du Fouquet’s était en proie aux flammes ne furent pas du meilleur effet.

    Quelque temps auparavant, c’est le vicomte Castaner de Forcalquier, chargé de la sécurité du pays, qui avait été surpris à danser la farandole en galante compagnie. Les gazetiers relatèrent avec moult détails cette folle soirée un peu arrosée. Les Français, d’ordinaire pleins d’une indulgence goguenarde pour ce genre d’incartade, furent agacés par tant d’inconséquence. C’est que la colère montait dans le pays devant l’incapacité du roi à mettre fin à l’insurrection des Gilets jaunes. Chaque samedi, selon un rituel bien établi, les Champs-Élysées se transformaient en véritable champ de bataille. Les façades des commerces se recouvraient de palissades de bois, les rues se vidaient de leurs riverains effrayés, la maréchaussée envahissait les rues autour de l’Arc de triomphe tandis que les envoyés des chaînes d’info piétinaient sur le pavé en attendant les premières échauffourées. Les conséquences économiques de ce que les gazetiers anglo-saxons surnommaient "urban riots with yellow jackets in Paris" étaient incommensurables. Commerçants exaspérés, hôteliers inquiets, touristes effrayés : l’amusement sympathique des Parisiens pour ce mouvement au départ anarchique, original et bon enfant avait laissé la place à un profond ras-le-bol teinté d’une sourde colère. Les Gilets jaunes, qui n’avaient pas un chef mais plusieurs représentants, déploraient la violence des manifestations tout en ne faisant rien pour l’enrayer. Le roi décida de faire appel à l’armée pour protéger Paris. Cette nouvelle suscita des craintes, jusque chez les militaires. "Tirer sur le peuple", "bain de sang", "terreur", "régime autocratique", on brandissait des mots d’une autre époque comme autant de boucliers effrayants. Beaucoup semblaient craindre le pire quand d’autres paraissaient sourdement l’espérer.

    Pour couronner le tout, le roi Emmanuel dut faire face à une fronde inattendue du Palais du Luxembourg. Le duc Larcher de Cholestérol, bon vivant au triple menton et à l’allure faussement inoffensive, défia le roi en transmettant au parquet un rapport sur les témoignages contradictoires dans l’affaire du spadassin Benalla. Considérant qu’il s’agissait d’une vengeance politique, le monarque entra dans une colère noire. Ses courtisans, le duc Ferrand du Palais Bourbon et le comte Griveaux de l’Ambition parisienne, se firent l’écho du mécontentement royal en évoquant de possibles représailles lors de la prochaine réforme constitutionnelle. Dans la crise profonde que traversait le pays, ces bouderies faisaient l’effet de gamineries d’un autre temps. Le printemps était là, le soleil revenait, mais il planait sur le royaume des nuages inquiétants qui ne semblaient pas près de se dissiper.

     

    Requiem pour Manu ....

    lejdd.fr


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  • Du vent et du soleil ...
    Ca pourrait faire une chanson ...
    Belle journée
    J'appelle ploutocratie un état de société où la richesse est le nerf principal des choses,
    où l'on ne peut rien faire sans être riche,
    où l'objet principal de l'ambition est de devenir riche,
    où la capacité et la moralité s'évaluent généralement (et avec plus ou moins de justesse par la fortune...
    Ernest Renan - 1823-1892

    Il y a du ciel bleu ...


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