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Cette liste a été difficile à écrire car les prix de ces articles varient d'une saison à l'autre. Cependant, malgré cela, ces 10 aliments sont généralement les choses les plus chères que vous pouvez manger. La commande est basée en partie sur le prix et en partie sur la façon dont ils sont considérés comme luxueux.
(listverse)
Le boeuf de Kobé ...
Le vrai boeuf de Kobé - issu de la race noire Tajima-ushi de bovins Wagyu - est produit uniquement dans la préfecture de HyõGo au Japon. Il est élevé selon des traditions secrètes et strictes. Il se nourrit de bière et de céréales et produit une viande si tendre et grasse qu'elle rivalise de texture avec le foie gras. Le boeuf peut coûter jusqu'à 300 $ la livre. Cette race de vache est génétiquement prédisposée aux marbrures intenses et produit un pourcentage plus élevé de graisses oléagineuses et insaturées que toute autre race de bovins connue dans le monde. Une autre astuce spéciale dans la production de cette viande est les massages quotidiens par les propriétaires humains. Je dois avouer être un peu envieux !
https://www.legoutduboeuf.fr/content/53-kobe-d-oc
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Perdu dans les montagnes rocheuses de Patagonie, c’est le village de El Chalten qui a inspiré le photographe parisien Thibaud Poirier à créer une série photo architecturale unique.
«Les maisons de Patagonie » documente les maisons originales du village qui ne se fondent pas toujours dans le paysage sauvage de la région. Ces maisons à étage attirent l’attention, perdues dans le paysage et les grands espaces naturels au croisement le Chili et l’Argentine. Avec cette série Thibaud Poirier réunit alors ces deux aspects de la région, livrant une vision créative et juste de la situation de la région partagée entre une nature sauvage et un monde civilisé.
http://www.fubiz.net/2019/12/28/charming-houses-of-patagonia/
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Igor Samsonov est un peintre contemporain né à Voronej, en Russie , le 7 janvier 1963.
http://www.artnet.fr/artistes/igor-samsonov/
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Un récent article du Monde révèle que les fonds envoyés annuellement par les migrants et leur diaspora dans leur pays d’origine devraient s’élever à 500 milliards d’euros, dépassant ainsi les investissements directs des entreprises étrangères dans les pays « à bas et moyens revenus ».
Occasion, pour le journal chef d’orchestre de la bien-pensance, d’agiter l’encensoir : « Ils prennent les risques que d’autres investisseurs ou entreprises étrangères n’osent prendre », « ces migrants sont également de plus en plus qualifiés »* et sont source de « transferts de compétences, de savoirs, d’idées et de valeurs » vers le pays d’origine. Pour illustrer ce joli conte de Noël, l’article s’ouvre sur le cas d’un Malien, « élégant trentenaire, chemise blanche, costume noir, […] fils de migrant qui a grandi dans le Val-d’Oise », qui a ouvert au pays un magasin Apple. Et n’a donc plus rien d’un immigré…
On voit ici la tromperie consistant à confondre à dessein l’immigré (de plus ou moins fraîche date), sa descendance née et élevée en France**, et le « migrant », terme que chacun associe plutôt aux passagers des coques de noix recueillis sur rendez-vous par les associations à quelques encablures des côtes libyennes.
https://www.bvoltaire.fr/pour-le-monde-le-migrant-est-une-chance-pour-son-pays-dorigine/* le mythe des migrants tous diplômés, bon c'est vrai que par rapport au savoir de nos enfants rois sortis de l'école ça se défend lol lol lol
** ce sont souvent les migrants de la troisième génération qui sont dealers dans les quartiers, si c'est ça l'éducation à la Française ...
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Fier comme Artaban d'avoir été élu comme Président de la République, ultime récompense, il est incapable d'en faire quelque chose car il déteste le peuple et que le peuple fait le pays ....
C’est Le Parisien qui a recueilli les confidences des proches d’Emmanuel Macron, compagnons de la première heure, visiteurs du soir, etc. On imagine d’ici, derrière l’anonymat, toute cette joyeuse troupe qui déposait, il y a deux ans et demi, ses valises à l’Élysée.
Et le florilège est à la fois rassurant et inquiétant. Stupéfiant dans tous les cas. Rassurant, car la Macronie la plus rapprochée semble découvrir ce que les Français ont très vite perçu, et inquiétant, car le principal intéressé semble vraiment déconnecté, à dix mille lieues des préoccupations des Français. Ce n’était donc pas qu’une impression…
Au sujet de la réforme des retraites : « Zéro plus zéro ! Macron n’a pas travaillé son sujet. Il est responsable à 100 % de ce qui arrive. »
Au sujet de l’enfermement présidentiel : « Je ne l’appelle plus. Ça ne sert à rien, c’est même contre-productif. Il n’écoute personne ! »
Un autre conseiller confie, toujours dans Le Parisien, avoir arrêté d’envoyer SMS ou messages sur Telegram, « pour ne pas voir ses mots dépasser sa pensée ». Un fidèle qui ne mâche pas ses mots : « C’est très mal barré. À ce rythme, il va perdre son deuxième quinquennat. Ça a été tellement mal expliqué… Il a toujours eu une longueur d’avance, mais il ne comprend pas le peuple. »
https://www.bvoltaire.fr/confidences-stupefiantes-des-proches-de-macron-cest-mal-barre-il-necoute-plus-personne/
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Le ciel n'a pas de couleur ...
Il attend de savoir si le soleil se lève ou pas !
Belle journée !
Le bonheur, ce n'est pas une note séparée,
c'est la joie que deux notes ont à rebondir l'une contre l'autre.
Christian Bobin
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Mais nous sommes loin du déjeuner sur l'herbe.
Quand même la lumière ça fait un bien fou.
Belle soirée !
Je trouve mes lectures dans la lumière du ciel.
C'est le livre le plus profond qui soit
- et ce n'est même pas moi qui en tourne les pages.
Christian Bobin
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pour guérir
tu dois
descendre jusqu'à la racine
de la blessure
et remonter la tige
en la couvrant de baisers
Rupi Kaur
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C’est de lumière tout le long du jour
dont nous avons besoin.
Et de petites choses.
Une main sur une tasse.
Un bouton de chemise qui se défait.
Une mèche de cheveu.
À l’infini.
Petites choses à l’infini
qui forment une éternité.
Qui sont notre salut.
Fabrice Caravaca
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le soleil semble ne pas pouvoir percer l'épaisseur,
pourtant invisible,
du grand froid,
ses rayons comme gelés eux-aussi contre l'attaque,
ses rayons comme raccourcis
qui ne peuvent plus achever l'évident parcours de lumière
ni adresser leur habituelles flèches de chaleur
Pierre Cressant
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