• Comme tout le monde, à 20 h. j'étais devant mon écran d'ordi pour la grand messe des élections truquées par les médias. Je ne regarde, quand je regarde, que la 2, Delahousse est bel homme lol Je ne sais pas si c'était voulu, d'un côté il y avait les vieux de la vieille ségolène socialistes et de l'autre les dents longues de Baroin ...
    Tous ces gens-là se sont rangés derrière Maqueron, comme un seul homme, mais là, tout à coup, les socialos voulaient récupérer la victoire et la jeune vieille droite se mettait en colère ...
    Alors, je sens qu'on va s'amuser à voir leur vrai visage par ce temps de législatives ...
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article34541

    Triste spectacle hier soir à la télé ...


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  • Pour danser au Louvre ce soir ...
    Il faut bien profiter de la fête ...
    Il y a des lendemains qui déchantent ...
    J'entends les cris de martinets ... un couple, c'est tout.
    C'est bien plus beau que les flonflons du bal !
    Bonne soirée !
    Entre la peste et le choléra, t'es pas obligé de choisir.
    Tu peux aussi ne pas voter.
    C'est une protestation démocratique.
    Philippe Bartherotte
    Je n'ai pas voté et j'en suis vraiment fière !

    Il va faire beau ...

     

     


     


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  • « À force de sacrifier l’essentiel pour l’urgent, on finit par oublier l’urgence de l’essentiel » Edgar Morin

    Par Brandon Joannin

    Nous vivons aujourd’hui la sixième extinction de masse et sommes entrés dans une crise écologique et sociale sans précédent. L’effondrement de la civilisation est proche mais pourtant largement ignoré par les grandes instances. Les études faites à ce sujet ont montré que la démographie, le climat, l’eau, l’agriculture et l’énergie sont les facteurs responsables à la fois de la stabilité de notre civilisation mais aussi de son effondrement.

     L’écologie a toujours été prisonnière des stéréotypes véhiculées par la société capitaliste qui préfère protéger ses intérêts au détriment de la Planète. À l’approche des élections présidentielles, la question de l’environnement semble largement être ignorée ou abordée de manière timide. On estime que d’ici 2048 il n’y aura presque plus d’espèces de poissons ou de fruits de mer à consommer. D’ici 2050, il y aura plus de plastiques que de poissons dans les océans et 52 % des animaux sauvages ont déjà disparu en seulement quelques décennies. Toutes les 7 secondes, 1.350 m² de surface de la forêt Amazonienne disparaissent et la responsabilité de l’élevage (bovin en particulier) dans sa déforestation serait de 80 %. « Je sais que je vais mourir », avait confié Maria do Espirito Santo à sa soeur Laisa quelques jours avant d’être assassinée avec son mari en Amazonie. Le couple se savait condamné pour sa lutte contre les déboisements illégaux qui ravagent la plus grande forêt du monde. Le nombre de défenseurs de l’environnement tués dans le monde en 2015 n’a jamais été aussi important, avec 185 morts constatées.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article34535

    Stop ou encore ?


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  • « La grève des électeurs »

    d’Octave Mirbeau. Allia, février 2017, 48 pages, 3,10 euros

     
    Le pamphlétaire, polémiste et conteur s’étonnait qu’il existât en France « un seul électeur, cet animal irrationnel, inorganique, martyr improbable…, qui consente à se déranger de ses affaires, de ses rêves ou de ses plaisirs, pour voter… ». Son verdict est implacable : « Plus bête que les bêtes, plus moutonnier que les moutons », [2] il « nomme son boucher et choisit son bourgeois. Il a fait des révolutions pour conquérir ce droit ». Aussi enjoint-il de ne point « courir vers les urnes homicides », de boycotter le suffrage universel. Ce papier, que de nos jours aucun rédacteur en chef n’accepterait d’insérer dans les colonnes de son périodique, avait paru, le 28 novembre 1888, dans Le Figaro. [3]

    Avec sa saillie « Prélude », publiée, le 14 juillet 1889, dans le même organe de presse, Octave Mirbeau brocarda « les infinies sottise et malpropreté de la politique », tailla des croupières à la Révolution française qui n’en fut pas une, « mais un déplacement des privilèges, une saute de l’oppression sociale des mains des nobles » à celles des « bourgeois », ou, « plus féroces, des banquiers ». En découlèrent « l’inexorable société capitaliste » où nous étouffons et « le Code moderne », qui nous « met des menottes aux poignets, un bâillon dans la gorge, un boulet aux chevilles ». Son commentaire, également ajouté à cet opuscule, Cécile Rivière l’a intitulé « Les moutons noirs ». Elle estime qu’en prônant l’abstention, l’écrivain remet en cause un des travers de la démocratie : qu’une « poignée d’exploiteurs qui parle au nom du peuple » ait toujours confisqué le pouvoir à ce dernier. Il attentait « à la respectabilité des nantis et des institutions », par « la subjectivité et la dérision », seules « à même de délivrer l’individu de l’intériorisation de la domination ».
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article34532

    Que dire de plus ?


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  • Pauvre France !
    qui, depuis des années n'a plus le choix qu'entre des nuls ou des salauds ...
    Là, c'est sans moi ...
    Bonne chance Gattaz ... Médef ... CAC 40 ...
    et vous, le peuple ? rien ... même plus les miettes !
    Belle journée !

    Jour de désespoir ...


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  • « Selon une idée anarchiste, celui qui donne sa voix n’a plus rien à dire. »

    « Je n’ai jamais voté de ma vie à des élections nationales. Je ne veux pas nourrir l’État, cette machine extrêmement violente et destructrice, qui sera toujours dans les mains du capitalisme », explique Jet, à La Rolandière. « Quand j’ai reçu ma première carte électorale, je l’ai fumée », raconte Fanny, à Bellevue. « Les gens qui vivent ici sont plutôt dans le rejet du théâtre électoral et de la démocratie telle qu’elle est aujourd’hui », ajoute Camille, du groupe presse. « En fait, on aurait aimé un grand mouvement social juste avant les élections, car dans ce contexte, il aurait été impossible de les organiser », regrette Paul, depuis sa maison de bois des Cent Noms – ou cette jolie maison serait-elle celle des trois ours de Boucle d’Or ? Impossible, quand on vit dans ce territoire arraché à l’autorité de l’État, où l’on tente de repenser la politique et les rapports sociaux de façon horizontale, d’attendre quoi que ce soit de cette institution qu’est le vote. « Voter, c’est comme accepter d’être dépossédés de nos vies, adhérer à un système qui nous exploite, explique Paul. À l’échelle de la France, un gouvernement ne peut être proche du terrain. Il a forcément une approche technicienne des problèmes, alors que les solutions sont philosophiques, existentielles, affectives. Il y a une idée anarchiste qui dit que celui qui donne sa voix n’a plus rien à dire. »
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article34522

    Miracle, je suis anarchiste ...


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  • Surpopulation : peut-on encore encourager la croissance démographique ?

    La population mondiale va passer le cap de 7,5 milliards d’habitants en 2017, alors qu’elle était de 6 milliards en l’an 2000 et seulement de 2,5 milliards en 1950. Elle devrait atteindre 10 milliards d’habitants entre 2050 et 2060, et dépasser 11 milliards à la fin du siècle !

     Certes, l’Europe est entrée dans une phase de stabilisation de sa population, tandis que l’Amérique du Sud et l’Asie, qui est déjà très peuplée, parviennent peu à peu à réduire leurs taux de fécondité. Mais la situation est gravement préoccupante en Afrique, en particulier au sud du Sahara, avec des risques de famines et de migrations massives des populations concernées.

    L’humanité menacée d’explosion

    D’ores et déjà, l’explosion démographique a eu sur l’environnement des effets désastreux, qu’il s’agisse du réchauffement climatique, dû aux émissions massives de gaz à effet de serre, de la déforestation, de l’érosion des terres arables, liée à l’abus d’engrais et à l’urbanisation, ou de l’effondrement dramatique de la biodiversité. Au cours des cinquante dernières années, tandis que la population humaine doublait, celles des différentes espèces animales vertébrées, terrestres et marines, diminuaient de 40 à 50 %, celles des mêmes espèces vivant en eau douce de plus de 70 %.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article34521

    Depuis un demi-siècle, l’homme est devenu la cause majeure de l’extinction des espèces animales.

    Phagocyter : absorber, détruire sans vergogne ...

    Nous phagocytons la planète ...


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  • Et pendant ce temps-là dans la zone euro...
    ...la BCE et la monnaie unique continuent leurs ravages...

    Par BA

    Le saviez-vous, la zone euro comporte 19 pays membres… mais 5 d’entre eux détiennent 90 % des liquidités injectées par la Banque Centrale Européenne (BCE) ! La Grèce est en faillite. L’Italie est en faillite. Le Portugal est en faillite. L’Espagne est en faillite.

     La BCE a donc eu une idée géniale ( !) : depuis 2015, la BCE a prêté à taux zéro 1 500 milliards d’euros aux banques privées européennes ! Résultat : échec total. Les banques privées européennes ont investi ces 1 500 milliards d’euros en Allemagne (pour 60 % de la somme), en France (pour 20 %), aux Pays-Bas, au Luxembourg et en Finlande ! Cinq pays sur dix-neuf ! L’euro est un échec total. L’Union européenne est un échec total.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article34520

    Après la Grèce, ce sera nous ...

    Leur Europe du Fric sale ...


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  • Un débat extrêmement médiocre

    Par Michel Soudais

    Le duel télévisé entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen, n’aura été de bout en bout qu’un pugilat consternant, ignorant les enjeux essentiels de cette élection présidentielle.

     Notre démocratie méritait-elle cette confrontation décousue, pauvre en propositions et en projets mais riche en attaques ad hominem et noms d’oiseaux ? Tout au long des 2 heures 30 de ce « débat », si tant est que l’on puisse l’appeler ainsi, les électeurs ont assisté à une dispute de bas niveau dans laquelle aucun des protagonistes n’aura véritablement exposé son projet. Marine Le Pen parce que son principal objectif, manifeste dès les premières secondes, était de parler de son adversaire ramené à ses fonctions passées de « conseiller » et de « ministre de François Hollande », ce qui lui permettait d’attaquer ce qu’elle a présenté comme son « bilan » et de le qualifier à plusieurs reprises de « socialiste ». Emmanuel Macron parce que les attaques ad hominem de son interlocutrice lui ont épargné de rentrer dans le détail de son programme et d’en justifier les options puisqu’il lui suffisait de constater que celle-ci ne « propose rien ».
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article34518

    Continuez à voter pour cette ripoublique ...


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  • Juste ça ...

    Pas de politique aujourd'hui ...


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